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Cours L1

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LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Le phénomène de latéralisation dans le cerveau implique qu’une fonction donnée est contrôlée préférentiellement par un côté du cerveau. Les hémisphères droit et gauche du cerveau sont ainsi le siège de fonctions cognitives distinctes dont la complémentarité est assurée par le corps calleux, principal faisceau de fibres nerveuses reliant les deux hémisphères. La latéralisation semble être une ingénieuse stratégie mise en place au cours de l’évolution pour rentabiliser au mieux l’espace disponible dans le cerveau. Elle augmente par exemple la vitesse de traitement en évitant les longues connexions nécessaires pour relier entre elles deux régions situées de part et d’autre de l’encéphale. De plus, lorsque deux zones symétriques n’assument pas la même fonction, on « double » d’une certaine manière les capacités cognitives du cerveau. La préférence manuelle et le langage sont deux fonctions particulièrement latéralisées.

La véritable histoire de Phineas Gage, le patient le plus célèbre des neurosciences. A chaque génération, on revisite le mythe de cet homme dont le traumatisme crânien nous a appris que le cerveau est la manifestation physique de la personnalité et du sentiment de soi. Cet homme, dont la personnalité aurait complètement changé après un accident de barre à mine. Son histoire n'est peut-être pas celle qu'on vous a racontée, elle n'en est pas moins fascinante. 1.Du contremaître bien sous tout rapport au vagabond sociopathe C'était le 13 septembre 1848, aux alentours de 16h30, ce moment de la journée où l'esprit aime à divaguer. Phineas Gage, un contremaître des chemins de fer, bourre de poudre un trou de dynamitage puis tourne la tête vers ses ouvriers.

Ce fut le dernier moment normal de son existence. Dans les annales de la médecine, les malades et les victimes sont presque toujours désignés par leurs initiales ou des pseudonymes. La réputation de Gage n'était plus à prouver, c'était même le meilleur contremaître des environs. «Je crois que vous allez avoir du boulot.» La théorie du cerveau triunique | intelligencecollectiveconsciente. Théorie du cerveau triunique[1] Annexe du livre La vitalité d’une néo-RenaiSens Comprendre notre société en mutation Christine Marsan Introduit par Paul Mac Lean en 1969, cette vision de l’organisation neuroanatomique est un outil théorique, aujourd’hui controversé, permettant de modéliser l’architecture fonctionnelle du cerveau et l’organisation générale de ses principales aires en relative interdépendance.

Phylogénie du cerveau triunique Le cerveau reptilien Le cerveau reptilien serait donc notre premier cerveau. Au niveau purement anatomique, il correspond, chez l’être humain, au tronc cérébral. Il est responsable des comportements primitifs assurant nos besoins fondamentaux. Ce cerveau primitif de reptile entraîne des comportements stéréotypés, pré-programmés. Le cerveau limbique Le deuxième cerveau, dans l’évolution de l’espèce, est le cerveau limbique, que nous partageons avec les mammifères dits inférieurs, tels les rats ou les lapins[2]. Le cerveau cortical Critique du concept J'aime : Cellules procaryotes et cellules eucaryotes. I) Les cellules procaryotesII) Les cellules eucaryotes 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes2) Organisation des cellules eucaryotes3) HoméostasieIII) Les caractères distinctifs entre procaryote et eucaryote 1) Les procayotes2) Les eucaryotes Les deux grands types d’organismes cellulaires, procaryotes et eucaryotes, ont un ancêtre commun unicellulaire appelé proto-cellule ou progénote qui est un organisme procaryote.

Les procaryotes sont identifiés aux bactéries : la plupart vivent comme des organismes monocellulaires mais certaines bactéries s’associent en chaînette. Les procaryotes ont leur ADN dans le cytoplasme de la cellule. Les eucaryotes (ou « noyau-vrai ») possèdent un noyau, compartiment séparé du reste du contenu cellulaire, qui contient l’ADN. Attention les virus, ou acaryotes, sont des éléments (et non des cellules) qui ne possèdent ni de noyaux ni de cytoplasme et ne peuvent se reproduire qu’en parasitant une cellule hôte en détournant la machinerie cellulaire.