background preloader

Snatch prison

Facebook Twitter

HIV Transmission Among Male Inmates in a State Prison System --- Georgia, 1992--2005. The estimated prevalence of human immunodeficiency virus (HIV) infection is nearly five times higher for incarcerated populations (2.0%) (1) than for the general U.S. population (0.43%) (2). In 1988, the Georgia Department of Corrections (GDC) initiated mandatory HIV testing of inmates upon entry into prison and voluntary HIV testing of inmates on request or if clinically indicated. GDC offered voluntary HIV testing to inmates annually during July 2003--June 2005 and currently offers testing to inmates on request. During July 1988--February 2005, a total of 88 male inmates were known to have had both a negative HIV test result upon entry into prison and a subsequent confirmed positive HIV test result (i.e., seroconversion) during incarceration. Of these 88 inmates, 37 (42%) had had more than one negative HIV test result before their HIV diagnosis.

In October 2005, GDC housed 44,990 male inmates in 73 facilities; median age was 34 years (range: 15--88 years). Editorial Note: References. Anthropology Today, Vol. 9, No. 6 (Dec., 1993), pp. 10-13. Vue sur la prison. TATTOO PASSION : le portail francophone du tatouage et du piercing. DAVID LEBRETON, sociologue, france. Dans son livre, intitulé "Signes d'identité", David le Breton aborde l'aspect sociologique du bodyart, pour tenter d'expliquer de manière scientifique l'engouement pour le tattoo et le piercing... INTERVIEW ! Vous êtes docteur d'État en sociologie, professeur à l'Université de Strasbourg, et vous avez écrit de nombreux ouvrages sur le corps, et notamment ses modifications (tatouage, piercing et autres) : expliquez-nous votre attrait pour ces pratiques ?

Tout d'abord je voulais contrer un préjugé qui m'agaçait celui de considérer les modifications corporelles comme des manières délirantes de décorer son corps. Je voulais montrer la cohérence des choix et souvent la manière dont la décision de marquer son corps pouvait avoir une fonction de construction de soi, une dimension identitaire. Je voulais donc, à travers une enquête rigoureuse contribuer à briser le stigmate qui entourait les marques. Oui, bien entendu. 15 septembre 2010 : Tous les messages - Leblogducorps. Roanne. Etablissement pénitentiaire - Centre de détention Le centre de détention de Roanne fait partie du programme de construction de 13 200 nouvelles places de prison d'ici 2010, inscrit dans la Loi d'Orientation et de Programmation pour la Justice du 9 Septembre 2002.

Il appartient à un programme de 4 établissements réalisés en Partenariat Public Privé (PPP). C'est la première fois que l'État met en oeuvre ce régime juridique pour des établissements pénitentiaires. Dans ce cadre, ce sont non seulement la conception et la construction de bâtiments qui sont confiées à un prestataire privé mais également leur financement et leur entretien/maintenance. Le centre pénitentiaire de Roanne est référencé comme établissement pouvant accueillir les personnes handicapées. Brochure de présentation de l'établissement Adresse postale Centre de détentionrue Georges Mandel BP 10 00842311 Roanne Cedex Téléphone Standard : 04 77 23 83 00 Parloirs : 0 800 040 800 Accueil des familles en attente de parloir Lyon Accès. La peau, un langage social. Histoire de la criminologie française.

Tatouages et piercings... un bricolage identitaire ? - DAVID LE BRETON , article Sociologie. Les marques du corps ont longtemps signifié une adhésion à un groupe social bien défini, découlant parfois, dans les sociétés traditionnelles par exemple, d'un rite de passage obligé. Aujourd'hui, elles semblent devenir plutôt l'expression de démarches individuelles et du choix de chacun. Dans le récit de Russel Banks, Chappie, fugueur de 15 ans en pleine déroute personnelle, use du tatouage comme d'une forme de renaissance : « Je me sentais super-bien comme si j'étais une personne toute neuve avec un nouveau nom et même un nouveau corps. Ma vieille identité de Chappie n'était pas morte mais c'était devenu un secret. Un tatouage vous fait ce genre de chose : il vous fait penser à votre corps comme à un costume particulier que vous pouvez mettre ou enlever chaque fois que vous en avez envie (1). » Chappie décide de se nommer désormais Bone, parce qu'un « os, c'est dur ».

La marque corporelle fait changer de peau. Professeur de sociologie à l'université Marc-Bloch de Strasbourg. Www.louvre.fr/media/repository/ressources/sources/pdf/src_document_50727_v2_m56577569830632340.pdf. Criminal tattoo. Tattoos are commonly used among criminals to show gang membership[1] and record the wearer's personal history—such as his or her skills, specialties, accomplishments and convictions. They are also used as a means of personal expression. Certain designs have developed recognized coded meanings.[2] The code systems can be quite complex and because of the nature of what they encode, the tattoo designs are not widely recognized. A member of the Mexican Mafia has the organization's name tattoed on his abdomen Tattooing in prison[edit] Tattooing is forbidden in most prisons. It is therefore done in secret, with makeshift equipment.

Some tattoos are made using melted rubber from the sole of a shoe, soot and/or ash, and urine for some sterilization. In Russian prisons, "...the pain does deter even the most macho convict from covering his body, all at once, with meaningful pictures. Asia[edit] Russia and former Soviet republics[edit] "As Russia's leading expert on tattoo iconography, Mr. Motifs[edit] Les marques du corps - Liberté et psychiatrie. Criminal tattoo.

Tattoos are commonly used among criminals to show gang membership[1] and record the wearer's personal history—such as his or her skills, specialties, accomplishments and convictions. They are also used as a means of personal expression. Certain designs have developed recognized coded meanings.[2] The code systems can be quite complex and because of the nature of what they encode, the tattoo designs are not widely recognized. A member of the Mexican Mafia has the organization's name tattoed on his abdomen Tattooing in prison[edit] Tattooing is forbidden in most prisons. In Russian prisons, "...the pain does deter even the most macho convict from covering his body, all at once, with meaningful pictures. Asia[edit] Russia and former Soviet republics[edit] Russian criminal tattoos have a complex system of symbols which can give quite detailed information about the wearer.

"As Russia's leading expert on tattoo iconography, Mr. Motifs[edit] Japan[edit] Tattooed Yakuza gangsters Australia[edit] Les criminels aussi ont des soucis professionnels. 00441473, version 1] Séparer et punir. Les prisons françaises : mise à distance et punition par l'espace. La thèse d’Olivier Milhaud sur les prisons françaises est en ligne | TerrFerme. Centre d'histoire de Sciences Po. PRISON.EU.ORG - Le portail de l'information sur les prisons - Un site de Ban Public. Www.ascot-elite.ch/libraries.files/Tattoos of Russian Criminals.pdf. Scientific Network. Le tatouage dans tous ses états: A ... Www2.cnrs.fr/sites/communique/fichier/intervenants_1.pdf. Anthropologie de l’écriture - Philippe ARTIÈRES. Colloque « Photographie, prison, pouvoir : Politiques de l’image carcérale. Maps. Patrimoine carcéral (6) Dessins de la prison de Fresnes pendant l'Épuration | Criminocorpus. Le portail sur l’histoire de la justice, des crimes et des peines.

Le Musée national des prisons conserve un curieux manuscrit d’une cinquantaine de feuillets illustrés et signé Guy Hanro, également orthographié Gui Hanro. Le format est de 19,5 cm par 27 cm. Les textes sont parfaitement calligraphiés et accompagnés de dessins humoristiques rehaussés de quelques couleurs. La page de titre est raturée. L’auteur a barré “souvenirs de prison” puisque le manuscrit comporte des oeuvres de sa plume, mais aussi de quelques compagnons de détention comme Robert Brasillach ou l’officier de la Légion des Volontaire Français (LVF) Demessine, l’un et l’autre fusillés à la Libération. L’auteur agrémente sa signature, ornée d’une araignée, de la mention “45″, sous de nombreux dessins. Il évoque le sort de quelques condamnés aux travaux forcés ou à la peine de mort des premiers temps de l’Épuration. La chronique semble donc concerner les années 1944 et 1945 dans la prison de Fresnes.

Guy Hanro, À travers l’Épuration (page de titre) (Musée national des prisons) Hetnelion.free.fr/Questionnaire/Memoire.pdf. Www.ifm-paris.com/asp/fr2/entretiens/NLBorel.pdf. Les tatouages du "Milieu". Robert Giraud, Jacques Delarue - 9782913234048. Terrains & Travaux.

Terrains & travaux est une revue scientifique référencée, éditée sur le campus de l’ENS Cachan. Ni revue d’école théorique, ni revue centrée sur un objet ou un sous-champ, terrains & travaux entend promouvoir la publication de travaux originaux, issus d’une démarche d’enquête (d’où le titre) et se veut un espace de publication pour les travaux d’une nouvelle génération de chercheurs, en sociologie notamment, mais aussi en histoire, en sciences politiques, en ethnologie et en économie, avec une importance accordée à une conception empirico-conceptuelle des sciences sociales.

Dès sa création, la revue s’est attaquée à des objets et à des fronts de recherche novateurs : les interactions sur l’Internet (dès 2000), la notion de legal consciousness, le paradoxe de l’encastrement, la construction de l’Europe par le bas, les nouvelles cultures urbaines, le genre et la question des sexualités, les dispositifs sociotechniques, etc. La revue publie deux numéros par an. Comité éditorial :