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Les espaces maritimes approche géostratégique

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Réaliser un travail de production collaboratif à partir d'informations et d'éléments de cours.

2018: Les espaces maritimes, enjeux géostratégiques TS4. 2018: Les espaces maritimes, enjeux géostratégiques. TS2. Les espaces maritimes. Les espaces maritimes : approche géostratégique. Rotterdam, géant des mers.

Tâche complexe: Les espaces maritimes, des espaces au centre d'enjeux multiples et difficilement contrôlables

Comment les Etats se partagent l’océan et ses ressources. Transport, frontières, pêche, sous-sol… A qui appartient la mer ? La question est aussi simple que les réponses sont complexes. Comment est régi le droit de la mer ? Le droit de naviguer et commercer librement à travers le monde a été théorisé en 1609 par le Hollandais Hugo Grotius. Il s’agissait alors d’empêcher les Portugais de bloquer la route des Indes.

En 1958, les Nations unies font une première tentative de codification du droit maritime, aussitôt remise en cause par les pays en développement. Elle n’entrera en vigueur qu’en 1994. Que dit la convention de Montego Bay ? Elle découpe la mer en tranches en fonction de son éloignement de la côte. Au-delà, c’est la «haute mer», territoire appartenant à la fois à personne et à tout le monde. Quelle est la particularité de la mer de Chine méridionale ? Que réclame la Chine ? A lire aussi Chine Méridionale : bras de fer pour un bras de mer Quelle est la réaction internationale ?

La Chine n’utilise que des moyens civils pour occuper la zone. Les ressources maritimes au cœur des tensions internationales. Les tensions pour asseoir la souveraineté des Etats sur des zones maritimes, se multiplient un peu partout à travers le monde. Mer de Chine, pôle Nord, golfe de Guinée. Les espaces maritimes sont un enjeu, en raison des ressources qu’ils détiennent. En théorie, la Zone économique exclusive (ZEE) garantit leur exploitation au pays riverain concerné. Mais en même temps, elle est source de conflits.

La convention de Montego Bay, signée en 1982, invente la Zone économique exclusive (ZEE). De quoi aiguiser les appétits des uns, et les récriminations des autres. Or justement, la zone économique exclusive, on l’a vu, permet à peu de frais de se tailler un empire maritime avec l’exploitation exclusive qui va avec. Carte des tensions en mer de Chine méridionale Une ZEE se revendique, et le demandeur doit apporter la preuve de son droit à exclusivité. Manifestation anti japonaise à Shenzhen (Chine) le 18/9/2012© AFP/Peter Parks © REUTERS / Michael Studinger / NASA / Handout. Productions Numériques - Un monde d'océans - Webproductions. Dans les glaces du Groenland Il y a plus de 80 ans Alfred Wegener entreprenait la plus grande expédition encore jamais tentée au Groenland.

Une véritable aventure à rebondissements, qui pose les bases des expéditions scientifiques polaires. Du plastique plein la mer Un web-documentaire d’Alexander Lahl et Max Mönch sur l’omniprésence du plastique dans les océans et ses effets sur les organismes marins… et au final sur nous ? Une enquête surprenante auprès des plus grands spécialistes. Le monopoly des océans Un web-documentaire d’Alexander Lahl et Max Mönch. Une enquête destinée à mieux comprendre les enjeux de la course des États à l’exploitation des ressources naturelles des océans. Des interviews, animations et autres quiz vous feront y voir plus clair dans ces eaux troubles de la chasse à la possession des fonds marins… Des projets interactifs réalisés en partenariat avec le « Wissenschaftsjahr 2016*17 ».

La Somalie, piraterie et affairisme. Depuis 2008, l’Union européenne est présente au large des côtes somaliennes à travers l’opération « Atalante » (EUNAVFOR), aux côtés des Etats-Unis et de l’OTAN et de pays présents à titre individuel (Chine, Russie, Inde, Iran, Japon…). Soit une trentaine de navires de guerre couvrant une surface supérieure à celle de la mer Méditerranée. Malgré ce déploiement, les attaques des pirates n’ont jamais été aussi nombreuses qu’en 2010, et les premières semaines de l’année 2011, bien que marquées par quelques interceptions et libérations réussies, ne semblent pas montrer d’inflexion (il y aurait aujourd’hui 1 181 membres d’équipage retenus en otages le long des côtes somaliennes).

Les attaques s’effectuent de plus en plus loin du littoral (là où la surveillance maritime s’estompe), jusqu’à 1 500 kilomètres des côtes africaines, soit entre les Seychelles et Maldives vers l’est, et jusqu’au canal du Mozambique au sud. Une « approche globale » pour dépasser la piraterie Il y a en effet urgence.