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Énergie fossile...

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Comment Cuba survécut en 1990 sans pétrole. Le cartel du pétrole, les Rockefeller et l'Iraq. Le mythe de la fin du pétrole (+ vidéo. Opinion d’Evrard Lancrey Depuis longtemps on nous affirme que le pétrole va manquer. Déjà en 1913 le Bureau des mines aux Usa affirmait qu’il n’y en avait plus que pour 40 ans de réserves.

En 1972, le Club de Rome publie "Les limites de la croissance", estimant que les réserves seraient épuisées à la fin des années 1990. Aujourd’hui certains affirment que les réserves de pétrole sont épuisées, d’autres affirment que ces réserves s’épuiseront d’ici quelques années. La quantité de pétrole disponible ne dépend que de la technologie utilisée et donc du prix auquel on peut le payer car le pétrole n’est pas un liquide stocké dans un réservoir dont on connaît la quantité exacte et qu’on peut pomper jusqu’à la dernière goutte. On ne connaît pas toutes les réserves existantes puisque tout le sous sol de la planète n’a pas été exploré. Ces techniques inconnues il y a quelques années augmentent la quantité de pétrole disponible. Les réserves de pétroles non conventionnels sont gigantesques.

Pétrole contre nouriture

Le pic pétrolier mondial : on doit s'y préparer dès maintenant ! Alors la fin du pétrole, c'est pour quand ? > Pétrole. Le pétrole est le premier contributeur de nos besoins énergétiques ; C'est une source d'énergie non renouvelable, dont le stock diminue au fur et à mesure que nous le consommons. Or, nous en avons encore besoin car les énergies alternatives ne sont pas prêtes pour le remplacer massivement. Alors la fin du pétrole, c'est pour quand ? Entretien avec Roland Vially, géologue à IFP Energies nouvelles (IFPEN) Où en est-on des réserves de pétrole ? R. Mais la date du peak oil n'est pas figée car le chiffre des réserves prouvées évolue.

. • Les progrès techniques nous permettent d'exploiter des gisements plus complexes Y a-t-il des incertitudes sur les chiffres de réserves ? R. Certains géologues pessimistes contestent les chiffres officiels. Pour les plus optimistes, la date du peak oil se situerait aux alentours de 2025 en tenant compte des nouvelles découvertes, 2035 si l'on prend en compte l'exploitation des pétroles non conventionnels. R. Et les pétroles non conventionnels ? R. R. A propos de "la fin du pétrole bon marché" A propos de la "fin du pétrole bon marché". Par Jean-Marie Martin (IEPE - CNRS - Université de Grenoble) Sous le titre "la fin du pétrole bon marché", le magazine "Pour la science" vient de publier (mai 1998) un article de deux géologues pétroliers bien connus Colin Campbell et Jean Laherrère.

Leur principale conclusion est que "même si l'on tient compte des récentes découvertes de pétrole, l'offre "classique", celle du pétrole bon marché, ne satisfera plus la demande dans moins d'une dizaine d'années" (p. 30). Ils en déduisent un certain nombre de recommandations (préparer la transition par une diversification des techniques en direction de nouveaux carburants, une énergie nucléaire plus sure, des énergies renouvelables moins chères) auxquelles nous souscrivons totalement en ajoutant "maîtriser plus que jamais la demande d'énergie".

L'argumentation des deux auteurs est-elle pour autant inattaquable ? 3.1. 3.2. 3.3. 4.1. 4.2. Références. WordPress » Erreur. Or donc, le pdg de Shell annonce qu'il faudrait trouver d'ici dix ans l'équivalent de quatre nouvelles Arabies Saoudites, rien que pour maintenir la production mondiale à son niveau présent. Il paraît aujourd'hui très (très) peu vraisemblable que l'industrie soit capable d'accomplir un tel "exploit", ne serait-ce qu'à cause de la (beaucoup) trop faible importance des nouveaux projets d'extraction annoncés jusqu'ici.

Mais le pronostic de déclin de la production aujourd'hui existante mis en avant par Shell est-il lui-même vraisemblable ? Oui ! A y regarder de près, on s'aperçoit même du grand niveau de concordance des scénarios disponibles, qu'ils soient ou non issus de l'industrie. Si l'on en croit l'ambassadeur saoudien auprès de l'Opep, le taux de déclin mondial des champs existants est encore plus élevé que ce qu'affirme Shell : de « 6 à 8 % par an ».

Sadad Al Husseini, ex-n°2 de la compagnie pétrolière nationale saoudienne, m'a indiqué : Pendant combien de temps encore ?