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Diego Vélasquez - Les ménines

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Museo del Prado. A portrait of the Infanta Margarita, daughter of Felipe IV (1605-1665), surrounded by her servants or “family” in a hall of Madrid’s Alcázar Palace.

Museo del Prado

This, the most famous of Velázquez’s works, offers a complex composition built with admirable skill in the use of perspective, the depiction of light, and the representation of atmosphere. There have been innumerable interpretations of this subject and later references to it. The most numerous emphasize a defense of the nobility of painting versus craft. Velázquez portrays himself, painting the painting itself, on the left of the canvas, thus affirming the supremacy of the art of painting. The Infanta Margarita (1651-1673), wears white and appears in the center of the composition, surrounded by her ladies in waiting, the “meninas” María Agustina de Sarmiento and Isabel de Velasco, along with two court buffoons, María Bárbola and Nicolasito Pertusato, and a mastiff.

Analyse des Ménines (Diego Velasquez) TITRE : Les Ménines (Las Meninas) AUTEUR : Diego Velasquez 1599-1660 NATURE DE L’ŒUVRE : Peinture à l’huile sur toile GENRE DE L’ŒUVRE : Portrait LIEU D’EXPOSITION : Museo Del Prado, Madrid Velasquez au palais royal de Madrid : il peint Philippe IV et son épouse Marie-Anne.

Analyse des Ménines (Diego Velasquez)

La lumière tombe sur la petite fille, les regards de ses parents et celui du spectateur reposent sur elle. Philippe IV et Marie Anne L’infante Marguerite (seule enfant du couple) Le chambellan Nieto Velázquez Une naine Maria Barbola L’enfant (nain ?) 2 demoiselles d’honneurs (les ménines) Diego Velasquez La croix de Santiago a été rajoutée après. Un chien Ou comment doit se comporter une princesse Espagnole au 17ème siècle. Les ménines de Diego Velázquez - ciné club de caen. "Le temps n'épuise pas Les Ménines, il les enrichit" affirme Daniel Arasse (On n'y voit rien, Editions Denoël, 2001).

Les ménines de Diego Velázquez - ciné club de caen

L'historien d'art souhaite pourtant analyser le tableau tel qu'il a été compris en 1659 et par les générations suivantes. Cette interprétation doit se détacher de celle, allégorique et dynastique, que l'on pouvait faire à partir d'une première version du tableau peint en 1656 et devenu périmé dès 1657. Mais Daniel Arasse tient aussi à se démarquer de l'analyse de Michel Foucault qui repose sur les conditions muséales de présentation, de perception et de réception. Un des tableaux les plus célèbres du monde On a tout dit sur Les Ménines, surtout depuis que Michel Foucault a trouvé bon d'en faire la préface de ses Mots et les choses, en 1966. Pour y voir plus clair, on a même publié une sélection de textes consacrés au tableau. Foucault fait pourtant délibérément reposer son interprétation sur une fiction quand il écrit, par exemple: La version de 1656 La version de 1659.

Les Ménines de Velázquez. À propos des Ménines de Vélasquez. "Les Ménines en représentation"- Arts plastiques. Pour ce premier cours de l’année en 4°, je voulais que les élèves découvrent le célèbre tableau de Vélasquez, Les Ménines, de manière directe, personnelle et intuitive.

"Les Ménines en représentation"- Arts plastiques

Donc, pas d’analyse préalable du tableau ni de documentation. L’objectif était d’amener les élèves à réellement "voir" ce tableau. Observer tous les détails (personnages, lieu, objets, espace, lumière...) et la composition. Comprendre Les choix de l’artiste lorsqu’il construit son tableau : Choix des éléments représentés / leur disposition mais surtout la question du point de vue : celui de l’artiste, des spectateurs et des personnages représentés. L’approche sensible de l’ œuvre par la pratique artistique est un bon moyen de permettre aux élèves de la comprendre et de se l’approprier.

Analyse d'oeuvre: Les Ménines - le blog de monsieur geney. « Nous ne pouvons pas embrasser du regard tous les personnages de la toile.

Analyse d'oeuvre: Les Ménines - le blog de monsieur geney

Non seulement les dimensions de cette toile peinte en taille réelle l'empêchent mais, de plus, les visages tournés dans des directions différentes font que notre regard est dévié. Cette peinture communique à travers des images qui, pour qu'elles soient comprises, doivent être considérées l'une après l'autre, dans le contexte d'une histoire qui se déroule. » Harriet Stone La représentation de l’espace La profondeur et la dimension sont rendues par l'usage de la perspective avec un seul point de fuite, situé derrière cette porte comme on peut le voir en prolongeant les lignes du plafond et du sol sur la droite, par la superposition des figures contenues dans les différents plans de découpage dans la profondeur, et par l'usage de teinte et de jeux de lumière.

Il y a tout d'abord la lumière naturelle dans la pièce principale et celle au-delà derrière la porte.