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Notions de déontologie, éthique et sens moral. Notions: Déontologie: Ensemble des règles et devoirs qui régissent l'exercice d'une profession. "La déontologie est un ensemble de règles et de devoirs qui régissent une profession, une conduite à tenir pour les personnes exerçant cette profession. La déontologie c'est aussi exercer son activité dans le respect de la personne humaine mais également s'occuper avec la même attention de chacun, quelles que soient sa nationalité ou ses convictions. La déontologie est aussi de s'abstenir d'imposer ses propres idées à autrui concernant la politique, la religion etc. C'est aussi de ne pas diriger les choix de vie sur quelque plan que ce soit et garantir le secret professionnel. Ethique: L'éthique est la science de la morale et des moeurs. L'éthique peut également être définie comme une réflexion sur les comportements à adopter pour rendre le monde humainement habitable.

Sens moral: En philosophie, le sens moral est la capacité de discerner entre le bien et le mal, entre le juste et l'injuste. Comment pensent les optimistes. On a longtemps cru que la capacité de voir la vie du bon côté était un talent donné au hasard. Ce n'est pas forcément vrai. Dans notre environnement morose (les Français ont récemment décroché la palme du pays le plus pessimiste, loin derrière les Irakiens ou les Nigérians), il faudrait mettre les optimistes, ces spécimens rares, sous verre. Pourtant, ceux qui diffusent enthousiasme et espoir autour d'eux sont plus souvent objets de moquerie. On relève essentiellement leur côté naïf, «à côté de la plaque» avec, en plus, une tournure d'esprit qui ne dépend pas d'eux mais semble une grâce tombée du ciel.

Depuis une vingtaine d'années, la psychologie positive s'attachant à décrypter le fonctionnement des «personnalités qui réussissent», il devient possible de comprendre avec plus de précision comment pensent et vivent les adeptes du «verre à moitié plein». Pour Philippe Gabilliet, psychosociologue professeur à l'ESCP Europe et auteur d'un Éloge de l'optimisme (Éd. Flow. PASTRE_Apprendre_a_faire.pdf (Objet application/pdf) Www.enfant-encyclopedie.com/documents/MillerFRxp.pdf. Www.cite-sciences.fr/fr/conferences-du-college/mediaconf/c/1239031124962/les-mMecanismes-psychologiques-de-l-apprentissage/p/1239022827697/seance/1239030864689?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter.

Psychologie. La psychologie est une discipline qui appartient à la catégorie des sciences humaines. Divisée en de nombreuses branches d'étude dont les théories et les méthodes de recherche varient grandement, la psychologie a des applications nombreuses. Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, le mot psychologie dérive du latin psychologia, terme lui-même formé à partir du grec ancien ψυχή (psukhē : le souffle, l'esprit, l'âme) et -λογία (-logia, la science, l'étude, la recherche)[1] par le savant humaniste croate Marko Marulić (1450-1524) et qui semble apparaître pour la première fois dans le titre de Psichiologia de ratione animae humanae (fin XVe - début XVIe) dont la trace a été perdue[3],[4] si bien que la première occurrence attestée se trouve chez le juriste et philosophe allemand Johann Thomas Freig (lat.

Freigius, 1543-1583). Objet d'étude et objectifs[modifier | modifier le code] L'objet d'étude de la psychologie est un débat non clos depuis des siècles. Traitement cognitif. Les sciences cognitives. Les sciences cognitives (Grand dictionnaire de philosophie, Larousse, 2003) Pierre Jacob Le mot "cognition" vient du latin cognoscere et il a approximativement la même extension que le mot "intelligence". Les sciences cognitives étudient l'ensemble des manifestations de l'intelligence humaine.

Comment un bébé humain apprend-il la référence des mots de sa langue maternelle ? Comment reconnait-on un visage qu'on n'a pas revu depuis vingt ans ? L'importance théorique des sciences cognitives tient à trois caractéristiques. Dans le foisonnement des paradigmes théoriques et expérimentaux en sciences cognitives, trois thèmes retiendront notre attention en raison de leur intérêt philosophique intrinsèque. 1. L'étude des capacités cognitives du cerveau humain remonte au milieu des années 50. Deux sortes d'arguments militent en faveur de la théorie computationnelle de l'esprit : des arguments épistémologiques ou méthodologiques et des arguments ontologiques. 2. 3. L’ordinateur, les mathématiques et le témoin oculaire. 4 novembre 2008 par Frank Arnould Plaidoyer pour l’utilisation des modèles formels et de simulation en psychologie du témoignage oculaire.

Malgré le nombre impressionnant d’articles publiés dans les revues spécialisées chaque année, la psychologie scientifique reste mal connue. En particulier, le grand public ne sait pas (ou sait peu) que les psychologues développent et testent différents modèles mathématiques d’activités mentales telles que la mémoire (voir, par exemple, Raaijmakers & Shiffrin, 2002). Ces modèles formels sont souvent implémentés dans des programmes informatiques qui tentent de simuler les processus en question (les modèles computationnels). La psychologie suit donc une orientation commune à bien d’autres disciplines scientifiques. Pour le néophyte, mathématiser les processus mentaux peut paraître surprenant. WITNESS s’inspire des modèles de la mémoire dits à appariement global (Clark & Gronlung, 1996). Références : Clark, S.E. (2003).

Clark, S.E. (2008). Mots clés : 5 raisons d'aller au lit - Dossiers Contact. Le sommeil, Edouard Vuillard À la question «Pourquoi dormons-nous?» , 5 chercheurs apportent un élément de réponse. Par Pascale Guéricolas Non, le sommeil n’est pas une petite mort! Il s’agit plutôt d’une activité à part entière, et même d’une activité vitale. Cette drôle de période quotidienne pendant laquelle chacun se coupe du monde serait nécessaire, autant pour le fonctionnement de son cerveau ou pour conserver sa santé et sa silhouette que pour éviter de somnoler en plein jour, estiment les spécialistes du sommeil.

Tous s’y adonnent, depuis le nouveau-né avec ses 18 heures de dodo –si ses parents sont chanceux– jusqu’à l’adulte qui dort de 7 à 9 heures. 1- Parce que c’est l’état que le cerveau préfère Le Sommeil d’Élie, Philippe de Champaigne «Pour le cortex cérébral, le sommeil est l’état de base, l’état le plus stable», affirme Igor Timofeev1, professeur au Département de psychiatrie et de neurosciences. Malheureusement, on ne peut se limiter à dormir. Sommeil d’hiver, Paul Klee. Facebook. Pour réussir, faut-il être intelligent ou motivé?

La psychologue Angela Duckworth, de l'université de Pennsylvanie, a consacré sa vie professionnelle à l'analyse de la réussite des enfants et de ses causes. Elle explique qu'il est pratique de séparer les mécanismes de la performance en deux dimensions distinctes: la motivation et la volonté. Les deux sont nécessaires pour atteindre des objectifs à long terme, mais aucune n'est suffisante à elle seule.

Nous sommes nombreux à savoir qu'on peut avoir la motivation, mais pas la volonté: on peut être très motivé pour perdre du poids, par exemple, mais sans la volonté —la détermination, la discipline— de reposer ce chausson aux pommes et de le remplacer par des haltères, ça ne suffira pas. publicité L'effet des M&M'S Mais la motivation n'est pas pour autant immuable: sur le court terme, elle peut même être étonnamment facile à changer. Ils ont d'abord passé une version standard du test de QI de Stanford-Binet. Une récompense peut être contre-productive Mais pourquoi donc?

Paul Tough.