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Épicerie

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Jamieolivericecream. Le temps des fraises. Les nouvelles techniques de production et la multiplication des variétés étirent la saison des fraises au Québec. Cette année, elle s’annonce excellente. Zoom aux fraises. La fraise cultivée « plein champ » va arriver sur le marché cette semaine dans la plupart des régions du Québec. C’est le 29 mai qu’on a cueilli les premières fraises de la province cette année. La saison des fraises du Québec n’aura jamais été aussi longue : elle devrait durer cinq mois et se terminer peu avant l’Action de grâce, au début octobre. Les années de dépérissement des fraisiers qui ont fait mal à la production semblent derrière nous. On produit maintenant autant de fraises du mois d’août au mois d’octobre qu’on en produit en juillet, au cœur de l’été : 190 producteurs québécois font de la fraise d’automne.

C’est officiellement le nombre de producteurs de fraises du Québec. Nombre de cultivateurs (sur 538) qui possèdent la certification biologique au Québec. Veestar Dès le début juin Annapolis Honeoye Jewel Kent. Qui vérifie les étiquettes des aliments. 1. Que regardez-vous en premier sur les étiquettes nutritionnelles ? Les calories : 28 % des répondants La quantité de sodium ou sel : 20 % La quantité de glucides ou de sucres : 19 % La quantité de gras trans : 16 % Je ne regarde jamais les étiquettes nutritionnelles : 8 % La quantité de protéines : 6 % Aucun chiffre en particulier : 2 % Autre : 1 % 2. 55 % : regarder les étiquettes nutritionnelles et déterminer quel produit est le meilleur. 23 % : acheter votre marque habituelle. 22 % : acheter une marque ayant une mention santé (réduit en gras, 30 % moins de sel, etc.). 3. 35 % : regardez l’étiquette nutritionnelle avant de l’acheter. 30 % : comparez l’étiquette nutritionnelle avec d’autres marques. 21 % : l’achetez sans vous poser d’autres questions. 13 % : regardez la liste d’ingrédients.

Source : Sondage annuel du programme Melior réalisé par CROP, obtenu par . Méthodologie : CROP a contacté 1000 Québécois âgés de 18 ans ou plus par l’entremise d’un panel web. Qui vérifie les étiquettes des aliments. Qui vérifie les étiquettes des aliments. Vous comptez sur l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) pour vous assurer que votre sandwich contient vraiment 480 calories. Pas 100 calories de plus, comme le montrent les analyses faites par . Or, le nombre de tests de vérification de l’étiquetage nutritionnel menés dans les laboratoires de l’agence fédérale a chuté de plus de la moitié, en cinq ans. Alors que 2721 analyses nutritionnelles avaient été faites dans les laboratoires de l’ACIA en 2009-2010, à peine 1097 analyses ont été recensées en 2013-2014. Plus inquiétant : le nombre d’analyses révélant une non-conformité – constatée quand les valeurs de l’échantillon ne correspondent pas à celles de l’étiquetage – est six fois moins important qu’avant (il est passé de 232 à 40).

Comment expliquer cette baisse ? « Est-ce que l’ACIA a la capacité de faire un suivi serré de tout ce qui sort sur le marché ? L’ACIA comptait 4639 membres du « personnel d’inspection » en mars 2014. Qui vérifie les étiquettes des aliments. L'étiquetage alimentaire est-il efficace? Après l’exercice, la cuisine et le jardinage, la première dame des États-Unis vient d’ouvrir un nouveau front dans la prévention de l’obésité : l’étiquetage des aliments. C’est donc elle qui a présenté, le 27 février dernier, les nouveaux modèles développés par la Food and Drug Administration (FDA). Et ici ? Le processus de « modernisation de l’étiquetage » annoncé par le gouvernement Harper démarre à peine. Santé Canada a tenu une consultation en ligne l’automne dernier, sans présenter de modèle précis. On demandait aux participants ce qu’ils pensent de l’étiquetage actuel et ce qu’ils voudraient voir changer. Des recommandations devraient être présentées au printemps. La nécessité d’améliorer l’étiquetage nutritionnel ne fait pas de doute.

Certains éprouvent aussi des difficultés à : – Comparer les produits – Calculer la teneur en calories – Comprendre les allégations – de gras et de calories ; + de fibres, de fer et de vitamine C. Les étiquettes ne font pas de miracles. Le panier d’épicerie des Québécois : portrait et évolution des dix dernières années. Un supermarché avec «zéro emballage», c'est possible. Il va ouvrir en Allemagne. Imaginez un supermarché où les pots de yaourts n'existeraient pas, où le shampooing s'achèterait au centilitre, où les légumes ne seraient pas vendus sous plastique... Un supermarché dont on sortirait sans devoir ramener chez soi pléthore d'emballages à trier et à jeter à la poubelle.

C'est le rêve de deux jeunes Berlinoises qui ont monté la start-up Original Unverpackt, jeu de mots qu'on pourrait à la fois traduire par «sans emballage d'origine» et «non emballé à l'origine». Elles projettent d'ouvrir prochainement à Berlin le premier supermarché allemand à proposer des produits non emballés, rapporte le quotidien Süddeutsche Zeitung. Dans leur magasin, dont elles cherchent encore les futurs locaux, les produits de consommation courante seront stockés dans de grands récipients et vendus au poids. Les clients auront le choix entre apporter leurs propres récipients, se procurer sur place des récipients réutilisables ou bien utiliser des sacs en papier recyclé. Les Québécois deviendraient-ils végétariens…? | Nutrition Quebec, une source fiable d'information et de conseils en nutrition!

20 avril 2012 at 14:07 charlottegeroudet Il fut un temps où la cuisine québécoise du quotidien était robuste : viandes et tubercules étaient abondamment servis à nos tables. Ce régime alimentaire adapté aux aléas d’un climat hostile, comme le veut le cliché, a néanmoins la vie dure de nos jours. Les Québécois se tournent en effet de plus en plus vers des aliments variés, légers et bons pour la santé.

C’est tout le secteur alimentaire, dont l’offre des restaurants, qui s’en trouve modifié. Des préférences alimentaires qui évoluent… Les goûts des Québécois en matière culinaire ont énormément évolué au cours des dernières années. Les restaurants doivent nécessairement faire face à ce changement d’attitude culinaire des Québécois. Isabelle Verdier, directrice des relations publiques et des communications chez Commensal, confirme : « Une chose est certaine : il y a une forte demande pour tout ce qui est considéré santé ».

Le flexitarisme, de plus en plus tendance! Like this: J'aime chargement… Agence fruits et légumes frais : fiches nutritionnelles par produits - Les principales caractéristiques. Le champignon cultivé a une composition qui se rapproche de celle de la plupart des légumes frais. Il s'agit en effet d'un aliment : - Riche en eau, en fibres, en minéraux et en vitamines. - Apportant très peu de lipides et de glucides. - Et fournissant très peu de calories (en moyenne, 15 kcalories soit 63 kJoules aux 100 g). Néanmoins, le champignon cultivé - et l'on prendra comme référence le champignon de couche, de loin le plus consommé en France - présente plusieurs particularités nutritionnelles intéressantes.

Ainsi, le champignon de couche est plus riche en protéines que la plupart des légumes frais : sa teneur varie entre 2,1 et 3,3 %, au lieu de 1 à 2 %. Ces protéines sont mieux pourvues acides aminés soufrés - méthionine et cystine - que les protéines des végétaux frais. Mais leur valeur biologique reste inférieure à celle des protéines d'origine animale : elles sont en effet déficitaires en certains acides aminés indispensables (en particulier en tryptophane). Source Aprifel. Les alimenteurs (documentaire complet) 7 idées pour consommer local et pas cher. ENVIRONNEMENT - Consommer local n'a jamais eu autant le vent en poupe. Comme le souligne la blogueuse Anne-Sophie Novel, "manger local, c'est retrouver un lien au temps, aux saisons, aux saveurs. " En fait, consommer local, c'est retrouver le bon goût des vacances chez mamie, ses confitures, ses tartes au coing, le marché aux fleurs...

Consommer local a pour avantage de favoriser les circuits courts: plutôt que d'acheter un yaourt dont l'emballage vient d'Angleterre et les ingrédients de Bulgarie, on l'achète au marché, à un laitier qui a fait lui-même son produit. C'est plus écologique et surtout plus logique. Par ailleurs, comme le souligne une enquête effectuée par le Ministère de l'écologie en mars 2013, le consommer local permet de rapprocher le producteur du consommateur.

On connaît la personne qui a fabriqué ou cultivé le produit, et l'on sait ce que l'on consomme. Non, le local n'est pas ruineux! Problème: tout ça est cher, très cher. Voici un diapo qui devrait vous en convaincre:

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