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L’inquiétante fuite en avant du Royaume-Uni. Editorial du « Monde ».

L’inquiétante fuite en avant du Royaume-Uni

Rompre avec son propre continent en quittant l’Union européenne suppose pour le Royaume-Uni de se réinventer une place dans le monde. Ce dessein central du Brexit, vendu aux électeurs britanniques sous le slogan ronflant de « Global Britain » (« Grande-Bretagne mondiale »), n’a jamais eu de contenu clair. Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a tenté, mardi 16 mars, de lui en donner un, en présentant sa « Revue stratégique en matière de sécurité, de défense et de politique étrangère », censée définir les orientations gouvernementales pour les dix ans à venir. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Plus d’Asie et moins d’Europe : Boris Johnson définit la nouvelle stratégie « Global Britain » du Royaume-Uni.

Le Brexit entraîne une chute historique du commerce extérieur entre le Royaume-Uni et l’Union européenne. Les effets du Brexit ne se sont pas fait attendre.

Le Brexit entraîne une chute historique du commerce extérieur entre le Royaume-Uni et l’Union européenne

Selon les chiffres publiés jeudi 11 mars par l’Office national des statistiques (ONS) britannique, le commerce extérieur du Royaume-Uni est en net recul en janvier : les exportations de biens ont plongé de 19,3 % à 5,3 milliards de livres à cause d’une dégringolade de près de 41 % des exportations vers l’UE ;de leur côté, les importations de biens se sont écroulées de 21,6 % en janvier, à cause d’un plongeon de 2,9 % des achats de biens en provenance de l’UE. En prix et volumes, c’est « la plus forte chute en un mois depuis que ces chiffres ont commencé à être mesurés en janvier 1997 », note l’ONS.

La sortie du marché unique européen est entrée en vigueur au 1er janvier et a eu un fort impact sur le commerce extérieur, entre goulots d’étranglement dans des ports déjà sous pression avec la pandémie et les restrictions aux déplacements qui ont eu lieu en janvier, et des retards de commandes accumulés depuis le début de la crise sanitaire. Le Covid-19 et l’Ecosse, nouveaux défis de Boris Johnson. Remise en service pour l’occasion, la cloche Big Ben a retenti dans le froid humide, le 31 décembre 2020, à 23 heures (de Londres), au-dessus du quartier de Westminster rendu désert par l’épidémie, pour marquer la sortie définitive du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), après presque cinquante ans d’aventure commune.

Le Covid-19 et l’Ecosse, nouveaux défis de Boris Johnson

La capitale a fêté la nouvelle année avec un ballet de drones lumineux au-dessus de la Tamise. Depuis le 10 Downing Street, Boris Johnson s’est contenté d’un bref message vidéo, se félicitant de nouveau d’avoir décroché un accord « de commerce et de coopération » avec Bruxelles la veille de Noël. Brexit : comment l’Europe a encaissé la perte du Royaume-Uni. Le Brexit devait amorcer la longue agonie de l’Union européenne (UE), le début de la fin salué par tous les alliés continentaux des europhobes britanniques.

Brexit : comment l’Europe a encaissé la perte du Royaume-Uni

En juin 2016, la Française Marine Le Pen, l’Italien Matteo Salvini ou le Néerlandais Geert Wilders s’étaient ouvertement réjouis de la victoire du vote « leave ». Ils avaient été confortés, quelques mois plus tard, par l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis. Ce dernier n’avait-il pas apporté son appui aux brexiters, Nigel Farage et Boris Johnson en tête, avant de conspuer la construction européenne tout au long de son mandat ?

Tandis que le Brexit est devenu une réalité tangible, vendredi 1er janvier, après des années de laborieuses tractations ponctuées de coups de théâtre en série au Royaume-Uni, les Vingt-Sept ont échappé à la descente aux enfers que les Cassandre leur promettaient. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Brexit : ce qui change pour les citoyens et les entreprises au 1er janvier. Brexit : des premiers contrôles douaniers à Calais et en gare du Nord. Premier jour post-Brexit pour les chauffeurs routiers et les voyageurs.

Brexit : des premiers contrôles douaniers à Calais et en gare du Nord

Près de 200 camions ont emprunté le tunnel sous la Manche « sans aucun problème » dans la nuit de jeudi 31 décembre à vendredi 1er janvier, après la sortie du Royaume-Uni du marché unique européen et le rétablissement des formalités douanières, a déclaré la direction de Getlink, exploitant du tunnel. Après une pause du trafic maritime pour le réveillon, un premier ferry venu du Royaume-Uni après son divorce d’avec l’Union européenne (UE) a aussi accosté au port de Calais à 10 h 15. Le Pride of Kent, de la compagnie P & O Ferries, a débarqué 36 camions sur les quais, dont trois ont été orientés pour des contrôles supplémentaires, les autres étant autorisés à poursuivre leur route, a rapporté un porte-parole du groupe Getlink.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’accord sur le Brexit n’est que le début de longues négociations avec le Royaume-Uni Formalités dans les deux sens. Relations post-Brexit : l’accord entre le Royaume-Uni et l’Union européenne rendu public. Le gouvernement britannique et la Commission européenne ont publié, samedi 26 décembre, l’intégralité de l’accord historique encadrant leurs relations post-Brexit, un texte de plus de 1 200 pages, qu’ils doivent adopter en seulement quelques jours avant son application, le 31 décembre à minuit.

Relations post-Brexit : l’accord entre le Royaume-Uni et l’Union européenne rendu public

Lire aussi : Ce que contient l’accord conclu entre le Royaume-Uni et l’Union européenne Permettant notamment l’introduction de droits de douanes et des quotas dans les échanges commerciaux entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE) et la fermeture des eaux britanniques pour les pêcheurs européens, le texte compte exactement 1 246 pages, auxquelles s’ajoutent des notes explicatives et des accords annexes sur la coopération nucléaire ou les échanges d’informations classifiées. « Le résultat de nombreux mois de travail intensif », a rappelé le négociateur européen, Michel Barnier, en annonçant, sur Twitter, la publication des accords.

Du « Yes » au Brexit à l’accord sur les relations commerciales : quatre ans de négociations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne. Du référendum de 2016 en faveur du Brexit aux négociations de dernière minute, rappel des principales étapes du divorce mouvementé entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE). 23 juin 2016 : les Britanniques disent « Yes » au Brexit Le 23 juin 2016, les Britanniques votent en faveur d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

Du « Yes » au Brexit à l’accord sur les relations commerciales : quatre ans de négociations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne

Le camp du « Leave » l’emporte avec 51,9 %, contre 48,1 % pour le « Remain », pro-européen. Le lendemain, le premier ministre conservateur David Cameron, défenseur du « Remain », démissionne. Brexit : comment Boris Johnson a abandonné la City. Vendredi 4 décembre, face aux négociations sur le Brexit qui patinaient, Catherine McGuinness, qui préside la corporation de la City, résumait son amertume d’une phrase : « La politique a primé sur le pragmatisme. » Quatre ans et demi après le vote en faveur de la sortie de l’Union européenne (UE), elle ne pouvait que constater, impuissante, la déroute du secteur financier qu’elle représente.

Brexit : comment Boris Johnson a abandonné la City

Année après année, chacune de ses demandes a été ignorée par les gouvernements successifs de Theresa May et de Boris Johnson. L’accord de jeudi 24 décembre ne concerne que la pêche et le commerce des marchandises. La City n’y apparaît absolument pas. Jusqu’au bout, la pêche, 0,1 % du produit intérieur brut (PIB) britannique – 0,02 %, selon certains analystes – et 12 000 emplois, a été un point de négociation crucial. La finance, 7 % du PIB et 1,1 million de postes, a été ignorée. « Cela semble irrationnel », se lamente Mme McGuinness. Brexit : Boris Johnson, insubmersible machine politique. Il est plus décoiffé que jamais, arbore un air hagard à chaque apparition et semble en permanence dépassé par les événements.

Brexit : Boris Johnson, insubmersible machine politique

L’opposition travailliste l’accuse de laxisme, ses propres rangs disent pis que pendre de lui en privé (et de plus en plus en public), les Ecossais rêvent d’indépendance quand ils le voient. Et pourtant, Boris Johnson reste une insubmersible machine politique. En arrachant, jeudi 24 décembre, un accord avec l’Union européenne (UE) sur les relations post-Brexit, le premier ministre britannique fait une nouvelle fois preuve de l’utilité de se faire passer pour un fou. Retour des douanes et baisse des quotas de pêche européens : ce que contient l’accord post-Brexit. L’accord tant attendu sur les relations post-Brexit entre l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni a fini par arriver la veille de Noël.

Retour des douanes et baisse des quotas de pêche européens : ce que contient l’accord post-Brexit

Après un énième délai et des discussions toute la nuit sur les quotas de pêche, un traité de libre-échange de près de 1 500 pages, en comptant les annexes, a été approuvé jeudi 24 décembre. Négocié en moins d’un an, un temps record pour un tel texte, il constitue ce que le premier ministre britannique, Boris Johnson, appelle « une nouvelle base d’amitié [entre Londres et Bruxelles], pour stabiliser cette relation ». De nombreux détails de l’accord ne vont émerger que dans les jours et les semaines qui viennent, le temps que juristes et spécialistes le digèrent. Mais voici les grandes lignes de ce qui va changer le 1er janvier, quand l’accord s’appliquera. Brexit : Michel Barnier, la consécration du « montagnard »

Enfin ! Après plus de quatre ans de psychodrames à répétition, les Européens et Londres ont conclu, jeudi 24 décembre, un accord – environ 1 500 pages – qui régira leurs relations dès le 1er janvier 2021. « Mission accomplie, j’ai pris ma part », commente, sobrement, Michel Barnier, qui représentait les Vingt-Sept dans cette négociation « extraordinaire ». Le Français n’est pas du genre expansif, d’autant que, comme il le dit, « le Brexit, c’est perdant-perdant pour tout le monde. Je ne vais pas sauter de joie à cette perspective ». Il n’empêche. Pour ce gaulliste social, avoir mené à terme cette mission à haut risque c’est, après quasi cinquante ans d’une vie politique bien remplie, une revanche sur tous ceux qui, y compris dans son camp, n’ont jamais cru en lui. Brexit : les dix mois qui ont scellé le divorce entre le Royaume-Uni et l’Europe. Il était moins une. « Deal is done », a enfin annoncé le 10 Downing Street, jeudi 24 décembre, à 14 h 45, heure de Londres. « Nous avons un accord solide », a confirmé Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, pile au même moment depuis Bruxelles.

C’est assurément une très bonne nouvelle : il y a donc un accord post-Brexit pour Noël entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE). Un « Brexmas » (Brexit for Christmas), se sont empressés de saluer les médias britanniques. A sept petites journées de la fin de la période de transition, après une dernière nuit blanche de tractations et quelques dernières heures de fignolage, ligne à ligne, virgule après virgule, d’un texte d’au moins 1 200 pages, Londres et Bruxelles sont finalement parvenus à finaliser un traité de libre-échange historique, sans taxes, associé à une coopération en matière de sécurité.

Relations post-Brexit : l’Union européenne et le Royaume-Uni trouvent un accord in extremis. Il leur restait une semaine pour se mettre d’accord. Jeudi 24 décembre, après une nuit et une matinée d’ultimes négociations, l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni ont trouvé un terrain d’entente sur leurs relations commerciales après la sortie effective du pays de l’UE, au 1er janvier. Suivez notre direct : un accord « bon pour l’Europe et le Royaume-Uni », salue Ursula von der Leyen Cet accord, « bon pour l’Europe et le Royaume-Uni », pose des « fondations solides pour le départ d’un ami de longue date » et « protégera les intérêts européens », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d’une conférence de presse tenue dans l’après-midi avec le négociateur européen, Michel Barnier. « Nous pouvons laisser le Brexit derrière nous », a-t-elle poursuivi, ajoutant que « l’Union européenne [allait] pouvoir passer à une nouvelle étape ».

The deal is done. Brexit : comment voyager au Royaume-Uni à compter du 1er janvier 2021. Après une période de transition, le Brexit entrera concrètement en application le 1er janvier 2021. A cette date, le Royaume-Uni quittera définitivement l’Union européenne (UE). Malgré la conclusion d’un accord commercial désicif jeudi 24 décembre, les frontières seront rétablies, ce qui aura des conséquences sur les voyages des Français en Angleterre. « Quoi qu’il arrive, le 1er janvier, nous serons dans un univers différent », a prévenu le secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, Clément Beaune, le 10 décembre.

Le Royaume-Uni deviendra un pays tiers. « Ça signifie […] des contrôles de la police de l’air et des frontières », a aussi souligné le ministre délégué aux comptes publics Olivier Dussopt. Décryptage : Brexit : la querelle sur la pêche bloque les négociations entre Londres et Bruxelles. Brexit : la grande impréparation du Royaume-Uni. Les préparatifs du gouvernement britannique pour le Brexit pataugent dans un champ de boue. Littéralement. Pour faire face aux éventuels embouteillages de camions à la frontière après le 1er janvier 2021, quand les nouvelles relations commerciales entre Londres et Bruxelles entreront en vigueur, les autorités du Royaume-Uni construisent un énorme parking à Sevington, dans le Kent, à une vingtaine de kilomètres en amont de Folkestone, où se trouve l’entrée du tunnel sous la Manche.

Les camionneurs pourront s’y garer, le temps de régler les nouvelles formalités douanières si leurs papiers ne sont pas conformes. Le 14 décembre, Damian Green, le député conservateur d’Ashford (sud-est de l’Angleterre), où se trouve le parking, a révélé que les travaux ne seraient pas finis à temps. Les préparatifs ont été ralentis par les fortes précipitations de ces dernières semaines (le terrain est en partie inondable). « Il devrait être terminé pour la fin février 2021 », assure l’élu. Relations post-Brexit : l’Union européenne et le Royaume-Uni proches d’un accord. Avant la fin des négociations sur le Brexit, la Royal Navy prête à protéger les eaux britanniques en cas de « no deal » A la veille de l’échéance pour nouer un accord commercial post-Brexit avec l’Union européenne (UE), des navires de la Royal Navy se tiennent prêts à protéger les zones de pêche britanniques où pourraient survenir des tensions en cas d’échec des négociations.

Brexit : le coup de poker et le dilemme de Boris Johnson. Brexit : l’UE présente ses mesures d’urgence en cas de « no deal », Londres se montre circonspect. Au lendemain d’un dîner infructueux à Bruxelles entre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le premier ministre britannique, Boris Johnson, l’Union européenne (UE) a publié, jeudi 10 décembre, des mesures d’urgence en matière de pêche et de transport routier et aérien. Brexit : Londres joue la montre, Bruxelles s’impatiente. Cela fait maintenant trente jours qu’ils négocient sans discontinuer, week-end compris. Brexit : Londres accepte de reconnaître une partie de la régulation financière européenne.

Les Britanniques ont craqué les premiers. Après la victoire de Biden, le Royaume-Uni craint l’isolement. Une petite heure : c’est le temps que Downing Street a mis, samedi 7 novembre, pour publier son message de félicitations au président élu, Joe Biden, et à sa vice-présidente, Kamala Harris. « Les Etats-Unis sont notre plus important allié et j’ai hâte que nous travaillions ensemble à nos priorités communes, du changement climatique au commerce et à la sécurité », a salué le conservateur Boris Johnson. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Brocardée par Trump, l’Allemagne est soulagée par la victoire de Biden Nicola Sturgeon, la première ministre écossaise, Micheal Martin, le dirigeant irlandais, et Justin Trudeau, le premier ministre canadien, ont certes réagi plus vite.

Brexit : des « divergences » entre Ursula von der Leyen et Boris Johnson avant la reprise des négociations. Un nouveau rendez-vous téléphonique entre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le premier ministre britannique, Boris Johnson, devait dresser « l’état des lieux » des pourparlers entre Londres et Bruxelles. Brexit : la Commission européenne lance une procédure d’infraction contre le Royaume-Uni. Boris Johnson justifie son revirement sur l’accord du Brexit pour faire face aux « menaces » de l’UE. Le Brexit qui vient pèse sur la fragile collaboration franco-britannique sur les migrants. Plus de 5 600 personnes migrantes ont rejoint illégalement l’Angleterre en traversant la Manche à bord d’embarcations, depuis le début de l’année 2020.

Un chiffre faible si on le compare aux 24 000 migrants détectés en 2019 dans des camions à l’entrée du tunnel sous la Manche ou dans le port de Calais. « Boucler un accord sur le Brexit permettrait à Boris Johnson de faire taire une partie des critiques » Pour l’UE, le projet de loi britannique sur le Brexit « violerait le droit international » Sans accord avec l’UE et en plein Covid-19, les Britanniques s’inquiètent d’un possible « Brovid » Pour le Royaume-Uni, « l’âge d’or » avec la Chine est fini. Brexit : reprise surréaliste des négociations entre Londres et Bruxelles. Comment le Brexit accélère la réunification de l’Irlande.

Royaume-Uni : démission surprise du chancelier de l’Echiquier, Sajid Javid. Brexit : le 31 janvier 2020, ce jour où rien n’a changé, où tout a changé. Michel Barnier et David Frost, deux négociateurs chevronnés pour l’après-Brexit. Brexit : les mystères de la relation future entre l’Union européenne et Londres. Trois jours après le Brexit, Londres et Bruxelles sont déjà prêts à la confrontation sur leur relation future. Brexit : Boris Johnson s’engage à ce que Londres ne fasse pas de « concurrence déloyale » à l’UE. « Le jour où nous avons dit au revoir » : les « unes » de la presse britannique au lendemain du Brexit. Brexit : revivez le 31 janvier 2020, jour historique où le Royaume-Uni a quitté l’Union européenne. Brexit : le Parlement britannique valide définitivement l'accord. En Ecosse, le défi indépendantiste face au Brexit de Johnson. Boris Johnson obtient le feu vert des députés britanniques pour mener le Brexit.

Au Royaume-Uni, le Parti conservateur de Boris Johnson remporte une large victoire. Elections au Royaume-Uni : majorité absolue pour Boris Johnson, selon un sondage de sortie des urnes. Au Royaume-Uni, le Labour accepte les élections anticipées. Brexit : les députés rejettent la tenue d’élections le 12 décembre. L’Europe accepte un report du Brexit au plus tard au 31 janvier 2020. Boris Johnson appelle à des élections générales le 12 décembre. Brexit : comment Boris Johnson et les Européens espèrent rattraper le contretemps de samedi.

Brexit : le double message de Boris Johnson à Bruxelles. Brexit : le double message de Boris Johnson à Bruxelles. De l’Irlande du Nord au régime de TVA, les points clés du nouvel accord du Brexit. Négociations, frontière irlandaise, régime douanier : nos journalistes ont répondu à vos questions sur le Brexit. Les cinq jours qui ont permis d’arracher un nouvel accord sur le Brexit. Négociations, frontière irlandaise, régime douanier : nos journalistes ont répondu à vos questions sur le Brexit. Brexit : Dublin en position de force face à Londres. Brexit : la Cour suprême britannique inflige un revers à Boris Johnson. « On peut encore trouver un accord » : reçu à l’Elysée, Boris Johnson insiste sur un Brexit le 31 octobre. Brexit : Boris Johnson prépare l’UE et le Royaume-Uni à un « no deal » Boris Johnson dans l’impasse nord-irlandaise. Brexit : face au risque de « no deal », la livre sterling proche du plus bas niveau de son histoire.

Brexit : Bruxelles inflexible après la visite du négociateur britannique. Brexit : les entreprises britanniques à nouveau confrontées au Brexit. Royaume-Uni : Boris Johnson subit son premier revers électoral. Iles Malouines : en attendant le Brexit. Brexit : Theresa May démissionne avec le « regret de ne pas avoir pu le mettre en œuvre » Brexit : les Européens entre amertume et fatalisme après le départ de Theresa May. Pour sauver son Brexit, Theresa May abat son ultime carte : le second référendum. Les deux grands partis britanniques sanctionnés dans les urnes.

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