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Sérendipité. La sérendipité désigne, dans son sens le plus large, le don de faire, par hasard et sagacité, une découverte inattendue et fructueuse, notamment dans le domaine des sciences.

Sérendipité

Il s'agit d'une notion polysémique dont le sens varie selon la période, le contexte et la langue utilisés. Le terme, initialement anglophone (serendipity), a été forgé en 1754 par l'écrivain Horace Walpole à partir du conte oriental Voyages et aventures des trois princes de Serendip de Cristoforo Armeno traduit par Louis de Mailly. La sérendipité a d'abord été une notion littéraire qui a joué une place essentielle dans la construction d'un nombre croissant d'œuvres de fiction, comme moteur de l'intrigue des romans policiers ou de science-fiction. Iconoclasme. Dans un sens second et récent (fin du XIXe siècle), le terme iconoclaste (adjectif ou nom) désigne une attitude ou un comportement d'hostilité manifeste aux interdits, normes et croyances dominantes ou autres valeurs « intouchables ».

Iconoclasme

Origine[modifier | modifier le code] L'iconoclasme existe depuis l'Antiquité. Dans l'Égypte pharaonique, il n'était pas rare de voir les statues des pharaons divinisés détruites par leurs successeurs (ex. : destruction de statues de Hatchepsout par son successeur Thoutmôsis III). Inanité. Littéraire.

inanité

Caractère de ce qui est vide, sans contenu réel, ne présente aucun intérêt pour le cœur ou pour l'esprit : Inanité d'une conversation mondaine. Effet Koulechov. Définition[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Malheureusement, il ne reste aucune trace matérielle de l’expérience de Koulechov, en termes de négatif ou de copies, même pas un simple photogramme extrait du film.

Effet Koulechov

En revanche, Vsevolod Poudovkine, crédité de cette expérience (par ses soins ou par la rumeur publique, nul ne le sait), en se présentant lui-même comme un grand théoricien du montage (mais il a par la suite rendu à Koulechov la paternité de l’expérience), a tout fait pour qu’elle devienne ce qu’elle est aujourd’hui : un mythe, répandu non seulement dans les milieux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, mais aussi dans ceux des amoureux du cinéma et de la critique de films grand public. L’historien du cinéma Vincent Pinel note encore que « d’autres descriptions ont été données de cette expérience avec des variantes thématiques… les photographies publiées beaucoup plus tard étant visiblement apocryphes[4]. » (en) Davi G. Graphorrhée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Graphorrhée

La graphorrhée (graphomanie ou scribomania ; du grec γραφειν — « écrire »[1] et μανία — folie) désigne une impulsion irrésistible d'écrire[2],[3]. Lorsque le terme est utilisé dans un contexte psychiatrique spécifique, il désigne une condition mentale morbide dans laquelle un patient peut écrire de manière compulsive une succession de lignes manuscrites incompréhensibles et confuses[4]. Le terme « graphomanie » a été utilisé pour la première fois au début du XIXe siècle par Esquirol et, plus tard, par Eugen Bleuler, et est devenu plus ou moins utilisé[5]. La graphomanie est comparable à la « typomanie », un trouble compulsif dans lequel un individu souhaite voir son nom dans une publication ou qui écrit de manière compulsive pour que son ouvrage soit publié[6]. Propédeutique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Propédeutique

Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Propédeutique peut désigner : Sur les autres projets Wikimedia : Scolastique. La scolastique (du latin schola, ae, « école », issu lui-même du grec σχολή, skolê, qui signifie « arrêt de travail », ou bien « loisir consacré à l'étude ») est la philosophie développée et enseignée au Moyen Âge dans les universités : elle vise à concilier l'apport de la philosophie grecque (particulièrement l'enseignement d'Aristote et des péripatéticiens) avec la théologie chrétienne héritée des Pères de l'Église et d'Anselme.

Scolastique

De ce fait, on peut dire qu'elle est un courant de la philosophie médiévale. "Bon courage !" et autres tics de langage dans l'air du temps. Il se dit sur un ton complice et compatissant, comme pour communier dans l'adversité de nos vies : allez, « bon courage !

"Bon courage !" et autres tics de langage dans l'air du temps

» Aux derniers pointages - ceux du doigt mouillé -, il était en passe de supplanter le « bonne journée » à la machine à café, talonnait de près le classique - et très giscardien - « au revoir », et avait irrémédiablement remplacé toute autre fin de conversation dans des professions aussi diverses que boulanger, gardien d'immeuble, taxi ou ostéopathe. Cri de ralliement d'une société qui s'assume en dépression collective, le « bon courage » est devenu la ponctuation automatique de nos badinages urbains, que seule vient contester une poignée d'idéalistes de la locution.

A la dernière rentrée scolaire, alors que l'auteur de ces lignes concluait, sans même y réfléchir, d'un « bon courage ! A grande échelle, le « bon courage » joue contre son camp. A une époque, on mettait un téléphone en mode vibreur quand on ne voulait pas être dérangé. Vous aviez remarqué ? Assertivité. L’assertivité, ou comportement assertif, est un concept de la première moitié du XXe siècle introduit par le psychologue new-yorkais Andrew Salter (en)[1] désignant la capacité à s’exprimer et à défendre ses droits sans empiéter sur ceux des autres.

Assertivité

Il a été développé plus récemment par Joseph Wolpe, psychiatre et professeur de médecine américain, qui le décrivait comme une « expression libre de toutes émotions vis-à-vis d’un tiers, à l’exception de l’anxiété ». Plusieurs ouvrages de vulgarisation ont été publiés dans la seconde moitié du XXe siècle pour faire la promotion de l’assertivité, en particulier dans le cadre du développement personnel[N 1].