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Mémoire

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La 2e guerre mondiale en jeunesse et ado - Liste de 31 livres. La Seconde Guerre mondiale dans la littérature de Jeunesse. Un jeune Français sur cinq ne connait pas la Shoah selon une étude. Les Européens oublient la Shoah, les jeunes tout particulièrement.

Un jeune Français sur cinq ne connait pas la Shoah selon une étude

Pire, les stéréotypes les plus dangereux sur les juifs sont toujours très présents dans tous les pays du continent. "L'antisémitisme n'a jamais disparu en Europe. Il est bien vivant et frappe du pied", telles sont les conclusions de l'enquête menée par la chaîne d'information américaine CNN. En tout, 7 000 Européens ont été interrogés, 1 000 dans sept pays différents : le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Suède, la Pologne, la Hongrie, l'Autriche et la France.

Un tiers des ressortissants de ces pays, entre 18 et 34 ans, disent "ne pas connaître grand-chose", de la Shoah. De l'ignorance à l'antisémitisme Ce qui paraît le plus préoccupant dans cette enquête n'est pas tant l'ignorance de la Shoah au sein des jeunes européens que l'importance de l'antisémitisme. Cette enquête a été mené dans un contexte européen particulier. Des stéréotypes dangereux et incrustés dans les esprits.

Hongrie et Pologne face à leur passé. Pourquoi il est improbable qu'"un quart des jeunes Français" ne connaissent pas la Shoah. "Une ombre sur l'Europe" : dans un dossier publié mercredi sur son site, la chaîne américaine CNN, s'appuyant sur une étude transnationale de l'institut de sondage britannique ComRes Global, dresse un tableau sombre de l'enracinement de l'antisémitisme sur le Vieux Continent.

Pourquoi il est improbable qu'"un quart des jeunes Français" ne connaissent pas la Shoah

Un élément en particulier a été aussitôt repris par la presse française : le taux accablant de jeunes Français, bien supérieur à la moyenne européenne, disant ne pas avoir conscience du génocide juif pendant la Seconde Guerre mondiale. Selon les titres de plusieurs sites d'info, "21% des Français de 18 à 34 ans" n'auraient "jamais entendu parler de la Shoah", voire "près d'un quart" et même "un quart". Sur les sept pays européens étudiés, c'est en France, pointe l'étude, que la population serait la plus nombreuse à avoir oublié l'extermination des juifs durant la Seconde Guerre mondiale.

Holocauste ou Shoah ? Le même graphique, pour les ouvrages en langue anglaise (Google Books / Ngram Viewer). Lectures pour les collégiens - Sélection spéciale « Seconde Guerre mondiale » Bibliographie 2e guerre. Littérature jeunesse : découvrez les récits passionnants d'enfants pendant la guerre.

Chronique du 13 novembre 2018 : La petite fille qui voulait voir la guerrede Jean-Yves Le Naour et Christelle GallandÉditions GRAND ANGLE A partir de 9 ans La petite fille qui voulait voir la guerre est une très jolie bande dessinée.Elle raconte en parallèle les aventures de Clémence, une fillette de 10 ans, qui vit en 2018 et celles de son aïeule qui vivait en 1914.

Littérature jeunesse : découvrez les récits passionnants d'enfants pendant la guerre

En préparant un exposé sur la guerre de 14/18, Clémence découvre l’histoire de son arrière-grand-mère, prénommée elle-aussi Clémence, au travers de ses lettres. Cette petite fille intrépide et aimante ne se satisfait pas d’attendre des nouvelles de son père parti au front. Cette bande dessinée est très belle et très sensible. Elle dresse un tableau très intéressant de la vie à l’arrière, loin des tranchées pendant la première guerre mondiale d'autant plus réaliste que Jean-Yves Le Naour est historien.

Touchante, humaniste et féministe, cette bd permettra d’intéresser tous les enfants à cette guerre qui paraît parfois lointaine. Cours Otto. Article CAIRN. Se construire grâce au roman miroir. L’homme se construit tout au long de sa vie : il construit son identité, mais aussi le sentiment qu’il a de celle-ci.

Se construire grâce au roman miroir

Il est des périodes calmes, d’autres plus mouvementées, soit pour des raisons de développement (l’adolescence en fait partie), soit pour des raisons conjoncturelles, accidentelles, qui font traumatisme. On parle communément de crise à propos de l’adolescence. Elle n’est pas forcément violente ni bruyante. Par le mot crise, il convient d’entendre, avec le psychanalyste René Kaës(1)Crise, rupture et dépassement, Dunod, 1979., ces transformations physiques et psychiques, qui s’imposent à lui, qu’il ne comprend pas toujours et qu’il doit aussi se représenter, c’est-à-dire symboliser. Enfants en temps de guerre et littératures de jeunesse - Colloque - EVE. Consulter le programme Quel champ de recherche ?

Enfants en temps de guerre et littératures de jeunesse - Colloque - EVE

La littérature de jeunesse a acquis partout dans le monde une légitimité et une complexité qui l’autorisent à aborder des sujets jugés délicats, voire tabous, par les sociétés. À cet égard, il est intéressant de considérer comment des créateur-trice-s de différentes aires géographiques et culturelles mettent en scène telle guerre à partir du 20e siècle ou l’état de guerre en général, ainsi que l’exil forcé quand il est une conséquence directe des guerres. Quelles questions ? Support de cours Ac Grenoble. Grand-Père analyse. Article HAL. PUBLICATION 8313. Bibliographie sélective médiathèque. La 2e guerre mondiale à hauteur d'enfant. Et on commence avec le remarquable album documentaire de Philippe Godard : La guerre de 39-45 racontée aux enfants.

La 2e guerre mondiale à hauteur d'enfant

Remarquable car il ne se contente pas de s’arrêter aux dates charnières du conflit, il tente, en permanence, de problématiser les événements, à hauteur d’enfant, pour leur faire comprendre ce qui distingue le conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Iconographie choisie mêlant documents d’époque, photos en noir et blanc et images colorisées, textes brefs extrêmement clairs ; l’ouvrage est par ailleurs scandé par des points de vue ou témoignages d’enfants. C’est aux éditions De la Martinière Jeunesse, pour les 9 ans et plus. On poursuit avec une salve de rééditions. Et tout d’abord chez Folio Junior, le journal d’Hélène Pitrou, de Paule du Bouchet. J’ai vécu les camps de concentration. Enfin autorisons-nous une brève incursion du côté de la BD pour signaler le très bel album moyen format de Béatrice Fontanel et Lindsay Grime sur Hannah Arendt.