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Crise des valeurs

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Les Deux Sources de la morale et de la religion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les Deux Sources de la morale et de la religion

Les Deux Sources de la morale et de la religion est un ouvrage du philosophe français Henri Bergson paru en 1932. Il pose la distinction restée célèbre entre « société ouverte » et « société fermée » (qui sera reprise dans une autre perspective par l'épistémologue Karl R. Popper). Le dernier chapitre expose la vision de l'avenir de l'auteur et contient le passage célèbre sur le « supplément d'âme » dont le corps serait en attente, suite aux possibilités extraordinaires que lui confère la technique. Cette réflexion est placée sous le signe de la dualité mécanique/mystique : « Ne nous bornons donc pas à dire, comme nous le faisions plus haut, que la mystique appelle la mécanique. . — Chap. Table des matières[modifier | modifier le code] L'Obligation moraleLa Religion statiqueLa Religion dynamiqueRemarques finales. La question centrale de la mystique[modifier | modifier le code] Appel contre obligation.

Non pas savoir qu'est-ce que Dieu? Matière et mémoire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Matière et mémoire

Matière et Mémoire est un ouvrage d'Henri Bergson traitant de la question de la mémoire et plus particulièrement du problème des rapports entre le corps et l'esprit. Il a été écrit en 1896. Présentation générale[modifier | modifier le code] Il constitue une analyse du problème classique de l'union de l'âme et du corps. Le sous-titre est "Essai sur la relation du corps à l'esprit".Dans ce cadre, l'analyse de la mémoire est un moyen pour trancher ce problème de l'âme et du corps. Différentes formes de mémoire[modifier | modifier le code] Par ailleurs, il distingue deux formes de mémoire: - La mémoire habitude: elle rejoue le passé, elle le répète.

La mémoire pure ou mémoire souvenir: elle enregistre le passé sous forme de "souvenir-image". Conséquences métaphysiques[modifier | modifier le code] Dans sa philosophie, Bergson accuse la métaphysique de mal poser les problèmes. Bergson distingue réellement l'âme et le corps. La Valeur morale de la joie d’après Spinoza. L’auteur de cet article croit fermement qu’une doctrine de la sagesse existe dès maintenant, c’est-à-dire que les leçons des grands philosophes sur la meilleure manière de vivre, sont les titres les moins contestables que la raison humaine puisse produire, lorsqu’elle réclame l’autonomie.

La Valeur morale de la joie d’après Spinoza

Mais il croit aussi que l’exposition systématique de cette doctrine, en admettant qu’un seul homme entreprît de la faire, présente de telles difficultés que les amis de la Raison risquent de l’attendre pendant un long temps encore. La plupart des doctrines morales ont conservé quelque trace des temps de servitude, pendant lesquels on s’appuyait principalement sur la crainte pour rendre les hommes inoffensifs. Le souverain bien étant alors, comme dit Pascal, la paix, tout ce qui est utile à la paix est bon, et notamment la crainte est bonne ; et, puisque la crainte est une tristesse, la tristesse peut être bonne, et le moraliste se garde bien de détourner l’homme de la tristesse.