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P1 - Opérations commerciales

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Comptabilisation des emprunts : réception, frais, échéances. Lorsqu’une entreprise sollicite un ou plusieurs emprunts, il va falloir procéder à la comptabilisation de la réception du montant emprunté, des éventuels frais liés à l’emprunt et ensuite des remboursements. Nous allons donc faire le point sur tout ce qui concerne la comptabilisation des emprunts. 1. Comptabilisation de la réception de l’emprunt La réception des fonds liés à l’emprunt se caractérise par l’arrivée du montant emprunté sur le compte bancaire. La comptabilisation de la réception de l’emprunt s’effectue ainsi : on crédite le compte 164… »Emprunt… » (que vous souhaitez utilisé pour l’emprunt) pour le montant reçu,et on débite le compte 512 « Banque » sur lequel les fonds ont été reçus.

Si l’établissement de crédit vous demande de payer une caution, voici l’écriture à enregistrer : on débite le compte 2755 « Cautionnement » pour le montant versé au titre de la caution,et on crédit le compte 512 « Banque » utilisé pour payer la caution. 2. 3. 4. La comptabilisation des cessions d'immobilisations. Les immobilisations sont des biens durables inscrits à l’actif du patrimoine d’une entreprise qui génèrent des avantages économiques futurs pour cette dernière. Il peut arriver que l’entreprise utilisatrice soit amenée à les céder pour diverses motivations (économiques ou financières notamment).

Compta-Facile dévoile, à travers cet article, les écritures comptables relatives aux cessions d’immobilisations (corporelles ou incorporelles). 1. Date de comptabilisation d’une cession d’immobilisation La cession doit être comptabilisée à la date de transfert du contrôle du bien (date qui coïncide, la plupart du temps, avec le transfert de propriété). Après avoir abordé la date de comptabilisation d’une cession d’immobilisation, nous allons évoquer le schéma usuel de comptabilisation d’une cession d’immobilisation. 2.

A. Lors d’une cession d’immobilisation, le patrimoine de l’entreprise « s’appauvrit » ; l’actif subit une diminution. B. C. Chapitre 4 : comptabilisation des cessions d'immobilisations. Les biens mobiliers d’occasion sont imposables à la TVA lors de leur cession à partir du moment ou ils ont récupéré la TVA lors de l’acquisition. Exemple : un véhicule de tourisme qui n’a pas ouvert droit à déduction lors de son acquisition sera exonéré de TVA lors de la cession (sauf cas particulier, Cf. : III) I- cession d’immobilisation non amortissable Le prix de cession est un produit inscrit au crédit du compte 775-produits des cessions d’éléments d’actif.

Le compte d’immobilisation doit être crédité de la valeur d’origine du bien pour que soit enregistrée la sortie du bien du patrimoine de l’entreprise. La valeur comptable nette doit être inscrite au débit du compte 675-valeurs comptables des éléments d’actif cédés. Comme le bien n’est pas amortissable, la valeur nette comptable est égale à la valeur d’origine de l’actif cédé. Exemple : le 21 novembre N, cession de titres de participation pour un montant de 23 600€. La cession des titres n’est pas soumise à TVA Pour les titres : Factures d'achat. Saisir les écritures de vente. Qu'est ce qu'une écriture de vente ? La facture est un document obligatoire établi à la livraison d'un bien ou à la fin de l'exécution d'une prestation.

Les factures doivent être enregistrées en comptabilité à leur date d'émission, par la saisie des écritures de vente. Comment sont passées les écritures de vente ? Pour comptabiliser une facture de vente, il est nécessaire d'identifier 3 sommes figurant sur la facture : Le montant HTLe montant de la TVA facturée (TVA collectée)Le montant TTC (somme due par le client) L'écriture à saisir est la suivante en prenant l'exemple d'une facture de vente de 1 000 € HT : A quel rythme saisir les factures de vente ?

La saisie des factures de ventes doit se faire selon la même périodicité que l'établissement des factures. L'intervalle maximal correspondant à la périodicité des déclarations de TVA : si la déclaration de TVA est mensuelle il faudra saisir les factures de vente au moins une fois par mois. Comment contrôler ma saisie des écritures de vente ? Comment lire, comprendre et interpréter un bilan comptable ? Savoir lire un bilan comptable est important ; le comprendre et l’interpréter est essentiel. Compta-Facile fait un tour d’horizon complet du bilan comptable : de quoi se compose-t-il ? Comment procéder à une lecture correcte d’un bilan comptable ? Comment l’interpréter ? Comment analyser la rentabilité d’une entreprise avec son bilan ?

Si vous êtes en phase de création de votre entreprise, n’hésitez pas à vous inscrire à notre formation gratuite en ligne, nous y abordons toutes les définitions et exemples concrets utiles lors du démarrage de votre projet : Je lance ma boite ! Qu’est-ce qu’un bilan comptable ? Définition et composition du bilan comptable En comptabilité, le bilan comptable est un document financier appelé état de synthèse. D’une part, ce qu’elle possède (des « actifs ») Dans le lexique financier, ils sont également appelés « emplois ». D’autre part, ce qu’elle doit (des « passifs ») Il s’agit des « ressources ». Présentation du bilan comptable Par exemple : Les amortissements comptables : calcul, durée et méthodes. La valeur des immobilisations est répartie, en comptabilité, sur leur durée d’utilisation probable au moyen d‘amortissements.

Voici les principales caractéristiques des amortissements comptables d’immobilisations : qu’est-ce qu’un amortissement ? Quels sont les biens amortissables ? Quelles durées choisir pour amortir une immobilisation ? Quelles sont les différentes méthodes d’amortissement ? Comment calculer une dotation aux amortissements ? Précision : un autre article traite de manière plus détaillée la comptabilisation des amortissements d’immobilisations. Qu’est-ce qu’un amortissement comptable ? Un amortissement correspond à une constatation de perte de valeur d’un bien, du fait de son usage (usure physique), de l’évolution technique (obsolescence de l’actif) ou bien tout simplement du temps. La comptabilisation d’amortissement est obligatoire à la clôture de chaque exercice comptable, même si le résultat comptable d’un exercice se traduit par une perte.