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Sexism in video games

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No girls allowed. First-person shooters, action games and sports games have been popular among boys ever since the early '90s.

No girls allowed

In 2012, the three categories combined were responsible for 58.8 percent of video game sales in North America. They're easily some of the most visible kinds of games, lining the shelves at retailers and appearing on television screens any time a story about video games makes the news. But not everyone buys the idea that games have become the realm of males. "I've always known there were some games and genres that attracted a heavier male audience than others, like shooters for instance," says Brenda Romero, a developer who has worked in the game industry since the early '80s and has been credited on titles such as Wizardry, Jagged Alliance and Dungeons and Dragons: Heroes.

But Romero points out that if we go back to fall 1993, two significant things happened in gaming. In fact, the 1990s is filled with exceptions. Femmes et jeux vidéo : les gameuses sont des joueurs comme les autres. Et un territoire de plus conquis.

Femmes et jeux vidéo : les gameuses sont des joueurs comme les autres

Les femmes ont investi ce bastion de virilité qu’est le jeu vidéo. Pas de repli stratégique possible. La console n’est plus ce puits de testostérone que les hommes ont construit pour leur usage personnel quelque part à la recherche d’une compensation, un bonbon de misogynie dans un monde ou Duke Nukem n’existe pas. Oui mais voilà. Les filles qui jouaient sont devenues des femmes qui jouent. La vague rose ? Quelque part dans un bureau, sûrement au Japon," Monsieur N" se lève de son fauteuil. Voilà comment l’industrie du jeu a réagi. Une personne jouant à Cooking Mama, confectionnant ici un gâteau aux cerises. De Bayonetta à Jill Valentine ? La clé du succès peut-elle résider dans le choix du personnage central ? Les Gamergirls existent. Les femmes sont des gamers comme les autres Les jeux de rôles qu’ils soient offline, tels que Final Fantasy ou Morrowind, et les jeux vidéos Massivement Multijoueurs (MMORPG) sont un terrain propice pour les gameuses.

La femme est-elle l'avenir du jeu vidéo. Selon une étude annuelle réalisée par L’Entertainment Software Association (ESA), représentant les éditeurs de jeux aux États-Unis, la part de femmes aficionados de jeux vidéo a atteint 47 % en 2012.

La femme est-elle l'avenir du jeu vidéo

La croissance de cette proportion n’est finalement pas surprenante, parce qu’elle semble même suivre un rythme de croisière : elle s’établissait à 40 % de joueuses en 2010 et à 42 % en 2011. L’analyse précise que les femmes âgées de 18 ans ou plus représentent désormais 30 % de l’ensemble des joueurs, alors que les garçons âgés de 17 ans ou moins en constituent 18 %. L’image masculine traditionnellement associée à ce divertissement s’estompe donc au gré des mutations du profil démographique des gamers. Au-delà du taux d’équipement en terminaux dédiés aux jeux vidéo, s’établissant à au moins un par foyer outre-Atlantique, c’est leur diversité qui semble expliquer cette effervescence et ce renouveau. Crédits photo : « Capcom babe » par uzaigaijin / Flickr.

Les pubs de bon goût de Soul Calibur V. Femmes sans tête, hypersexualisation et objectification publicitaire… Toujours bien présentes, sous couvert d’humour et de « second degré » (on se demande bien ce que serait le premier degré de ces pubs si subtiles).

Les pubs de bon goût de Soul Calibur V

Pour souligner le double standard, quelqu’un s’est amusé à réaliser la même pub avec Voldo, personnage masculin particulièrement deshabillé de Soul Calibur… « Tu acceptes mon entrejambe ? » Sources : Les pubs de bon goût de Soul Calibur V par Machisme Haute Fréquence, sauf mention contraire expresse, est publié sous licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivs 3.0 France Licence. No More Helpless Damsels: One Gamer's War on Sexism. Blog féministe & geek.