Programme IMPACT Ashoka. Le PEPITE-LR. Créer sa start-up ? Boîte à outils. Le programme Jeun’ESS. Les jeunes connaissent peu ou mal l’économie sociale et solidaire (ESS) et très peu d’entre eux savent comment participer concrètement à cette économie.Pourtant :… ils adhèrent massivement aux principes portés par l’ESS… l’ESS a impérativement besoin d’eux pour créer de nouvelles entreprises sociales innovantes, faire face aux départs à la retraite, renouveler les instances de gouvernance et pour être porteurs d’une société plus solidaire.Pour mieux faire connaître l’économie sociale et solidaire auprès des jeunes et renforcer leur implication dans ce secteur, le Programme Jeun’ESS a été lancé en juin 2011 dans le cadre d’un partenariat Public/Privé réunissant l’Etat, la Caisse des Dépôts, et six entreprises et fondations de l’économie sociale .
Ce programme a été doté de 1,9 millions d’euros. Les objectifs du programme Le Programme Jeun’ESS s’est donné trois objectifs principaux, constituant les trois axes de son intervention : Les actions du programme Les partenaires Lire la suite → Noël zéro gaspi: on veut (quand même) des cadeaux! Le jeu de société pour changer les mentalités. C’est l’endroit de tous les possibles!
Grâce aux jeux, on peut devenir pirate ou milliardaire en deux jetés de dés, voire même un entrepreneur social comme dans Fricsol… Mais au-delà de l’aspect ludique, le jeu de société peut devenir une « micro école de la vie », comme l’appelle Stéphane Cloux, animateur à Ludomonde à Paris, qui propose formations et animations autour du jeu. Pour lui, cela aide à se projeter dans des situations particulières et à expérimenter dans un cadre sécurisant et surtout amusant. Et à aborder certaines problématiques, notamment chez le jeune public. « J’ai été contacté par une communauté de communes qui cherchait une nouvelle façon de sensibiliser au tri des déchets, relate Yann Droumaget, animateur de la Boite des jeux, dans le Finistère.
. « Si il y a de l’enjeu il n’y a plus de jeu » « Dans mon deuxième jeu « le pont infernal », explique Yann, le joueur vide sa maison, et suit un parcours vers la déchetterie, pour lequel il faut passer sur un pont. Fricsol, le jeu qui sensibilise à l’entrepreneuriat social. La vie est un jeu, paraît-il.
Pour ma part, je n’avais plus joué à un jeu de société depuis longtemps. Et à force de lire des articles sur les « serious games », il était temps de m’y mettre. Alors quand j’ai entendu parler de l’animation proposée par l’association régionale Cigales (Club d’investisseurs pour une gestion alternative et locale de l’épargne solidaire) Poitou-Charentes, autour de son jeu Fricsol, je me suis lancée ! Me voilà au lycée Doriole de La Rochelle. Jean-Yves Angst, président des Cigales Poitou-Charentes (et depuis peu, coprésident de la Fédération nationale des Cigales), est venu avec deux jeunes en service civique – Léa Gabillard et Tony Raux – présenter leur « anti-Monopoly », Fricsol. Entreprendre, c’est du boulot !
Le but du jeu est simple : développer une activité dans le secteur de l’économie sociale et solidaire. On décide de jouer par binômes. On commence à jouer. Se confronter aux dilemmes des entrepreneurs. Project place - La plateforme internationale de collaboration de l'ESS. Chroniques. Des idées pour s’engager. Aider les détenus: « tout le monde mérite ce soutien basique » « C’est un acte de foi dans l’humanité.
Je considère que tout le monde mérite ce soutien basique qui est d’être écouté. » Chaque semaine depuis un an et pendant une demi-journée, Adeline, 34 ans, rend visite à des détenus dans une prison de Dordogne. Sensibilisée aux vertus de l’écoute, notamment via une précédente implication auprès de l’association Astrée, elle considère qu’elle offre « une fenêtre sur le monde » à prisonniers qui « sont souvent solitaires et avides de rencontrer quelqu’un d’extérieur à leur univers.« Une « fenêtre sur l’extérieur » Adeline est passée par l’Association nationale des visiteurs de prisons (ANVP) qui offre un cadre aux bénévoles. « On participe à des formations (droits et obligations du visiteur, informations sur le monde pénitentiaire, formation à l’écoute…), des réunions, on n’est pas seuls! Partager ses compétences Le savez-vous ? Défendre les droits des détenus « On intervient toujours par groupe de deux au minimum.
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