background preloader

5egeo

Facebook Twitter

Petite fille "pauvre" discriminée : la vidéo UNICEF qui fait le buzz. « Enfants pauvres, la campagne choc de l’UNICEF qui prouve notre indifférence » (ladepeche.fr)« Pauvreté des enfants : une vidéo choc de l'UNICEF » (Atlantico.fr)« L’UNICEF démontre et dénonce la discrimination envers les enfants pauvres » (CitizenPost)« Terrible expérience sociale en caméra cachée avec une enfant perdue dans la rue » (Grazia)« Quand l’apparence des enfants les rend inégaux » (la Réclame) C’est en ces termes notamment que les médias du monde entier ont largement relayé et commenté la vidéo diffusée par l’UNICEF pour la sortie du rapport « La situation des enfants dans le monde 2016 : l'égalité des chances pour chaque enfant » .

Petite fille "pauvre" discriminée : la vidéo UNICEF qui fait le buzz

Pour cette expérience, l’UNICEF a proposé à la petite Anano, enfant-acteur de 6 ans, de se poster seule dans des espaces publics, d’abord habillée en petite fille « riche », puis en petite fille « pauvre ». Enfants pauvres, enfants vulnérables Que fait l’UNICEF ? Comment puis-je aider ? L’avenir des filles âgées de 10 ans en 2016 : un enjeu pour la stabilité et la croissance. Dans son rapport annuel, le Fonds des Nations unies pour la population scrute l’avenir des jeunes filles qui auront 25 ans en 2030.

L’avenir des filles âgées de 10 ans en 2016 : un enjeu pour la stabilité et la croissance

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Rémi Barroux On l’appelle la « génération ODD » : celle qui devrait jouer un rôle majeur dans la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies, dans les domaines qui concerne tous ces jeunes : éducation, santé, croissance économique, environnement. En 2030, échéance fixée pour ces dix-sept objectifs planétaires, adoptés le 25 septembre 2015, ces jeunes auront juste passé le cap des 25 ans. Et ils n’ont jamais été aussi nombreux. Dans un rapport sur « L’état de la population mondiale 2016 », présenté jeudi 20 octobre, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) estime à 125 millions le nombre d’enfants âgés de dix ans, dont 65 millions de garçons et 60 millions de filles.

Lire aussi : La faim dans le monde continue de reculer « A dix ans, elle peut devenir une marchandise qui se vend » La sécheresse s'aggrave dangereusement en Tunisie. Coupures d'eau, barrages vides, végétation assoiffée: le pays a connu un été difficile en raison d'un important déficit pluviométrique.

La sécheresse s'aggrave dangereusement en Tunisie

Une pénurie qui a renforcé les tensions sociales dans plusieurs régions. Et la situation ne s'arrange pas. Cet été, les pluies ont été si rares en Tunisie que le ministre de l'Agriculture, Saad Sennik, a même affirmé le 17 août, dans l'émission de radio Midi Show que la situation pouvait devenir «catastrophique» s'il ne pleuvait pas d'ici la fin de l'été. Inquiet face à la baisse de la pluviométrie depuis deux ans, il avait également constaté que le pays était en dessous du seuil de pénurie hydraulique; avec 460 m3 par habitant et par an. Or, les quelques orages ont été insuffisants et les barrages, comme les nappes phréatiques, essentiels pour puiser et conserver l'eau, sont toujours quasiment vides. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Comprendre le vrai poids de la viande sur l’environnement.

Dessalement-un-nouvel-eldorado. À Oman, presque toute l’eau consommée a été dessalée… comme dans tous les pays du golfe Persique.

dessalement-un-nouvel-eldorado

Un marché promis a un très fort développement au cours des prochaines années. Une zone industrielle en bord de mer, au nord-ouest de Mascate, la capitale du sultanat d’Oman. La centrale à cycle combiné gaz Barka 2 est dotée de l’une des six usines de dessalement de cette monarchie pétrolière. Elle produit 15 % de l’eau du pays, soit 120 000 m3 par jour, avec seulement sept personnes présentes en permanence sur le site. Conçue et construite par Degrémont, filiale de Suez Environnement, elle est exploitée par Stomo, une filiale de GDF-Suez. Trois kilomètres de « pipes » amènent l’eau de la mer à l’usine. « Pour éviter les algues rouges, nous pompons l’eau sous la mer », explique Abdullah Al Rawahi, le directeur des opérations de Barlka 2. Un compresseur envoie l’eau dans une cartouche à double filtration composée de plusieurs couches de sable, de carbone et de cailloux.