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Stalingrad

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La bataille de Stalingrad (Part1) Operation Uranus. Background[edit] German troops advancing in the Soviet Union, June 1942 Comparison of forces[edit] Axis forces involved[edit] Soviet forces involved[edit] The Soviet Stalingrad Front forces were subject to heavy bombardment, making mobilization more difficult.

Operation Uranus

Soviet offensive[edit] Romanian soldier on the front Unit locations of Axis and Soviet Armies on Nov 18, 1942. Against the Third Romanian Army: 19 November[edit] The offensive against the Third Romanian Army began at 08:50, led by the 21st and 65th Soviet Armies and the 5th Tank Army.[61] The first two assaults were repulsed by the Romanian defenders,[62] and the effects of the heavy artillery bombardment had actually made it more difficult for Soviet armor to navigate through the minefields and terrain. The 48th Panzer Corps had fewer than 100 serviceable modern tanks to combat Russian armor. Stalingrad Military-Historical Club. Stalingrad Military-Historical Club. Bataille de Stalingrad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bataille de Stalingrad

La bataille de Stalingrad désigne les combats du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, pour le contrôle de la ville, aujourd'hui Volgograd, entre les forces de l'Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich et de ses alliés. Ils incluent l'approche de la ville par les armées de l’Axe, les combats urbains pour sa conquête à partir de septembre, puis la contre-offensive soviétique, jusqu'à l'encerclement et la reddition des troupes allemandes. L'ensemble de ces combats, dans et hors de la ville, se sont étendus sur un peu plus de six mois et ont coûté la vie à environ 750 000 combattants[1] et à 250 000 civils parmi six nations, ce qui en fait une des batailles les plus meurtrières de l'histoire.

Résumé[modifier | modifier le code] Le 28 juin 1942, l'Allemagne nazie lance sa deuxième grande offensive stratégique en URSS, l'opération Fall Blau, qui vise les pétroles du Caucase. Stalingrad battle data : units, commanders and men. List of German Army Groups in WWII. German Army, 28.06.1942. Soviet Order of Battle, 22.06.41. Eastern Front (World War II)

Andreï Ieremenko. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Andreï Ieremenko

Andreï Ivanovitch Ieremenko, Eremenko ou Yeremenko (en russe : Андрей Иванович Ерёменко), né le et décédé le , est un militaire soviétique qui s'illustra particulièrement pendant la Seconde Guerre mondiale. Front de Stalingrad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Front de Stalingrad

Formation initiale ( - )[modifier | modifier le code] Lors de sa formation, le , il a pour commandant Semion Timochenko, pour chef d’état major Pavel Bodin et pour commissaire politique Nikita Khrouchtchev. Il est formé à partie de 3 armées de réserve qui deviennent (selon leur positionnement du nord au sud): Il est soutenu par la 8e armée aérienne (T.T. Khrioukine). Le , le front de Stalingrad reçoit en renfort une partie des unités issues du front du sud ouest qui vient d'être dissout : La 38e armée qui est dissoute, dont les troupes vont renforcer la 62e armée et dont l’encadrement va former la 1re armée de chars (K.S. Le le front de Stalingrad est renforcé au sud par la 51e armée (T. Front du Don. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Front du Don

Formation[modifier | modifier le code] Il s’agit du nom donné à l’ancien front de Stalingrad à partir du , c'est un des trois fronts qui participent à la contre offensive soviétique lors de la bataille de Stalingrad. Initialement les positions du front barrent l'Isthme Don - Volga et comprennent une tête de pont sur la rive droite du Don. Lors de sa formation il a pour commandant le général Constantin Rokossovski, qui remplace Gordov ancien chef du front de Stalingrad, et pour chef d'état major Mikhail Malinin. Konstantin Rokossovski. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Konstantin Rokossovski

Konstantin Konstantinovitch Rokossovski (en russe : Константин Константинович Рокоссовский ; en polonais : Konstanty Rokossowski), né le 21 décembre 1896 à Varsovie (selon le recensement de 1920) ou à Velikié Louki (selon son autobiographie), mort le 3 août 1968, est un officier supérieur soviétique qui fut commandant dans l'Armée rouge pendant la Seconde Guerre mondiale et ministre de la Défense en Pologne. Biographie[modifier | modifier le code] Fils de Josef Xavier Rokossovski (1853-1902), inspecteur des chemins de fer, et de Antonina Ovsyannikov (? -1911) enseignante, il est issu d'une famille polonaise ayant perdu ses titres de noblesse au milieu du XIXe siècle mais d'où sont issus plusieurs officiers de Cavalerie.

Orphelin à 14 ans, Konstantin commence à travailler dans la construction[1]. Armée rouge. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Armée rouge

Un an après la fin de la Seconde Guerre mondiale, en 1946, cette armée, tout en gardant le surnom d'Armée rouge, prend le nom officiel d'Armée soviétique (Советская Армия, Sovetskaïa Armia), qu'elle conserve jusqu’à la dislocation de l'Union soviétique en décembre 1991.