background preloader

2) Dimension culturelle

Facebook Twitter

Dance cette partie nous nous attachons à analyser les pratiques et usages chez les utilisateurs

La BD, reine de la communication. La BD, reine de la communication 23 novembre 2004 Ce n’est pas tous les jours que « Le Monde de l’Economie » enquête sur la BD dans ses pages « management ». Cette fois, ce n’est pas Largo Winch qui défraie la chronique mais bien les BD que les syndicats et les entreprises utilisent pour leur communication. « Quand les entreprises et les syndicats communiquent par les bulles », titre Le Monde dans un article du 23 novembre 2004 signé Catherine Rollot.

Son enquête l’a mené auprès de quelques-uns des éditeurs qui font profession de communiquer par les bulles. Apparemment, c’est une affaire qui roule. Un syndicat, CFE-GC, en est à son sixième album de BD (la dernière intitulée L’accord majeur est destinée à soutenir une campagne de formation professionnelle), le vendeur de pneumatiques Michelin publie une série d’albums en cinq langues destinés à ses clients, le cimentier Lafarge utilise la BD pour faire passer des consignes de sécurité auprès de ses employés...

Une BD Michelin. De la bande dessinée en entreprise de communication. Quel est votre parcours dans les mondes de la bande dessinée et de la communication ? Après avoir obtenu le diplôme de Sup de Co Le Havre, j’ai été réalisateur-producteur à France-Inter pendant dix ans. Dans le même temps, j’ai écrit des essais et un roman qui m’ont valu deux invitations de Bernard Pivot à Apostrophes. Je suis venu à la bande dessinée au culot. Morris cherchait un scénariste, puisque Goscinny était mort peu de temps auparavant. Je me suis arrangé pour le rencontrer à Angoulême et lui ai proposé une idée d’album pour Lucky Luke.

Quelle est la genèse de votre entreprise « Une bulle en plus » ? « Une bulle en plus », créée en 1991, était une sorte de synthèse entre Sup de Co et ce que j’avais appris à écrire : une agence spécialisée dans la communication des entreprises et des institutions par la bande dessinée. Autrefois le domaine de la bande dessinée était considéré come une sous-culture. Reste, bien sûr, que le contenu doit être irréprochable. Des bulles pour une communication plus l?g?re - Veille. La bande dessinée, alliée pédagogique de la transmission de l’histoire de l’immigration. 1La bande dessinée a désormais franchi les portes des salles de classe. Mais, considérée comme une paralittérature, elle a longtemps suscité méfiance, voire mépris, dans les milieux éducatifs. 1 Baptiste Campion, “Bande dessinée éducative et éducation par la BD : des pratiques de terrain à une (...) 2De nombreux détracteurs de la BD ont souvent dénoncé l’indigence du texte et le risque d’appauvrissement du langage pour les élèves, la fascination exercée par l’image seule, le contenu centré sur l’émotion voire la violence, l’inintelligibilité de la narration.

Il s’agit donc d’encadrer sa réception pour en limiter les effets néfastes pour la jeunesse ! 3La rupture avec ce discours de stigmatisation ou d’instrumentalisation intervient dans la décennie 1970. 4En 1987, une nouvelle entrée apparaît dans les programmes officiels d’enseignement : la lecture d’images. 2 “Ressources pour faire la classe à l’école. 7Elle représente pourtant une source documentaire précieuse pour l’Histoire. 12 Cf.

Enseignement (1) : enseigner avec la bande dessinée. [janvier 2013] L’histoire des liens entre bande dessinée et éducation s’est exprimée successivement dans les termes d’une hostilité farouche, d’une intégration résignée, puis d’une récupération intéressée et d’une légitimation affichée. Petit historique de l’intégration scolaire de la bande dessinée Le rejet des éducateurs catholiques et laïcs s’exprime dès 1907, lorsque la bande dessinée devient presque exclusivement un matériau des publications de presse destinées à la jeunesse. Leur argumentaire, où se mêlent considérations esthétiques, psychologiques et morales, ne variera guère jusqu’aux années 1960 : le médium est stigmatisé pour la pauvreté du texte, pour la teneur grotesque et caricaturale des illustrations, pour son contenu pulsionnel et violent, sans oublier le pouvoir séducteur de l’image (qui encouragerait l’affabulation) et même l’inintelligibilité même de la narration verbo-iconique.

Une intégration en trompe-l’œil Enseigner l’Histoire avec la bande dessinée Nicolas Rouvière. M.actualitte. HERMES_2009_54_201. Festival de la BD : les passionnés se sont régalés. Colloque : les Festivals BD - news - Lyon BD Festival. Dans le cadre des entretiens Jacques Cartier, Lyon BD a organisé le 26 novembre à l'Hôtel de Ville de Lyon un colloque intitulé : "Les Festivals BD : manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques". Notre objectif dans ce colloque a été de voir comment, au-delà de l’aspect festif d’un festival de bande dessinée, sont libérées des énergies créatrices au service du développement culturel et économique de notre société... Table ronde #1 : Historique et diversité des formes de festivals Francis Groux, Co-fondateur du Festival d’Angoulême Pierre-alain Rodrigue, Trésorier du Festival BD de Montréal Sylvain Lemay, Fondateur du Festival en Pays Outaouais Roger Lipani, Président du Festival BD de Rives de Gier Philippe Brocard, Président du Lyon BD Festival Table ronde #2 : L'influence des festivals sur la création artistique Jérôme Jouvray, auteur Guy Delisle, auteur Julie Rocheleau, auteure Jocelyn Flipo, créateur de concepts de spectacles d'impro Claude Amauger, Editions Tanibis, France.

Les festivals de bande dessinée, manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques. Les festivals de bande dessinée : manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques Retours sur le colloque Les festivals de bande dessinée, du 26 novembre 2013, Lyon. Compte-rendu proposé par Aymeric Landot. Les Entretiens Jacques Cartier ont réuni ici différents acteurs permettant de cerner au mieux l’objet festival : des organisateur, des auteurs, des libraires, des éditeurs, des bibliothécaires et des enseignants. Il s’agit ici du compte-rendu de ce colloque, qui vise à connecter également France et Canada à travers ses acteurs ou ses projets. Historique et diversité des formes de festivals En présence de Francis Groux, co-fondateur du Festival d’Angoulême ; de Pierre-Alain Rodrigue, trésorier du Festival BD de Montréal ; de Sylvain Lemay, fondateur du Festival en Pays Outaouais ; de Roger Lipani, président du Festival BD de Rive-de-Gier et de Philippe Brocard, président du Lyon BD Festival. - Question : Quelles sont les origines et les principes des festivals ?

VisuelFIBD4140x60jpegHD. L'enquête sur la lecture de bandes dessinées en france.