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Interview d'un professionnel des réseaux sociaux, du web marketing et du marketing. Une question légitime revient souvent au sein des entreprises : "Combien rapportent les réseaux sociaux ? ". Romain Rissoan, consultant et formateur indépendant est tombé à pic. Vous allez comprendre tout de suite pourquoi. En effet, il vient de sortir un livre intitulé "Réseaux sociaux : augmentez votre R.O.I. " (éditions ENI) et il a bien voulu répondre à mes questions sur le blog de StudioVentilo. Bonjour Romain, peux-tu te présenter ? Je suis Romain Rissoan Consultant Formateur Indépendant et gérant sur le réseau de formateur Optédif, le centre de formation créé par les formateurs. Quel est ton parcours professionnel ? Mon parcours est assez simple. Quelle a été ta motivation pour écrire ce livre ? J'ai écrit le premier livre sur les réseaux sociaux car j'avais le souhait de clarifier ce qui me paraissait obscur à moi et à mon entourage professionnel (mes clients, collègues, fournisseurs).

A qui s'adresse "Réseaux sociaux , optimiser votre ROI" ? Je n'ai vraiment pas triché sur le titre ! Minceur et réseaux sociaux : Instagram la fait maigrir de 60 kilos. L'aspect toxique des réseaux sociaux n'est plus à démontrer. Dans les récents cas graves de harcèlement à l'école, Facebook a largement été mis en cause. Les victimes en bavent à l'école où elles sont la risée de leurs camarades et une fois rentrées à la maison, les moqueries continuent sur Internet.

De son côté, Instagram est souvent accusé de faire l'apologie du voyeurisme, d'ériger en but ultime les diktats de beauté les plus farfelus, d'accentuer la pression subie par les jeunes pour s'approcher au maximum du stéréotype de la personne cool. Et pourtant, il arrive que les réseaux sociaux se fassent aussi vecteur de messages positifs ou servent de soutien inébranlable pour des internautes à la recherche de bienveillance. Obèse depuis l'adolescence, moquée à l'école, Jessica en a eu assez. Inscrite sur Instagram, Jessica Semmes a commencé à poster des photos d'elle puis de ses repas, en demandant à ses abonnés de lui donner leur avis sur le contenu de ses assiettes.

Le phénomène de société | Le culte de la minceur. L’influence des médias et de la mode sur les adolescents A l’adolescence, les jeunes et principalement les filles sont très influençables. En effet, ils sont en constante recherche d’eux même, ils ont besoin d’identification et de faire certaines expériences. Les images véhiculées par les médias influencent donc ces jeunes en quête de leur personnalité. Ils prennent alors comme modèle les mannequins et les célébrités qui affichent leur corps très mince et parfait. Cette perfection qu’associent les magazines (et autres médias) à la minceur complexe les lecteurs. Remarquez par vous mêmes! Sur internet, les jeunes créent des groupes d’appartenance appelés «communautés», l’exemple même est la communauté «pro ana ».

Il existe également des sites sous forme de jeux, qui s’attaquent aux plus jeunes, tels que « ma bimbo ». L’obsession la plus récente est vouée au thigh gap. Hormis l’impact des stars, il existe une figure qui fascine encore plus par ses mensurations : La poupée Barbie. J'aime : Instagram, et l’envers du décor? Avec l’apparition des différents réseaux sociaux, particulièrement ceux qui tournent autour de la photo de notre quotidien, je pense notamment à Instagram ou Snapchat, j’ai l’impression que la course à la perfection est encore plus vraie, encore plus importante…comme si ces photos, ces instants de vie capturés pouvaient être représentatifs de la réalité.

Alors, tous, tour à tour, on examine, on cadre, on efface ce qui dépasse, on améliore ce qui dérange. A grands coup de filtre, on élimine ce qui n’est pas parfait. On supprime ce qui fait que nous sommes tous différents. On retrouve un peu partout, cette course à la perfection. Au corps parfait, à la cuisine parfaite, à la mère parfaite assez à la maison pour s’occuper de ses enfants, assez au travail pour mener une carrière parfaite, à la déco parfaite, à la maison parfaite, au dressing de rêve et aux vacances paradisiaques.

Et si on montrait l’envers du décor? Est ce que c’est ça la reconnaissance sociale du 21ème siècle? J'aime : Réseaux sociaux, perfection et image de soi. Les billets « humeur » sont plutôt rares par ici, mais toujours écrits après avoir longuement réfléchis et avec une volonté de vous partager ce que j’ai sur le coeur. C’est après plusieurs discussions sur ce sujet avec une amie que j’ai décidé de vous écrire cet article, qui j’espère vous plaira! Aujourd’hui, je vous propose que l’on s’arrête un instant sur l’ampleur que prend le mouvement « healthy », et des conséquences que cela peut avoir aussi bien sur vous, moi, ou vos proches. Avant de poursuivre, je tenais à vous présenter ma vision du « healthy », comme je la concevais en créant dans un premier temps mon compte Instagram, et comme je la conçois toujours actuellement.

Être « healthy », pour moi, c’est avant tout un équilibre qui favorise un mode de vie sain: manger sainement, faire du sport, mais aussi faire attention à ce que l’on met sur sa peau, etc. . « Mais si elles y arrivent, pourquoi pas moi? J’aimerai juste dire « STOP! Quand la spirale entraîne plus que de la culpabilité… Conférence « Image de soi sur le net et les réseaux sociaux » de Dominique Cardon - Marie Guillaumet.

Il y a quelques jours, j'ai assisté à une conférence absolument géniale. Elle s’intitulait « Image de soi sur le net et les réseaux sociaux », et était donnée par Dominique Cardon, éminent sociologue français. J'ai appris beaucoup de choses pendant cette conférence : non seulement elle a fait écho à mes études en socio, mais elle a surtout alimenté mes réflexions en matière de design de soi, me donnant de nouvelles pistes à explorer et pas mal de références solides à potasser. Je pense qu'elle peut vous intéresser également, car elle offre des explications rationnelles aux usages et aux phénomènes qu'on observe et que l'on vit au quotidien sur le web.

Ainsi, ce qui suit est la retranscription de cette conférence. Edit du 17 mars 2016 : l'enregistrement audio est en ligne ! De la photo Myspace au selfie Lorsque les réseaux sociaux ont fait leur apparition, il y a eu comme un vent de panique causé par la masse d’informations personnelles qui déferlaient d’un coup sur Internet. Se montrer Kenavo ! Le culte de l’Internet. Antonio A. Casilli, Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? 1L'auteur, chercheur au centre Edgar Morin de l'EHESS, enseignant la socio-anthropologie des usages numériques, nous propose ici le résultat de 20 ans de recherches.

D'une lecture agréable, presque « facile », le livre d'Antonio A. Casilli nous amène dans le labyrinthe des paradoxes des liaisons numériques. Allusion à peine voilée au film de Stephen Frears, « Les liaisons dangereuses », l'auteur remet en cause les idées reçues sur l'espace numérique et son discours inquiet. Y a-t-il un espace propre coupé du monde réel, celui-ci désincarne-t-il le corps, le lien numériques est-il à l'origine de la disparition du lien social? 2Si chaque partie répond à une problématique, la démarche adoptée ressemble au « butinage » de l'internaute voire à un parcours initiatique dans le cyberspace ou la « la société en réseau » que popularise Manuel Castells. 3Le don et le contre-don, convoquant Marcel Mauss, est la forme que prend le lien dans les échanges sur la toile.

Réseaux sociaux: 5 manières dont ils influencent nos comportements. RÉSEAUX SOCIAUX - Ah, ces fantastiques réseaux sociaux qui occupent nos journées. Ou qui remplissent les temps morts, pour ceux qui sont moins accros. On a beau se plaindre de perdre notre temps, les yeux rivés sur notre écran comme si à chaque seconde un événement de la plus haute importance allait se produire, on y retourne chaque jour, irrémédiablement, comme si c'était la première fois.

Une récente étude réalisée par des chercheurs de l'université d'Innsbruck (Autriche), Christina Sagioglou et Tobias Greitemeyer, a essayé de comprendre ce phénomène. Elle montre qu'on a tendance à se méprendre sur l'effet de Facebook sur notre humeur, et qu'on y retourne, même si la dernière fois, on a eu le sentiment de perdre notre temps. Lire aussi:» 10 choses qu'on ne fait plus (ou moins) depuis l'avènement des écrans » Quelle est votre valeur sur les réseaux sociaux? A tort ou à raison, ce n'est pas la question. On est conscient de perdre notre temps mais on recommence Lire aussi:» BLOG. Lien social, exclusion. Peut-on être accro aux réseaux sociaux. Un like par-ci, un tweet par-là, un selfie sur Instagram sans oublier de mettre à jour son profil LinkedIn... Nous multiplions quotidiennement les connexions aux réseaux sociaux.

Mais à partir de quand cette fréquentation devient-elle problématique ? Notre consommation effrénée, ne cacherait-elle pas une réelle addiction ? Propos recueillis par Lucien Fauvernier A découvrir Quel pays passe le plus de temps sur les réseaux sociaux ? Le rapport 2015 de l’agence Wearesocial sur les pratiques numériques révèle que le temps mondial moyen passé sur les réseaux sociaux est d’un peu plus de 2h30 par jour. Trois. Mais alors, serions-nous tous accro aux réseaux sociaux sans le savoir ? L’addiction aux réseaux sociaux existe-t-elle ? Le concept d’addiction au virtuel n’est reconnu par aucune instance scientifique, que se soit par l’Académie française de médecine ou par le DSM V l’ouvrage de référence de la Société américaine de psychiatrie.

Les réseaux sociaux ne sont pas addictifs par eux-mêmes. Peut-on être accro aux réseaux sociaux. Culture et pratiques numériques juvéniles : Quels usages pour quelles compétences ? 1Dans les sociétés contemporaines, les technologies de l’information et de la communication (TIC) modifient en profondeur les rapports qu’entretiennent les individus entre eux, aussi bien dans leur vie professionnelle que dans leur vie personnelle. Les jeunes générations semblent vivre ces mutations de manière plus rapide et plus intense que les autres classes d’âge. Entre 12 et 17 ans, les adolescents passent en moyenne 16 heures sur internet chaque semaine, contre 14 heures devant la télévision (Crédoc, 2010).

Ils sont ainsi, avec les cadres, les seules catégories à consacrer plus de temps à internet qu’à la télévision. Ce sont également les 12-17 ans qui détiennent le taux d’équipement en ordinateurs le plus élevé (96 %), davantage que les 18-24 ans (89 %) et les autres classes d’âge. Dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent à utiliser les technologies du quotidien : télévision, console de jeux, ordinateur, internet, téléphone mobile, etc. 1.1. 1. 2. 2.1. 2.2. 4.1. 4.2.