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Démondialisation

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Mondialisation/démondialisation : pour en finir avec les bavardages, les gesticulations et l'obscurantisme. ‘'- J'vous dis qu'il faut démondialiser !

Mondialisation/démondialisation : pour en finir avec les bavardages, les gesticulations et l'obscurantisme

'' (Sapir, Montebourg, etc, etc...) ‘'- Mais non, j'vous dis qu'il faut mondialiser,...'tention, intelligemment ! '' (Lordon, Harribey, etc, etc...) ‘'- Mais pas du tout ! Bref, une fois de plus, l'absence de rigueur fait des ravages (dont le moindre n'est pas l'OPA de qui vous savez sur ce que vous savez !). ‘'- Une fois de plus'' ? Mais oui, la ‘'dernière fois'', c'était (c'est toujours !) Mais revenons à nos moutons... Soit donc la controverse démondialisation/mondialisation : pourquoi doit-on dire qu'elle est biaisée ?

Evidemment, la réponse est que le capitalisme n'est pas plus (moins !) Ce qui FONDE le capitalisme NATIONALEMENT et (ET !) Attac s'inquiète du sort de la démondialisation. ( capture d'écran Dailymotion - AttacFrance - cc ) Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ».

Attac s'inquiète du sort de la démondialisation

Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » [1]… Dépolluer du FN Du même auteur Du problème en question, il est sans doute utile de commencer par déblayer la situation politique – entendre la dépolluer du Front national. Lire la suite de l'article sur La pompe à phynance, le blog de Frédéric Lordon. La démondialisation mérite mieux qu'un échange d'invectives. La démondialisation, dernière hérésie dont on cause. Rodho Quiconque s'intéresse à la politique est forcément un collectionneur de gros mots.

La démondialisation, dernière hérésie dont on cause

L'histoire politique pourrait aussi se faire par les hérésies successives qui ponctuent la vie publique. Et le gros mot politique, depuis la semaine dernière, est celui de démondialisation, qui rejoint aux panthéon des « maux-dits » quelques autres concepts comme protectionnisme, sortie de l'euro, nationalisation des agences de notation, etc.

A quoi reconnaît-on un gros mot en politique ? Il est, avant tout, archaïque. Quelques minutes après Alain Duhamel, sur une radio concurrente, Europe 1, une autre personnalité, François Bayrou, réglait la question en un coup de cuillère à pot : la démondialisation, selon lui, ce n'est pas sérieux puisque seules l'extrême droite et l'extrême gauche en parlent. Du même auteur Mais le centre droit ou gauche, politique ou éditorial n'a pas le monopole de la lutte contre la démondialisation... et de la bêtise en politique. Revenons sur terre.