background preloader

Pédagogie inversée

Facebook Twitter

Pédagogie de projet. La pédagogie de projet (Laurent Dubois) Pour pratiquer la pédagogie de projet, il faut d’abord adhérer aux récentes théories de l’apprentissage qui ont amené à poser une distinction entre enseignement et apprentissage. Cette distinction modifie singulièrement les relations au sein du triangle didactique " maître - élève - savoir ". Dans cette optique, le maître n’est plus celui qui transmet des savoirs, l’élève n’est plus le sujet plus ou moins passif de ses apprentissages, l’accès à la connaissance ne se fait plus par placages successifs de notions. L’enseignant convaincu par ces principes trouvera dans la pédagogie de projet une réponse à bien des implications pédagogiques issues des théories socio-constructivistes de l’apprentissage. Donner du sens aux apprentissages La pédagogie de projet permet, à mon avis, de donner du sens aux apprentissages des élèves.

Le rôle du maître Dans une pédagogie de projet, le maître n’est plus le détenteur du savoir. Pour conclure. Pédagogie de projet | Classe Inversee. La pédagogie de projet est une approche qui a fait ses preuves et qui se marie très bien à la classe inversée. En effet, bien que le temps de classe libéré par le modèle inversé puisse être utilisé pour des discussions et de l’entraide sur des points de cours et des exercices, il peut aussi servir à travailler sur des projets pédagogiques intéressants. La classe inversée et la pédagogie de projet partagent d’ailleurs le même principe : rendre l’élève acteur de son apprentissage. Cette philosophie est le coeur de la pédagogie active, qui, comme son nom l’indique, se base sur le fait qu’on apprend mieux en étant actif et en découvrant par soi-même. Des intérêts nombreux La pédagogie de projet permet, entre autres, une plus grande motivation à apprendre, une meilleure compréhension de l’information, un développement des capacités de recherche, d’analyse et de résolution de problème, et davantage d’interactions sociales.

. - ateliers (écriture, construction de modèles, travaux artistiques…) Pédagogie inversée, classes inversées. J’ai assisté le 11 décembre 2013 à un atelier sur le thème des classes inversées lors des rencontres "Boussoles du numériques 2013" à Cenon en Gironde. L’atelier était animé par Jean-François Ceci avec la participation de Marie Soulié et de David Bouchillon. L’atelier a rassemblé beaucoup de monde, le thème est d’actualité. Jean-François Ceci a présenté le sujet et David Bouchillon et Marie Soulié ont chacun présenté leur expérience concrète. 1er intervenant : Jean-François Ceci, chargé de mission TICE à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.

Jean-François donne le contexte des classes inversées : nous vivons la 3ème révolution cognitive, comme l’appelle Michel Serres, après l’invention de l’écriture et celle de l’imprimerie. Avec le web2.0, les cours "transmissifs" sont sans doute amenés à disparaître : ils sont linéaires, centrés sur l’enseignant, non individualisés, limités à de la connaissance.

En pédagogie inversée, David structure une séance pédagogique en 3 phases : « Classe inversée », qu'inverse-t-on ? La « classe inversée », concrètement Ce qui m'a d'abord intéressé avec les deux témoignages rapportés, en HG et en français, c'est le déroulement de la séance. Si je reprends ces deux déroulés, voici ce que je comprends : Pour le cours d'HG :phase d'exposition (« magistral », à la maison, 2 à 4 mn)phase d'application (« entraînement », en classe)phase de structuration des connaissances (« production d'une synthèse-ressource », en classe)Pour le cours de français :phase d'exposition (à la maison, 10 mn)phase de cours dialogué (« échanges, questions », en classe, 15 mn)phase d'application (« travailler le thème en groupes », en classe, 25 mn)phase de structuration des connaissances (« élaborer une ressource », en classe, 30 mn).

Qu'est-ce qui change donc avec les constituants d'une séance « classique », laquelle est depuis longtemps basée sur le triptyque « exposition – application (tâche) - structuration » ? La ressource, le dispositif numérique et l'usager Éducation et néolibéralisme. Pédagogie active. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie active — ainsi que les méthodes pédagogiques actives associées à cette démarche — a pour objectif de rendre l'apprenant acteur de ses apprentissages, afin qu'il construise ses savoirs à travers des situations de recherche. Présentation[modifier | modifier le code] La pédagogie active se réfère historiquement et principalement à Adolphe Ferrière qui, au début du XXe siècle, a été parmi les premiers à utiliser l'appellation école active dans ses publications.

Elle est une des bases du courant d'éducation nouvelle. Freinet écrivait en 1964 dans ses invariants pédagogiques : « La voie normale de l’acquisition n’est nullement l’observation, l’explication et la démonstration, processus essentiel de l’École, mais le tâtonnement expérimental, démarche naturelle et universelle ».« Les acquisitions ne se font pas comme l’on croit parfois, par l’étude des règles et des lois, mais par l’expérience. Projet[modifier | modifier le code]