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Arte contemporaneo y luz / sonido y luz / cinetico

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Sonore visuel | histoire et actualité des arts sonores et audiovisuels. La lumière dans l'art et dans tous ses états Part 3. Aujourd’hui il sera question d’espace. Nous verrons les dessins de lumière avec le light painting, les écritures de lumière et la lumière qui redessine le paysage. Puis nous soulignerons que la lumière peut sculpter l’espace, redéfinir le paysage l’amplifier et le révéler autrement.

Nous verrons aussi comment ressentir la lumière. Pour trouver le début du dossier sur la lumière dans l’art : la lumière dans l’art et dans tous ses états Part 1 et Part 2 Dessin de lumière Le premier travail de la lumière est venu littéralement d’un cas de sérendipité, une rencontre fortuite avec des effets perturbateurs : la visite du photographe de LIFE magazine, Gjon Mili, à Pablo Picasso dans son atelier à Vallauris dans le sud de la France, en 1949. Picasso photographié par Gjon Mili, 1949 Picasso fort intéressé par le procédé, a pris une lampe de poche et a commencé à tracer dans l’air des minotaures, des fleurs, et des figures humaines que le photographe a su saisir. Picasso photographié par Gjon Mili. Art cinétique.

Dossiers pédagogiques - Collections du Musée Un mouvement, une période Éloge de l’instabilité Une histoire d’appellation Les origines Caractéristiques communes et divergences Les artistes et leurs œuvres • Victor Vasarely, Bi-forme, 1962 • Yacoov Agam, Double métamorphose III - Contrepoint et enchaînement, 1968-1969 • Carlos Cruz-Diez, Physichromie n° 506, 1970 • Jésus Raphael Soto, Gran doble escritura (Grande écriture double), 1977 • François Morellet, Néon bilingue et aléatoire, 1971 • Julio Le Parc, Multiple, 1970 • Joël Stein, Neuf trièdres ou Trièdre à 9 cellules, 1963 • Francisco Sobrino, Sculpture permutationnelle, 1967-1968 • Vassilakis Takis, Musicale, 1977 • Piotr Kowalski, Identité (n°2), 1973 Textes de référence Chronologie Bibliographie Éloge de L’InstabilitÉ Une histoire d’appellation L’expression Art cinétique est pour la première fois employée par une institution muséale, le Kunstgewerbemuseum, actuel Museum für Gestaltung de Zürich, en 1960.

Les Origines Les constructivistes. « leurs lumières » » Manuela de Barros. L’art et la lumière. Conférence-projection donnée au Musée d’art et d’histoire de Genève, 20 mai 2012. Mapping Festival. Manuela de Barros est maître de conférence en esthétique à l’Université Paris 8. [Cliquer sur les mots bleus. En cliquant sur les images on se connecte aux sites d’où elles proviennent, ou l’on peut obtenir un agrandissement des images.] La symbolique puissante de la lumière La lumière a une symbolique puissante qui de tout temps lui a donné une place de premier ordre en art.

On peut repérer la place prépondérante de ce lien entre lumière et représentationdans tous lieux et à toutes époques: Dans l’architecture gothique où la lumière servait de support à une esthétique «du rayonnement» (1) qui est le signe de l’«harmonie», signe de transcendance dans la matérialité, comme le théorise l’abbé Suger. Nef de l’abbé Suger, basilique de Saint-Denis, 1135-1144. En peinture, la lumière est primordiale pour le style et ce qu’il souhaite véhiculer: douceur, drame, réalisme ou fantaisie éthérée.

Notes. 5 artistes contemporains qui sculptent la lumière. Que la lumière soit et la lumière fut. Essentielle à l’expérience esthétique, la lumière occupe, au sein des arts visuels, une place silencieuse mais néanmoins primordiale depuis ses origines. Cela dit, il aura fallu attendre la seconde moitié du XXe siècle pour que celle-ci devienne un matériau à part entière, central dans la réalisation des œuvres. Prenant racine dans la photographie, son utilisation a depuis dépassé le cadre de l’image pour investir en trois dimensions les espaces d’exposition. Le néon, par exemple, plébiscité par l’Américain Dan Flavin dès les années 60, devint depuis le médium privilégié d’artistes tels que François Morellet, Bruce Nauman, Claude Lévêque ou encore Tracey Emin, capables d’en former de véritables sculptures lumineuses.

À partir des années 60, plusieurs artistes de l’op art, mouvement né dans le sillage de l’art cinétique, ont utilisé la lumière et les couleurs dans leurs œuvres en vue de créer de nouvelles expériences perceptives.