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Blockchain et confiance | Jérôme Roussin | TEDxChampsElyseesSalon. « La blockchain ou la confiance distribuée » – Bitcoin.fr. Publié dans Bitcoin, écrit par La rédaction Le vendredi 16 septembre 2016, 0:01 Yves Caseau, membre de l’Académie des technologies et Serge Soudoplatoff, « expert de l’Internet », ont publié en juin dernier une note de 52 pages intitulée « La blockchain ou la confiance distribuée », disponible sur fondapol.org : « Les grandes innovations sont le fruit du croisement de nouvelles possibilités technologiques et d’un contexte sociologique propice qui transforme ces technologies en usages. Ainsi, la blockchain est née, d’une part, de la rencontre de la cryptographie asymétrique et des systèmes distribués, et, d’autre part, d’un terreau sociologique opportun. Ce dernier résulte de la crise de confiance des citoyens envers les institutions, les amenant à chercher de nouvelles formes de gouvernance.

L’avènement d’Internet a démontré l’effectivité d’un système mondial de communication sans le besoin d’opérateurs de télécommunications. Source : fondapol.org. La blockchain est à la confiance ce que l'internet a été à la communication. XEnvoyer cet article par e-mail La blockchain est à la confiance ce que l'internet a été à la communication XEnvoyer cet article par e-mailLa blockchain est à la confiance ce que l'internet a été à la communication Fintech Ce tiers de confiance automatisé est appelé à révolutionner à terme les transactions et les échanges par Édouard Laugier Seize milliards de dollars, voilà le montant record annuel généré par le marché de l’art.

Tableaux, sculptures, gravures ou encore photographies, entre logique d’investissement, spéculation et collections de passionnés, ce marché bat chaque année des records de croissance. “Si un travail artistique est reproductible indéfiniment et gratuitement, comment un collectionneur peut-il savoir qu’il détient un original ?” Garantir l’authentification et le suivi du parcours des œuvres numériques est donc un enjeu de taille, condition sine qua non à l’essor d’un véritable marché de l’art digital. Stockage et transmission d’information Tiers de confiance automatisé. Pourquoi la Blockchain séduit les artistes ? - La Javaness. La Blockchain intéresse de plus en plus les artistes. Vivant à l’ère du numérique, les « créateurs » d’œuvres se posent de nombreuses questions concernant la diffusion de leurs productions sur Internet. Voici alors que la technologie Blockchain se présente comme étant une solution à un problème partagé par les artistes. Aujourd’hui, sur Internet, il est très facile pour qui que ce soit de copier – coller une œuvre artistique numérique (exemple : une musique) pour en faire un usage personnel.

On peut ainsi diffuser l’œuvre de manière infinie sans que les droits d’auteur ne soient versés au propriétaire de l’œuvre en question. Des solutions digitales ont permis jusqu’à aujourd’hui de plus ou moins tracer les œuvres (surtout en matière d’imagerie). Mais il reste encore très difficile de tracer la diffusion des œuvres sur la toile et surtout de rémunérer l’artiste après chaque utilisation. Pourquoi les artistes se montrent-ils donc intéressés par la Blockchain ? Fabrica - Fabrica is a communications research centre.

Blockchain: how the revolutionary technology behind Bitcoin could change the art market. Issues of provenance, copyright and authentication may soon become a thing of the past, if a potentially revolutionary technology is adopted as quickly by the art world as it has been by the financial sector. And it is not just Silicon Valley hype; art start-ups are already finding real-world applications for blockchain, the technology behind the cryptocurrency Bitcoin. While Bitcoin has recently had its struggles with internal disputes and a reputation for enabling drug deals, blockchain is emerging as the software with the most significant impact.

Highly secure A blockchain essentially acts as a public database on which transactions are permanently recorded. It is also highly secure: when a transaction occurs, instead of being recorded on a single, centralised ledger, it instantly appears on a vast network of computers. Although public, it can only be used with a specific “key”. Leading the way Access to all Getting physical Demystifying blockchain Simon Denny, 8_BNY Mellon (2016). Ikonotv.tumblr. Trailer September’s program brings together works that focus their attention on the corporal expression, the movement, and the representation of the body in paintings, sculptures, dance performances, and video works throughout the history of Art. Our Artist of the Month is an Italian Duo of performers and video artists:Francesca Leoni & Davide Mastrangelo, reflecting on the complexity of intimate interactions between human beings.

We will present on our free stream their works: L(Over)s, Pietà (live), Equi-librium, Person-A, Dicotomia, Androgynous, In-difference, and Simulacro. Enjoy beautiful Oriental Art pieces selected from the Museum Ca'Pesaro in Venice, a production by ikonoTV. As every September, ikono is enthusiastic to present a program rich of video dance pieces. On our stream you will also enjoy our films on, among others:Manet, Toulouse Lautrec, Ingres, Giorgione, Friedrich, Seurat, Mayakovsky, Sargent, Rodin, Degas, Burghel, and Rubens. Ready to enjoy it? Pourquoi la Blockchain séduit les artistes ? - La Javaness. Pourquoi les artistes vont adorer la blockchain. Les artistes numériques ont trouvé un allié inattendu et de poids… la blockchain ! Cette technologie sur laquelle est basé le bitcoin leur permet d'enregistrer de manière fiable et sécurisée leur droit de propriété sur une œuvre numérique, et d'en suivre la diffusion.

Cette authentification est essentielle pour les e-artistes, car c'est elle qui garantit la valeur de leurs œuvres (un Picasso qui n'a pas été signé n'a qu'une faible valeur, sauf s'il a été authentifié par une grande maison d'enchères par exemple). Sur le net, les vidéos, photos et autres sont très faciles à reproduire, grâce au simple copier-coller. Leur diffusion est impossible à contrôler. Les œuvres sont donc utilisées sans que les droits d'auteurs ne soient versés à l'artiste. Un registre virtuel plus fiable qu'un bloc de marbre Grâce à une ligne de code informatique, la propriété de cette œuvre est attribuée à un artiste, toujours sur ce registre inviolable.

Signer des contrats avec des galeries par exemple. Focus startup Tokyo : Meleap veut révolutionner la réalité virtuelle | L'Atelier : Accelerating Innovation. Economie collaborative : OuiShare se réinvente en questionnant le futur du travail | Mediatico. Economie collaborative : OuiShare se réinvente en questionnant le futur du travail | Mediatico. Poult : le management démocratique existe. Le groupe toulousain Poult est aujourd’hui le deuxième vendeur de biscuits en France, derrière Lu. Si la marque ne vous est pas aussi familière, c’est que Poult fabrique des produits affichant la griffe du distributeur. En fait, ses 5 usines et ses 800 employés fournissent quasiment toutes les chaînes de supermarchés et d’hypermarchés de l’Hexagone.

Jérôme Introvigne (@oimoci), ancien directeur de l’innovation a remplacé au pied levé Carlos Verkaeren, PDG de la société, sur la scène de Lift France. Il n’aurait logiquement pas dû être à Lift pour nous présenter cette dernière, puisqu’il l’a quittée la semaine précédente pour monter sa startup, Skiller, une plateforme collaborative de partage de compétence professionnelle !

Mais il reste cependant suffisamment enthousiaste à l’égard de son ancien employeur pour le représenter. Ce qui déjà en soi n’est pas si fréquent ! Image : Jérôme Introvigne sur la scène de Lift France. Mais comment passer à la pratique ? Rémi Sussan. L’holacratie, le modèle d’entreprise qui se passe de chefs. Connaissez-vous Zappos? Si vous êtes un fan de chaussures, vous avez déjà dû tomber sur cette enseigne de vente en ligne, dirigée par Tony Hsieh. Rachetée plus d’un milliard de dollars par Amazon en 2009, Zappos a mis en place un système de management à tout le moins peu banal, raconte le New York Times: l’holacratie. Il s’agit d’un système de management, comme son étymologie l’indique, où chacun des employés est une unité indépendante faisant partie d’un tout (holos, signifiant «le tout» en grec, et cratie, le pouvoir). Comme l’explique le quotidien américain, l’holocratie a été inventée par Brian Robertson, qui travaillait dans une entreprise de logiciels appelée Ternary Software.

Légende: <a data-cke-saved-href=" href=" _blank"="">Les bureaux de Zappos Par Tech Cocktail, via Flickr CC 2.0 License by Plus de managers. Chez Zappos, les employés sous-performants deviennent des "Héros" L'instauration de l'holacratie a généré bien des changements. Parmi eux, l'instauration d'une agence d'aide à la reconversion pour les salariés n'atteignant pas leurs objectifs.

Lorsque le fondateur et PDG de Zappos, Tony Hsieh a décidé de faire fonctionner son entreprise sur le modèle de l'holacratie, il a annoncé à son équipe que cela prendrait des années et que les choses ne seraient pas faciles. Zappos est en transition vers l'holacratie depuis 2013. Cependant, en 2015, seulement 85% des équipes fonctionnaient selon ce système, ce qui a poussé Hsieh à y aller franco et à faire la proposition suivante : rester dans l'entreprise ou accepter des indemnités de licenciement, ce que 210 des 1503 employés ont fait. Dans une holacratie, on ne retrouve pas les positions habituelles de cadres supérieurs. Le pouvoir, communément réservé aux cadres, est réparti dans toute l'organisation. "Certaines personnes envoyées à la Plage étaient fuies, comme si elles étaient contagieuses", écrit Hodge.

La blockchain et l’avenir du travail – Blockchain France. Une refonte du management grâce à la blockchain Retrouvez l’intervention de Philippe Honigman à la conférence Big Bang Blockchain Philippe Honigman travaille pour le projet Backfeed.cc, et est CEO et fondateur de Ftopia. Selon lui, les entreprises dans leur forme actuelle sont amenées à disparaître, pour trois grandes raisons : leur structure verticale et hiérarchique ; leur logique de compétition, face à des logiques de coopération qui prennent de l’ampleur (ex : open-source) ; la chute du salariat.

Les organisations collaboratives décentralisées (DCO), reposant sur des blockchains, pourraient les remplacer. Une DCO peut être définie comme une « association libre d’individus au sein de communautés ouvertes, poursuivant un même objectif et fonctionnant selon des règles définies collectivement ». –> Retrouvez les slides de cette présentation ici. Lire l’intervention suivante : La place de l’Etat et du droit dans la blockchain – Yves Moreau Sur le même thème Dans "Articles" Regards croisés sur la blockchain – Blockchain France. Interview extraite du livre La Blockchain décryptée – les clefs d’une révolution (juin 2016) : Nicolas Loubet est le cofondateur avec Clément Epié de Cellabz, un laboratoire d’innovation qui facilite l’appropriation des technologies émergentes dont la Blockchain. Marc Tirel est chercheur spécialiste des mouvements émergents, auteur de « Voyages en Emergences ». Quel regard portez-vous sur la blockchain ? Nicolas : Il faut regarder derrière la blockchain, ce qui se joue dans les marges.

Arrêtons de regarder le futur, soyons dans le présent : que peut-on faire ensemble ici et maintenant ? C’est cette question-là qui doit nous guider, en tant que citoyens, vis-à-vis de la blockchain. Voilà le type de phénomènes que la blockchain peut démultiplier. . « L’Etat devrait plutôt réfléchir à l’idée de développer des services publics fonctionnant grâce à la blockchain » Marc : La blockchain produira-t-elle du bien commun ou sera-t-elle accaparée par les grandes entreprises actuelles ? Sur le même thème. Buffer - A Smarter Way to Share on Social Media. JIRA Software - Issue & Project Tracking for Software Teams.

Loomio | Make Decisions Together. Using Slack – Slack Help Center. Colony. Backfeed. LinkedIn. Linc.cnil. La Blockchain libère les "entraves" de l'économie collaborative. Tout comme Internet a réinventé la distribution de l'information, la technologie Blockchain devrait transformer la façon de gérer les transactions, les contrats, et plus généralement la notion de confiance sur les réseaux sans tierce partie. Banques, notaires, assureurs, mais aussi les plateformes telles qu'Uber ou Airbnb seraient impactés par cette nouvelle disruption.

Cette technologie, qui sous-tend les crypto-monnaies comme le Bitcoin, fournirait une alternative crédible à l'infrastructure procédurale, organisationnelle et technologique indispensable au maintien de la confiance à l'échelle institutionnelle avec des conséquences profondes. « La confiance est une composante essentielle du fonctionnement de nos sociétés », explique Philippe Boyer, directeur de l'innovation à la Foncière des régions. « La confiance repose aussi sur des éléments objectifs : diplôme, réputation, références... La neutralité d'algorithmes incorruptibles Un protocole pour des usages en communs La grogne monte. La blockchain, tiers de confiance universel. Après le bitcoin, c’est à la blockchain de faire le buzz sur les réseaux sociaux. Un nombre croissant d’acteurs investissent temps et argent dans cet « Internet des transactions », allant du paiement à la notarisation des documents, le crowdfunding ou, encore, le travail collaboratif.

La blockchain est devenue un réel centre d’intérêt pour les banques. Cette technologie permet de sécuriser des échanges d’informations – et donc des transactions. Et selon une étude de Magister Advisors, le Top 100 des institutions financières mondiales va y investir un milliard de dollars d’ici à 2017. © Fotolia Plus d’une centaine de personnes assistaient, le 10 décembre dernier, à la Blockchain Business Conference, organisée par le groupe Finyear. Preuve s’il en est de l’engouement suscité par cette technologie ! Des paiements et transferts d’argent ultra-compétitifs ’il y a bien un domaine dans lequel la blockchain devrait percer, c’est celui des moyens de paiement. Un rôle d’incubateur A lire également.

Ces start-up qui misent sur la technologie blockchain. Plus grands, plus pros, plus nombreux : boom des espaces de coworking en 2015. C’est ce que révèle une enquête et infographie de Bureaux à Partager et La Fonderie. Autre info, surprenante : On trouve désormais autant de salariés que d’indépendants dans les espaces de coworking. De 250, le nombre d’espaces de coworking en France est passé à 360 entre 2014 et 2015, soit une augmentation de quasiment 50 % ! C’est le résultat d’une enquête et d’une infographie de Bureaux à partager, poids lourd du secteur et La Fonderie, agence publique numérique d’Île-de-France. Plus nombreux, plus grands, plus remplis Si les espaces de travail partagés sont de plus en plus nombreux, ils sont aussi de plus en plus pleins. On y organise souvent un à deux évènements par semaine avec, en premier lieu, des ateliers (73 %), mais aussi des apéros entre membres (66 %), des petits-dèj ou des déjeuners communs.

Autant de salariés que de freelance Autre enseignement de l’étude, qui ira contre quelques idées reçues : le coworking s’ouvre désormais aux entreprises. Crédit photo de une : Wework. La blockchain peut-elle renverser le management traditionnel ? L’organisation des entreprises est de plus en plus remise en cause. La blockchain permet elle une organisation du travail collaborative et auto-gérée. Source: www.maddyness.com Vous connaissez le phénomène de la Blockchain, ces bases de données décentralisées qui permettent de sécuriser des transactions entre deux parties en se passant d’un tiers de confiance?

Dans le domaine de la finance elle a, notamment, donné naissance au Bitcoin. Et elle inquiète beaucoup les banques, tiers de confiance monopolistique des transactions financières. Mais la blockchain connaît aussi des développements dans d’autres secteurs comme l’immobilier ou la politique. Les applications Backfeed et Colony appliquent ce phénomène de Blockchain au management. Sur le même thème L'entreprise en réseau, innovation des entreprises gagnantes L'entreprise en réseau est une évolution qui permet aux entreprises de s’adapter aux nouvelles exigences d’un environnement chaotique et incertain. 10 juin 2011 Dans "Futur du travail" 3 start-up françaises qui innovent avec la blockchain. Guide pratique sur les initiatives Blockchain | BNP Paribas Securities Services.

Travailler de manière collaborative, oui ! Mais comment s’organiser ? Comment la blockchain va tuer le management traditionnel. Décentralisation du travail et blockchain – Blockchain France. #Blockchain : La blockchain peut-elle renverser le management traditionnel ? - Maddyness. La blockchain et l’hégémonie du tout-collaboratif : et si c’était plutôt aux managers de “libérer” l’entreprise ? - Chaïkana.