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Management

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Nawfal Trabelsi, directeur général de Macdonald France, L'invité de BFM Business - 25 juillet.

Économie

CD COACHING et formation - pour l'entreprise et le particulier partout en France - Belfort - Alsace / Franche-comté. Un personnel motivé, c’est : Plus d’efficacité, de performance, de réactivité, de compétitivité, de développement, d’enthousiasme, de solidité… La crise et ses incertitudes ont augmenté le risque de désengagement, d'absentéisme, voire de problèmes psychosociaux… Pour entretenir la motivation positive de ses troupes, l'entreprise doit aujourd'hui être capable de prendre en compte et d'agir sur de multiples facteurs… Mais quels sont-ils ? Tout d’abord, qu'est-ce vraiment que la motivation ? Ce sont les raisons, les intérêts, les éléments qui poussent à l’action (motivation = motifs à l’action), et permettent de faire les efforts nécessaires pour réaliser un objectif précis. Cette notion est différente du dynamisme, de l'énergie, ou encore du fait d'être actif (Nous sommes tous motivés pour certaines choses, mais pas pour tout…).

Autre caractéristique essentielle : Il existe 2 types de motivation. 1. Quelques exemples de leviers de motivation extrinsèques : · Augmentation salariale · Primes 2. Le mot RH de trop | Médias sociaux, marketing et ressources humainesMédias sociaux, marketing et ressources humaines. « Les Ressources Humaines, comme le marketing, la communication ou les médias, semblent aujourd’hui être atteintes d’une terrible maladie : la jargonnite, dont les symptômes se traduisent par des termes, mots et expressions, d’autant plus utilisés qu’ils en perdent de leur sens. En effet, à force d’être répétés, détournés, déformés, recyclés, ils nous deviennent insupportables, ne veulent plus rien dire, et comble de tout, semblent souvent là pour compenser une absence de fond, surtout quand ils ont traversé l’Atlantique via un “copier / collé” sans intelligence ni réflexion. Comme nous ne sommes jamais les derniers pour nous amuser un peu, nous nous sommes réunis pour proposer une petite sélection de ces pépites.

Mais ce qui a guidé cette démarche, c’est surtout la volonté de défendre une approche des RH qui soit concrète, honnête, utile, pragmatique, et de démontrer que les RH n’ont pas besoin de ces artifices pour être légitimes. « C’est quoi le ROI là-dessus ? Séminaire « Management et gestion des ressources humaines : stratégies, acteurs et pratiques » - Les modèles d'analyse de la GRH.

Frédérique Pigeyre, professeur des universités, université de Versailles-Saint Quentin La gestion des ressources humaines caractérise à la fois un champ de pratiques, celles de gestion de la main d'œuvre, et une discipline à part entière des sciences de gestion, tout comme la stratégie, la finance, le marketing, etc. La discipline est elle-même plus récente que les pratiques. Naguère baptisée "gestion du personnel", la "gestion des ressources humaines" pourrait bien faire à son tour l'objet d'un nouveau changement de nom. Certains s'interrogent en effet sur sa tendance actuelle à s'individualiser et à devenir une "gestion des personnes". Ces changements d'intitulés, et les débats qu'ils suscitent, renvoient aux évolutions permanentes des modes de gestion du travail, en fonction des époques et des contextes. Cette diversité des intitulés nous engage d'abord à mettre l'accent sur la difficulté de définir simplement et précisément la GRH.

GRH et modèles productifs GRH et idées managériales. Alternatives Economiques Education - L'organisation du travail a-t-elle vraiment changé? Censé réconcilier efficacité productive et autonomie des salariés, le toyotisme accentue en fait l'intensification du travail. De ce point de vue, il est un perfectionnement du fordisme plus que son dépassement. Cependant, les principes du toyotisme peuvent aussi déboucher sur une organisation qualifiante du travail, faisant de l'apprentissage un facteur essentiel de l'efficacité. 1.

Les méthodes modernes d'organisation du travail s'appuient sur la rationalisation extrême des activités pensée par Frederick Taylor. Accès réservé Je suis lycéen, étudiant ou enseignant, et abonné à Alternatives Economiques :> Je m'identifie pour accéder gratuitement à cet article.Je suis abonné à une des publications d'Alternatives Economiques, mais pas lycéen, étudiant ou enseignant : > Je peux consulter les articles de la publication à laquelle je suis abonné en m'identifiant sur le site En revanche, je ne peux pas accéder aux contenus de ce site réservé aux lycéens, étudiants et enseignants. Alternatives Economiques Education - L'entreprise face à l'incertitude. L'entreprise doit faire face à de multiples incertitudes issues de son propre sein, de la concurrence ou d'événements extérieurs.

Pour s'y préparer, la prospective stratégique fournit un juste milieu entre la planification, qui souvent ne résiste pas à l'épreuve du temps, et le pilotage à vue, stressant et inefficace. L'incertitude est inhérente à l'action d'entreprendre. C'est même sa justification fondamentale : pour l'économiste autrichien Joseph Schumpeter, grand spécialiste de la question, n'est un entrepreneur que celui qui innove, qui réalise de " nouvelles combinaisons " [1]. L'entrepreneur fait nécessairement des paris risqués sur l'accueil que ses clients potentiels réserveront à ses produits, sur le prix qu'il peut leur faire payer, sur l'adéquation entre son niveau d'activité et les moyens qu'il met en oeuvre, sur la qualité et l'efficacité future des collaborateurs qu'il recrute… Rien n'est acquis d'avance.

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