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IDEES

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Pour être efficace ! Coworking. [Education populaire & Transformation sociale !] Cette dynamique, nommée Offre Civile de Réflexion, s’était adressée à l’ensemble des citoyens ( à ne pas confondre avec les consommateurs auxquels le libéralisme financier essaie de les réduire aujourd’hui ) .

[Education populaire & Transformation sociale !]

Elle avait contribué à construire une alternative originale à la délégation de pouvoir qui préside à l’organisation institutionnelle de la République actuelle, en confiant aux hommes et femmes volontaires le soin de se regrouper et de travailler à jeter les bases d’une Education populaire revivifiée, actualisée, reconnue et soutenue ... L'Empowerment. La notion d’empowerment (litteralement “augmentation de la capacité d’agir”) renvoie à un ensemble varié de pratiques qui peuvent être sous-tendues par des présupposés théoriques divergents.

L'Empowerment

Il s’agit ci-dessous de donner un aperçu de cette diversité, de l’expliciter et de la discuter. L’empowerment contre les logiques d’assistanat et de dépendance La notion d’empowerment laisse entendre l’existence de sujets dont la capacité d’agir est faible. Cette faiblesse ne serait pas naturelle, mais sociale. Elle pourrait donc être corrigée par un processus visant à augmenter cette capacité d’agir. L'Empowerment. Bernard-vallerie-dc3a9veloppement-pouvoir-dagir.pdf (Objet application/pdf) Ces Algorithmes qui nous gouvernent : TRANSITION SOCIÉTALE. Plusieurs événements provoqués par l’usage d’algorithmes puissants sont à la source d’un malaise planétaire.

Ces Algorithmes qui nous gouvernent : TRANSITION SOCIÉTALE

Que se soient les pratiques de « data mining » de la NSA, des différents « flash krach » de Wall Street ou encore de la « Google Car » entièrement conduite par des algorithmes ! L’avenir tout programmé fait peur. Petit tour d’horizon. Le 6 mai 2010 à 14 heures 40 le marché boursier de Wall Street a soudainement piqué du nez de manière vertigineuse. Des titres comme Accenture ou Boston Beer se sont retrouvés avec une cote de 0,01 $. Le 11 mars 2014, un article entièrement produit par des algorithmes, sort des murs du Los Angeles Time. Le 18 juin 2018, il est 19h30. Ces algorithmes dictent des nouvelles règles du jeu sans vraiment faire appel à l’humain. Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent. Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes.

Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent

Suite et fin de notre retour sur ces deux jours, pour mieux comprendre le rôle et l’impact des réseaux sociaux… La Silicon Valley est-elle un programme politique. "Si la régulation algorithmique apporte les réponses aux problèmes de la société, quel sera alors la place pour les gouvernements ?

La Silicon Valley est-elle un programme politique

", questionne le chercheur Evgeny Morozov pour The Guardian. Aujourd’hui, la technologie nous promet l’application des lois en temps réel, explique-t-il. « On devrait traiter la Silicon Valley avec la même suspicion que Wall Street » L'universitaire Evgeny Morozov dénonce le discours des entreprises du numérique, qui camoufle « une nouvelle forme de capitalisme ».

« On devrait traiter la Silicon Valley avec la même suspicion que Wall Street »

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Martin Untersinger On ne sait pas si Evgeny Morozov a beaucoup d'amis dans la Silicon Valley. Mais une chose est certaine : dans cette enclave californienne d'où sont issus la plupart des géants du Web (Google, Facebook, Yahoo! La fin du travail, la faim de travail. La vraie crise, pour Pierre-Yves Gomez, professeur à l'EM Lyon, n'est pas à chercher dans les chiffres mais dans l'intensification, au-delà du supportable, du travail des actifs.

La fin du travail, la faim de travail

Un travail de plus en plus «productif», vidé de son sens. «Le travail invisible», enquête sur une disparition de Pierre-Yves Gomez | François Bourin éditeur. Ni fin du travail, ni travail sans fins. Les intellectuels officiels sont aujourd’hui saisis d’une nouvelle boulimie.

Ni fin du travail, ni travail sans fins

Chaque mois, ou presque, ils produisent force articles et livres sur la meilleure façon qu’aurait le capitalisme de résoudre le problème qui mine la paix sociale: le chômage, total ou partiel. Leur constat est quasi unanime. A quelques exceptions près, tous admettent qu’il n’y a et qu’il n’y aura plus assez de travail pour occuper tout le monde à « plein-temps » (euphémisme pour dire « aux niveaux de salaires actuels »). «Partageons le travail !» Entretien avec Dominique Méda. Réduire le temps de travail des employés les plus sollicités pour réinsérer les chômeurs dans le monde professionnel, une idée simple mais novatrice pour construire la société de demain.

«Partageons le travail !» Entretien avec Dominique Méda

À tout instant, le volume de travail réalisé dans un pays est réparti sur la population en âge de travailler. Il y a simplement différentes manières de le (re)distribuer, plus ou moins volontaires. Dans notre société, certains travaillent trop et font des burnout, d’autres travaillent trop peu. L'avenir du travail et de l'emploi (suite et sans doute pas fin...)

Fin du travail ou faim de travail ? - Association pour l'Économie Distributive. Quelques notes pour en finir (vraiment) avec la « fin du travail » Se libérer du travail ? (ré-édition) Sortie du livre La renaissance des communs de David Bollier. Les biens communs, parfois appelés les communs tout court, constituent une originale et salutaire grille de lecture d’un monde en pleine mutation économique, sociale, politique et écologique.

Sortie du livre La renaissance des communs de David Bollier

À la fois exemple emblématique et modèle à suivre, les logiciels libres en font tout naturellement partie. C’est pourquoi la sortie de la traduction française du livre « La renaissance des communs - Pour une société de coopération et de partage » de David Bollier est une excellente nouvelle (tout comme le choix de la licence libre CC By-SA). On peut se le procurer pour 19 euros aux éditions Charles Léopold Mayer. David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes » Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture, de science ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » - ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens.

D’un autre côté, la notion de « biens communs » est invoquée à propos de choses extrêmement différentes entre elles, depuis la préservation des traditions indigènes jusqu’à Linux et Wikipédia, en passant par la gestion collective des ressources naturelles, les services et infrastructures publics, les coopératives et l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile parfois de trouver un fil conducteur. Dans son nouvel ouvrage, David Bollier entend expliquer ce qui rapproche les pratiques et les initiatives disparates que l’on regroupe aujourd’hui sous le terme de « communs ».

André Gorz, penseur de l’émancipation. Ce portrait d’André Gorz sera suivi de deux points de vue critiques et inédits sur son œuvre, l’un que Robert Castel a écrit pour la Vie des Idées en octobre 2012 (« Salariat ou revenu d’existence ? Lecture critique d’André Gorz »), l’autre de Bernard Perret (« Écologie et émancipation. Penser avec et contre Gorz »). Dans la cartographie du paysage intellectuel européen de la critique sociale depuis les années 1960, la figure d’André Gorz se distinguerait par son originalité et sa singularité.

Son œuvre de philosophie sociale et politique occupe incontestablement une place à part, à la fois reconnue et méconnue. Il y a plusieurs manières de faire le portrait intellectuel d’un auteur. Bernard Friot. Interview exclusive d'Edward Snowden. Bonjour Edward, c’est un honneur de vous rencontrer, vous avez pris des risques énormes. Vous savez, je n’ai fait que ce qui devait être fait. Je ne suis pas un héros, juste un déserteur. Le « système », comme on dit, qu’il soit économique ou policier, tient pour une part sur des gens qui ne font que leur travail. Des gens qui ne font que mettre au point des alliages de métaux qui deviendront plus tard des engins atomiques ; qui ne font qu’un morceau d’algorithme qui analysera les conversations privées de la planète. Personne ne se sent responsable de rien. A partir des retraites, imaginer un salaire à vie.

1. Le débat sur la naturede la pension :revenu différéou salaire continué ? Les réformes de la protection sociale menées depuis les années 1980 dans l’Union européenne sont souvent définies comme libérales, sur le modèle anglo-saxon. Un salaire à vie. Pourquoi ? @ Pilhaouer Salut, La répartition des richesses me semble être un vrai problème, si le financement d’une telle initiative y est intrinsèquement lié, alors le financement sera un vrai problème. Revenu de base ou salaire à vie ? 3. L'autre globalisation : le revenu d'existence inconditionnel, individuel et substantiel. Le revenu d'existence. André Gorz, penseur de l’émancipation.