Une application Facebook pour les morts - Technologie. La société Willook a sorti la dernière mise à jour de son application Facebook If I die 1st. Le petit logiciel permet de laisser un dernier message à ses amis lorsque l’on meurt. 200 000 utilisateurs de 42 pays différents en un an. C’est le nombre de personnes qui ont été attirées par le concept de l’application If I die 1st. Le principe est simple. L’utilisateur enregistre préalablement un message Facebook à l’attention de ses contacts qui sera diffusé juste après sa mort.
Il lui suffit ensuite d’autoriser certains proches à déclarer son décès pour que le message soit publié. Et la nouvelle version du programme risque d’attirer de nouveaux membres. La société prévoit même une surprise pour l’utilisateur qui serait le premier à rendre l’âme. Nul doute que l’application connaîtra un succès croissant à une époque où chacun peut exposer sa vie privée sans omettre le moindre détail. Envoyez des messages de l’au-delà. Si vous souhaitez pouvoir envoyer des mises à jour de statut après votre mort, enregistrez-vous sur DeadSocial, le premier réseau social d’outre-tombe. Quelque 3,5% de l’ensemble des profils sur Facebook concernent des personnes qui sont décédées. Il s’agit peut-être là d’une constatation macabre, mais la mort fait forcément partie de la vie, tout comme le paiement des impôts si vous nous permettez cette comparaison.
C’est ce qu’ont pensé aussi les créateurs de la startup londonienne DeadSocial, qui ont conçu un réseau social entièrement consacré au stade ultime de la vie humaine. Quel en est le principe? L’initiateur de la plate-forme, James Norris, est parti de l’idée que du contenu issu d’un parent ou d’un ami décédé peut éveiller des réactions émotionnelles très fortes chez ceux qui le lisent. En outre, les réseaux sociaux sont aujourd’hui déjà pleinement exploités pour aider des personnes à faire leur deuil. Le nettoyage des tombes à l'heure du numérique. Même si elle se trouve à des milliers de kilomètres, Yang Jingjing comptable à Beijing, a la possibilité de "visiter" la pierre tombale de son père et lui offrir des sacrifices virtuels en quelques clics.
Le rituel effectué sur un site Web parrainé par le gouvernement donne un peu de réconfort à Yang, qui a pu payer une visite personnelle au lieu de repos de son père dans le Guangxi en Chine méridionale, dans le cadre du Festival de Qingming de cette année. «Il est difficile pour moi de faire ce long voyage, mais je me suis sentie soulagée et moins coupable quand j'ai vu sa pierre tombale," a dit Yang. Le festival de Qingming en Chine, qui tombait cette année un mercredi, est une occasion importante pour le deuil des morts, mais observer le rituel annuel du nettoyage de la tombe est de plus en plus difficile pour les jeunes générations du pays, du fait que beaucoup d'entre eux vivent et travaillent loin de leur ville natale.
DeadSocial : restez actif sur les réseaux sociaux... Après votre mort. Du glauque, en veux-tu en voilà ! DeadSocial est un nouveau service découvert au cours de la SXSWeek d’Austin qui permet à ses utilisateurs de publier sur Facebook, Google+ ou encore de tweeter lorsqu’ils ne seront plus de ce monde. Pour un grand nombre de personnes, Internet est devenu le moyen de laisser une trace de soi plus ou moins permanente dans ce monde. Alors que le concept existe déjà sous d’autres formes, l’entrepreneur anglais James Norris a décidé de le pousser un peu plus loin, en permettant aux utilisateurs de son service — qui est le fruit de trois mois de travail intensif — de tenir un calendrier de publications sur les réseaux sociaux (Facebook, Google+ et Twitter) qui seront envoyées sur ces derniers après leur décès. Norris affirme que DeadSocial est un moyen d’explorer la notion d’héritage digital, et la manière dont nous pouvons étendre notre vie digitale par l’intermédiaire des nouvelles technologies et du Web social.
Alors, que pensez-vous de ce service ? La vie, la mort et les réseaux sociaux ! Entretien tombe : En sa mémoire, nettoyage de tombe et entretien de sépulture - Vidéos. France : Un monument aux morts virtuel pour les poilus oubliés. Morts de leurs blessures ou fusillés pour l'exemple, quelque 100.000 soldats de la Grande guerre ne sont pas comptabilisés dans les « Morts pour la France ».
La toile leur rendra hommage du 10 au 12 novembre. Morts au champ d'honneur sans avoir eu l'honneur de la mention « Mort pour la France ». C'est ce qui est arrivé à des dizaines de milliers de poilus français qui, décédés de leurs blessures, morts de maladie, fusillés pour l'exemple, pour insoumission, ou jugés par des tribunaux militaires, n'ont pas vu leur décès considéré comme un acte au service de la France.
Présents au front, ils sont devenus les oubliés de l'Histoire de la Grande Guerre, seulement connus des historiens sous le nom de « Non-Morts pour la France ». Dans son discours à l'occasion du 90ème anniversaire de l'armistice, Nicolas Sarkozy avait lui-même évoqué les « fusillés pour l'exemple qui attendent encore qu'on leur rende justice ». Cimetières de France, l'inventaire national des cimetières. [Hommage 2.0] I-Postmortem, le concept qui tue! Le web comme lieu de mémoire et de recueillement, c’est le concept développé par la société I-PostMortem, qui a lancé tout récemment deux web applis: i-tomb.net - le cimetière virtuel mondial – et i-memorial.com, espace de données sécurisées et confidentielles, sur le long terme.
Sur i-memorial, il faudra verser 120 dollars/an pour « construire son immortalité« , et exploiter les fonctionnalités: vidéos, textes, témoignages, documents privés, préparatifs d’obsèques… Pour utiliser les services d’i-tomb, la souscription annuelle est de 50 dollars. I-Postmortem a conclu un accord avec une société suisse spécialisée dans le stockage des données, Safehost. Les premiers chiffres d’audience s’élèvent à 18000 VU depuis Septembre, date de lancement des sites, déclinées en 16 langues. Les versions Ipad et Iphone seront disponibles à partir du 25 octobre. Entretien avec Jacques Mechelany, fondateur et CEO d’I-Postmortem Ltd. Digital immortality: Difference Engine: Facebook for the dead. L'agence de pompes funèbres sur internet pour organiser vos obsèques en ligne | E-obseques.fr.
Obsèques-infos.com, le portail d'information sur les obsèques et les pompes funèbres. Nécrologie - Espace Souvenir - Avis de Décès - Hommages aux êtres disparus. Funerar Tv - Vrei sau nu, tot aici ajungi! RosettaStone™ | Technology Enhanced Memorial Products. QRcode dans les cimetières. Lundi 9 août 2010 1 09 /08 /Août /2010 10:43 Il y a des QRcodes partout au Japon, même dans les cimetières. Un fabricant de pierres tombales propose de les noyer dans la masse des caveaux, des stèles et de les imprimer sur les faire-part de décès pour que les proches puissent avoir des informations sur le défunt (photo, hommage postume, etc..).
Ce qui peut paraître insolite pour nous, ne semble pas l'être pour les japonais. Preuve supplémentaire de la forte appropriation du code 2D (et du QR code en particulier) dans leur quotidien.