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Bedier_tristan_et_iseut. Légendes médiévales: Tristan et Yseult. Tristan est le fils de Rivalen, roi du Léonois et de Blanchefleur, sœur du roi Marc de Cornouailles, dès sa naissance voué au malheur. Iseut (Iseult, Yseut, Yseult, Isolde ouYsolde) la blonde est la fille du roi d'Irlande. Tristan et Iseut Edmund Blair Leighton (1902) CP Son père perd sa couronne, et sa mère meurt en le mettant au monde.

On comprend rapidement pourquoi il se nommait ainsi. Parti à l'aventure après avoir été élevé par Gorvenal, Tristan, alors âgé de quinze ans, arrive à la cour de son oncle le roi Marc, et fait l'admiration de tous, tant par sa bravoure que par ses dons de harpiste. Mais ayant tué le géant Morholt, beau-frère du roi d'Irlande, il est blessé par sa lance empoisonnée et on le laisse, seul, dans une barque à l'abandon, qui finit par aborder en Irlande, où Tristan se fait passer pour le jongleur Tantris.

Quand il revient en Cornouailles, les barons l'accusent de vouloir empêcher le mariage de son oncle qui commence à se faire vieux. Iseut Gaston BUSSIERE. Moyen Âge. La chute de l'Empire romain annonce une période sombre dans toute l'Europe, les tribus germaniques prennent le contrôle des régions. Rapidement, les Francs vont s'imposer et aboutir à la formation de l'Empire carolingien véritable pôle d'une renaissance culturelle. Au delà des invasions normandes, la ferveur religieuse entraîne les Croisades et les innombrables pèlerinages. Tandis que les principes de la féodalité aboutiront à un long conflit entre la France et l'Angleterre qui renforcera le pouvoir royal.

La société du Moyen Âge Le système féodal Le système féodal qui s'est installé en Europe depuis l'empire carolingien de Charlemagne, a entraîné une décentralisation du royaume en plusieurs territoires autonomes. La ferveur religieuse La ferveur chrétienne s'est progressivement ancrée dans la France du Moyen Âge. L'Art de la Guerre Le guerrier médiéval s'est considérablement développé avec de nouvelles armes et armures.

Héraldique L'Art et la Culture Le Commerce La technique et la science. L'amour courtois. I) Qu'est-ce que l'amour courtois ? : Venant de l'expression « la fin'amor », l'amour courtois est une relation entre l'homme et la femme de bonne société, au Moyen-âge. C'est un amour réservé aux nobles datant de l'époque médiévale, où un coup de foudre se produit entre deux personnes de haut rang, ils ne vivent que l'un pour l'autre. Mais leur amour doit rester secret sous peine de très lourdes conséquences et cet amour perdura tout au long de leur vie. Une dame encourageant un chevalier avant un tournoi en lui donnant des fleurs : Suite: II) Les romans courtois : Le roman est un récit écrit en langue romane, d'abord en vers octosyllabiques ensuite en prose. Extrait du roman de la rose : Yvain et Laudine : III) Présentation des trios amoureux : Arthur, Guenièvre et Lancelot : Tout d'abord, Lancelot Du Lac tombe profondément amoureux de Guenièvre, hélas la dame en question n'est autre que l'épouse du roi Arthur Pendragon.

Lancelot et Guenièvre : Tristan, Iseult et Marc : IV) Conclusion : Littérature et amour courtois ancien français court cour princière. Étymologiquement, le terme « courtois » fait référence à la cour (de l’ancien français cort). En vieux français, le mot corteis prend le sens d'« honnête », « loyal ». Par ailleurs, ce qui est courtois s'oppose à ce qui est « vilain », c'est-à-dire le monde rude et grossier du paysan. Enfin, la notion de courtoisie renvoie à un ensemble de valeurs, de règles de savoir-vivre et surtout à une conception bien particulière de l'amour, car nul ne peut être parfaitement courtois sans aimer. L'amour courtois L’amour courtois est une conception de l'amour d'un homme pour une femme qui est née au xiie s., dans le midi de la France, avec les troubadours occitans, et qui s'est éteinte dans la seconde moitié du xiiie s.

Elle s'est développée ensuite dans le Nord, avec les trouvères, ainsi que dans d'autres pays d'Europe, notamment germaniques, avec les minnesänger. Amour courtois et fin’amor La fin'amor (« amour parfait ») désigne plus précisément une religion de l'amour. La littérature courtoise. La légende du roi Arthur. L'amour courtois trouve d'abord son épanouissement dans la littérature, puis ses personnages, ses codes et ses images envahissent progressivement le cadre de vie de l'aristocratie. La cour C'est au XIIe siècle, époque d'essor économique et commercial, que la noblesse découvre, à côté des émotions fortes de la guerre, les plaisirs du confort, du luxe, des étoffes rares et des bijoux précieux. Elle se plaît à un raffinement de manières et de sentiments, dont les dames sont les inspiratrices.

Ainsi s'élabore un nouvel art de vivre qui s'épanouit dans les cours royales et princières, et qui tient son nom de la vie de cour : la courtoisie. Aliénor d'Aquitaine, mariée d'abord au roi de France puis au roi d'Angleterre, protège les troubadours et favorise l'essor des romans. Sa fille, Marie de Champagne, anime elle aussi une cour où rayonne l'idéal de la courtoisie. La poésie lyrique des troubadours Les romans en vers Dans la France du Nord, la fine amor des troubadours séduit aussi les écrivains.

Chevalier du Moyen-âge. Le chevalier du Moyen-âge cristallise beaucoup de nos fantasmes médiévaux. Entre mythe et réalité, découvrez avec la compagnie médiévale les lions de guerre toute l'évolution du chevalier du moyen-âge en France à travers les siècles. Chevalier du Moyen-âge : l'étymologie L’origine du mot chevalier ne date pas du Moyen-âge mais est romaine. Caballarius est formé de caballus (" cheval ") + -ier, suffixe formant les noms de métiers. Caballarius signifie donc "celui qui s'occupe des chevaux". Le mot chevalier au Moyen-âge a peu à peu glissé pour devenir un titre de noblesse à part entière aux alentours du 13ème siècle. NB : Le mot chevalier dans les textes médiévaux était confondu avec ceux de Miles puis de Nobiles.

Chevaliers de la moitié du XIVe siècle Chevalier du Moyen-âge en l'an mil Notre connaissance du chevalier du Moyen-âge de l'an mil doit beaucoup au site archéologique de Colletière. Chevalier au 13ème siècle : naissance de la chevalerie Chevalier du Moyen-âge : l'idéal chevaleresque. Armes et armures medievales. Armes et armures - LeMoyenAge.com. La légende du roi Arthur. Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles.

L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Mais d'où viennent ces chevaliers mythiques ? Et comment naît l'histoire de la Table ronde ? Le symbole de l’idéal chevaleresque.

La Légende de Merlin. Il advint au temps d 'Uter Pendragon, lorsqu'il était roi de toute la Grande Bretagne et régnait comme tel, qu' il y avait en Cornouailles un puissant duc qui avait soutenu contre lui une longue guerre. Ce duc s'appelait le duc de Tintagel. Le roi Uter fit venir ce duc, lui ordonnant d'amener avec lui son épouse, car elle était réputée belle dame et grandement sage. Elle avait nom Ygerne. Adonc, lorsque le duc et sa femme arrivèrent chez le roi, grâce à l'entremise de grands seigneurs, ils furent réconciliés. La dame plut beaucoup au roi ; il s'éprit d'elle et les festoya sans mesure. Il aurait voulu partager la couche de la duchesse. Il est inscrit sur la pierre que celui qui détient ce talisman, se garde de mauvaises pensées et lui fait honneur, recevra la Puissance de Messire Merlin pour effectuer sa tâche, même si le sang venait à mentir.

Légendes médiévales: Arthur. Le roi Arthur est le héros de nombreuses légendes arthuriennes et de romans de chevalerie depuis le moyen-âge. Roi Arthur par Innocenti Chef militaire des Bretons (Britons), il lutta contre l'envahisseur saxon vers l'an 500. Devenu légendaire, il représente le roi idéal venu rétablir dans leur puissance les Bretons divisés. Chantée par les bardes gallois puis par divers auteurs de chroniques (Nennius, Geoffrey de Monmouth), sa geste fut développée par Wace puis par Chrétien de Troyes qui en fit un portrait moins avantageux que celui de la légende. Le cycle romanesque qui s'achève avec le célèbre roman "La Mort le roi Arthur" (1215/1235) a largement contribué à diffuser l'image traditionnelle du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Arthur est le fils du roi Uther Pendragon et de la duchesse Ygraine de Cornouailles. Sa mère avait été mariée une première fois à Gorlois, duc de Cornouailles et un de ses fidèles alliés.

Merlin emportant Arthur par N.C. Arthur soulèvant l'épée. Le tournoi medieval à Argenteuil. Comment le devenait-on ? Tout jeune, les futurs chevaliers sont envoyés dans un château renommé pour y servir comme page, puis comme écuyer, au service d'un chevalier. C'est leur école de guerre. Dans la salle d'arme du château, ils s'entraînent au combat à l'épée et à la lance surtout. Ils apprennent ensuite à monter à cheval. En plus de l'art de la guerre ils apprennent les bonnes manières, ce que l'on appelle à l'époque la courtoisie. Au Moyen Âge, les tournois étaient des fêtes qui avaient pour but de divertir le peuple et les nobles gens, mais aussi et surtout de permettre aux chevaliers de s'entraîner à la guerre autant à cheval qu'à pied. Il existait en réalité trois sortes de tournoi. - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ».

Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient les chevaliers à pied, en duel, dans un enclos appelé la Lice. Place des dames et de la courtoisie La courtoisie dans les tournois. Les tournois de chevaliers. Le tournoi constitue l'un des divertissements collectifs les plus répandus au Moyen Age. Le tournoi est apparut au Xème siècles. Le tournoi sont des combats entre plusieurs chevaliers. Les chevaliers y participent pour montrer sa bravoure, son courage au combat. Et pour s'entraîner à l'art de la guerre. Il existait trois sorte de tournoi : - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ». 1) Le pas d'arme : Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient des chevaliers à pied dans un enclos appelé la Lice. 2) La joute : La « joute » était pratiqué à cheval où les chevaliers s'élançaient l'un contre l'autre avec leur monture pour désarçonner (mettre bas de la selle) leur adversaire. 3) Les tournois : Le « tournoi » consistait en un affrontement entre deux camps, tout au long de la journée et au fil de plusieurs épreuves dont notamment une mêlée.

Les tournois sont à peu près aussi violent qu'une bataille ( une guerre ). C'est pas sorcier - Les châteaux forts. Grand Tournoi de Chevalerie - Château de Comper-en-Broceliande. Grand tournoi de chevalerie dans les lices de la Cité de Carcassonne (la version complète) Les chateaux forts. Histoire - Cinquième Les châteaux au Moyen-Age Pourquoi appelle-t-on les châteaux du Moyen Age des "châteaux forts" ? Le nom de "château fort" est apparu lorsque les châteaux ont cessé d'être utilisés comme des moyens de défense. En effet, ils se sont transformés, à l'époque moderne (XVe - XVIIe siècles), en lieux d'habitation luxueux, élégant et sans aucun rôle défensif.

Dès lors, du point de vue des heureux locataires d'un château "moderne", il était nécessaire d'ajouter un épithète au mot château pour désigner ceux, plus solides et moins élégants du Moyen Age : le mot "fort" était tout désigné ! A quoi sert un château ? Pendant le Moyen Age, l'insécurité règne. En temps normal, le château fort sert à loger le seigneur, sa famille, ses chevaliers vassaux, ses hommes d'armes et ses serviteurs. En temps de guerre, le château peut abriter les gens qui vivent autour du château comme les familles des hommes d'armes ou des serviteurs, les paysans des alentours, qui fuient les envahisseurs. Retour. La_construction.pdf.