background preloader

Veille informationelle

Facebook Twitter

Observatoire de la parentalité en entreprise (OPE), pour une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. Contexte de l’action: Le secteur Caisses représente 1/3 de l’effectif de Carrefour soit à ce jour 20 000 personnes - Un secteur Caisses en magasin est composé de 50 à 250 assistantes de caisses. - Avant 1998, les horaires étaient imposés par le chef de caisses, un système d’horaires libre choix était proposé dans certains magasins. - Les clients étaient insatisfaits de la fluidité en caisses et les assistantes de caisses peu satisfaites de leurs horaires.

Observatoire de la parentalité en entreprise (OPE), pour une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle

En effet, c’est sur cette catégorie de population que pèse le plus fortement des contraintes de fortes amplitudes horaires. Dès 1998, Brest bénéficie d’un système appelé horaires îlots qui permet aux assistantes de caisse de participer à la planification de leurs horaires. Stress au travail, mal-être, risques psychosociaux ... 7 principes pour améliorer le bien-être au travail - L'Express L'Entreprise. "Le bien être en entreprise, c'est possible.

Stress au travail, mal-être, risques psychosociaux ... 7 principes pour améliorer le bien-être au travail - L'Express L'Entreprise

Mais il passe par l'application et l'assimilation de principes forts. " Tel est le message que le club patronal Entreprise et Progrès (lire l'encadré) veut faire passer. S'inspirant de la grille d'analyse de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), il rappelle que le bien-être repose sur 5 piliers : sens qu'on donne au travail, charge de travail, support social, possibilité de développement personnel et reconnaissance des pairs. Il en ajoute un 6è : une "juste rémunération".Entreprise et Progrès fait également remonter de son propre exérience terrain 5 bonnes pratiques à cultiver et 2 sources de tensions négatives qu'il s'agit d'affaiblir. SARAN (45770) - Le personnel d'Oréliance en souffrance. Les premières semaines de fonctionnement du pôle santé d'Oréliance à Saran suscitent des interrogations.

SARAN (45770) - Le personnel d'Oréliance en souffrance

Le personnel est en souffrance. En particulier, les infirmières. Que se passe-t-il à Saran ? Un véritable malaise ronge le personnel. « Ici, nous avons du très bon matériel pour travailler, les blocs sont opérationnels. Seulement, il existe un vrai problème d’effectif », constate un premier médecin. « Nous savons que l’ouverture d’un tel établissement n’est pas facile, mais les conditions de travail sont compliquées. Elles seraient déjà complètement éreintées par le rythme imposé. « Auparavant, une infirmière s’occupait de 15 patients. . « On ressent un peu partout la toxicité du fric » Un deuxième médecin spécialiste avance : « Le personnel, notamment celui des admissions, a beaucoup plus de travail qu’auparavant et il n’est pas en nombre suffisant.

Les deux mois de fonctionnement de l’établissement suffisent-ils à expliquer cette situation?? Oui, bien sûr. Non, non, on est loin de ça. Deux hôpitaux marseillais soignent la qualité de vie au travail. Publié le 11-DEC-12 par ANACT | Imprimer Deux établissements hospitaliers privés ont saisi l’opportunité de la certification par la Haute Autorité de santé pour définir un projet commun et inscrire la qualité de vie au travail parmi les axes stratégiques d’amélioration.

Deux hôpitaux marseillais soignent la qualité de vie au travail

Une démarche poussée encore plus loin en vue du déménagement prochain sur un nouveau site. Deux établissements à forte culture d’entreprise et à taille humaine. S’ils écrivent depuis 2004 leur histoire ensemble, les hôpitaux marseillais Ambroise- Paré et Paul-Desbief ont, au départ, chacun leur identité. . « Nous avons profité de la certification de la Haute Autorité de santé pour harmoniser nos pratiques et faire émerger une culture d’entreprise nouvelle, avance Chérifa Nimal, directeur de la qualité et de l’évaluation des soins de l’hôpital Ambroise-Paré – Paul-Desbief. Vie professionnelle et vie privée Des groupes de travail thématiques ont été mis en place. Partir d’une feuille blanche Un management « porte ouverte » Vidéo. Pourquoi l'absentéisme s'envole dans le secteur privé.

Coup de flemme généralisé ou véritable épidémie ?

Pourquoi l'absentéisme s'envole dans le secteur privé

Les salariés ont pris, en moyenne, 16,6 jours d'arrêts maladie en 2012, soit 18% de plus que l'année précédente. Même les cadres se font plus souvent porter pâle. Les Français seraient-ils de moins en moins motivés pour aller travailler ? En tout cas, l'absentéisme gagne du terrain dans les entreprises du secteur privé. En moyenne, chaque salarié a pris 16,6 jours de congés maladie au cours de l'année 2012, soit 2,6 jours de plus que l'année précédente (+18,6%), selon une étude du cabinet Alma Consulting, spécialiste de l'optimisation des coûts en entreprise. Pourtant, en période de crise, l'absentéisme a généralement tendance à baisser, les salariés évitant de se faire mal voir afin de ne pas perdre leur emploi. Les cadres ne sont plus épargnés.