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Divers France

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Euronews | actualité internationale et européenne, les infos en direct sur euronews. Kiko, l'enseigne qui fait trembler les marques. La Redoute: un groupe en péril depuis l'arrivée de la concurrence sur Internet - 12/11. Mais qu’arrive-t-il à Kering en Bourse ? La maire de Lille, Martine Aubry ainsi que plusieurs élus du Nord ont rencontré le PDG de Kering François-Henri Pinault mardi 12 novembre à Paris, après l'annonce de la suppression de 700 emplois sur 2.500 à La Redoute. Cette filiale devra sans doute être recapitalisée d’au moins 300 millions d’euros pour être vendue.

La Bourse apprécie modérément, d’autant que les résultats trimestriels du groupe ont déçu les analystes financiers. En trois mois, le titre Kering (ex-PPR) a perdu 10% de sa valeur. Mercredi 13 novembre, le groupe a averti que son résultat net pour 2013 serait en forte baisse par rapport à 2012, à cause de la cession de La Redoute et de charges exceptionnelles passées par sa filiale Puma. >> L’avis de Bertrand Lamielle, B*capital : "La valeur Kering est plutôt chère en ce moment par rapport aux dix dernières années. >> L’avis de Marc Riez, Vega IM : Maille (Unilever) prend goût au luxe. Antoine de Saint-Affrique savoure sa victoire. En 1997, il dirigeait le marketing de Liebig-Maille-Amora.

Son propriétaire, Danone, négociait alors la cession du géant national des condiments (plus de 66% du marché français). Cette même année, il inaugurait, place de la Madeleine à Paris, la réplique de la boutique historique de Maille, sise à Dijon depuis 1848. Seize ans plus tard, Maille, après un bref passage chez PAI, est dans l’escarcelle d’Unilever, dont Antoine de Saint-Affrique dirige le pôle alimentaire. Il y a quelques jours, flanqué de son président, Paul Polman, il inaugurait une autre boutique Maille, à Londres cette fois. Bruno Witvoët, le patron d’Unilever en France, se souvient : "J’avais Antoine en face de moi quand nous avons négocié le rachat d’Amora-Maille. Pari ambitieux pour la marque française Ce temps-là est révolu, et Paul Polman prête même à Maille un fabuleux destin. Mais Unilever croit au potentiel de la plus internationale de ses marques françaises.

Dépôt de bilan pour les pianos Pleyel.