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Les voitures autonomes

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La voiture autonome. ​Qu’est-ce qu’une voiture autonome ?

La voiture autonome

Une voiture autonome désigne une voiture dont la conduite est en partie ou entièrement automatisée. Il existe différents niveaux d’autonomie, dont certains sont déjà très courants et utilisés. Par exemple, les systèmes d’antiblocage des roues (ABS) constituent le premier niveau d’autonomie d’un véhicule. Au total, la classification établie par la SAE international* compte 5 niveaux. Déterminer le niveau d’un véhicule autonome nécessite de répondre à quatre questions précises : Qui de l’Homme ou de la machine assure le contrôle longitudinal et/ou latéral du véhicule ? Les différents niveaux d’autonomie d’une voiture Niveau 0 : Conduite manuelle.

Niveau 1 : Conduite assistée : cogestion du contrôle de la voiture par l’usager et la machine. Niveau 2 : Conduite partiellement automatisée : la trajectoire de la voiture (mouvements longitudinaux et latéraux) est assurée par la machine. Loi, responsabilité, éthique: la voiture autonome en questions. 2018-211 du 28 mars 2018 relatif à l'expérimentation de véhicules à délégation de conduite sur les voies publiques.

Sans préjudice de l'application des dispositions de l'article R. 610-5 du code pénal, en cas de manquement constaté aux conditions d'expérimentation, le ministre chargé des transports peut décider soit de suspendre l'autorisation pour une durée maximale de deux mois, soit de la retirer.En cas d'événement de nature à porter atteinte à la sécurité impliquant un véhicule à délégation de conduite, le ministre chargé des transports peut décider soit de subordonner le maintien de l'autorisation d'expérimentation à des conditions supplémentaires, soit de la suspendre pour une durée maximale de deux mois, soit de la retirer.

2018-211 du 28 mars 2018 relatif à l'expérimentation de véhicules à délégation de conduite sur les voies publiques

Cette décision peut porter soit sur le seul véhicule impliqué, soit sur l'ensemble des véhicules couverts par l'autorisation.Dans les cas prévus aux premier et deuxième alinéas, la mesure est prononcée, sauf en cas d'urgence, après que l'expérimentateur a été en mesure de présenter ses observations. Véhicules autonomes : un décret ouvre la voie à des tests de niveau 4 en 2019. La France se réveillerait-elle enfin sur le véhicule autonome ?

Il semblerait avec la publication d'un décret d'application, la publication en avril de la « stratégie française » et l'ouverture des tests en autonomie de niveau 4 l'année prochaine. De quoi permettre aux constructeurs de pousser plus loin leurs (timides) expérimentations dans l'Hexagone. Commençons par un retour en arrière, au mercredi 3 août 2016. Ségolène Royal présentait en Conseil des ministres une ordonnance – attendue depuis de longs mois – visant à autoriser les expérimentations de voitures autonomes sur les routes françaises. Problème, celle-ci ne donnait aucun détail et renvoyait à un futur décret en Conseil d’État. Un décret en roue libre pendant 20 mois S'en suit alors une longue traversée du désert pendant près de 20 mois en France. Les conditions des expérimentations en France Notez par contre que cet article 9 n'entrera en vigueur qu'au 1er janvier 2019.

Accident mortel en Arizona : le véhicule autonome a détecté le piéton, sans l'éviter. Voiture autonome : qui sera responsable en cas d’accident ? La voiture autonome, prochaine petite révolution dans le monde des transports, entend libérer les êtres humains des contraintes et des risques de la conduite.

Voiture autonome : qui sera responsable en cas d’accident ?

Mais les libérera-t-elle aussi du poids de la responsabilité ? Tesla, Google, Audi, PSA... On ne comptera pas les grands constructeurs automobiles et grosses entreprises de technologie qui se disputent une place sur le marché de la voiture autonome. Alors que 90 % des accidents proviennent d'une erreur humaine -- vitesse, conduite sous l'emprise de l'alcool, fatigue, inattention, etc. --, les véhicules intelligents devraient faire (enfin) une réalité de la sécurité routière. Certes, les accidents seront probablement plus rares, mais pas inexistants. En 2016, un Américain est décédé suite à un accident au volant d'une Tesla Autopilot -- nom du système de conduite automatique. Face à l'arrivée imminente de ces véhicules sur nos routes, la législation fait aussi défaut. Intéressé par ce que vous venez de lire ?

Voiture autonome : 1/3 des Français prêts à en acheter une, et 1/2 pense que les accidents chuteront. Menée en juin 2018 sur un échantillon représentatif de 2 400 personnes, cette étude concernant la voiture autonome, qui a pris son temps pour nous arriver, est cependant riche en enseignements.

Voiture autonome : 1/3 des Français prêts à en acheter une, et 1/2 pense que les accidents chuteront

Premièrement, on y apprend que les Français ne croient pas à l'arrivée imminente de la voiture autonome. En effet, 56 % pensent que la démocratisation de ces véhicules n'interviendra pas avant au moins 10 ans. Et 25 % pensent que cela arrivera dans 4 à 7 ans. En moyenne, ça donne 2030. Donc on en parle beaucoup, mais pour les principaux concernés, à savoir ceux qui ne vont "pas" les conduire, c'est encore lointain, malgré l'actualité constante sur le sujet.