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C2E - Campus Européen d'été de l'université de Poitiers. Injurier en privé sur Facebook peut valoir 38 euros d'amende. La cour de cassation fixe un début de jurisprudence concernant la responsabilité pénale des internautes qui commettent des injures sur Facebook ou tout autre réseau social. Dans un arrêt du 10 avril 2013 rendu par la première chambre civile, la Cour a estimé que le fait d'injurier un individu ou une entreprise sur Facebook ou MSN ne relevait pas de l'injure publique dès lors que seuls les amis ou membres pouvaient lire les propos litigieux.

"Après avoir constaté que les propos litigieux avaient été diffusés sur les comptes ouverts par Mme Y... tant sur le site Facebook que sur le site MSN, lesquels n’étaient en l’espèce accessibles qu’aux seules personnes agréées par l’intéressée, en nombre très restreint, la cour d’appel a retenu, par un motif adopté exempt de caractère hypothétique, que celles ci formaient une communauté d’intérêts", constate la Cour. Elle conclut donc que les juges d'appel ont "exactement déduit que ces propos ne constituaient pas des injures publiques". Prouvez sur le Web avec NetConstat. Prouvez sur le Web avec NetConstat Sur Internet, en cas de diffamation, de piratage, de plagiat, de contrefaçon ou de concurrence déloyale, comment vais-je faire valoir mes droits ? Je précise tout de suite qu'il ne s'agit pas d'un cas théorique, mais que j'ai vraiment été concerné ! J'ai pu constater qu'une simple copie d'écran ne constitue pas une preuve.

Si un officier de police ou de justice vérifie lui même sur son écran le contenu litigieux, il pourra lui même établir cette preuve. Mais si, entre temps, le contenu litigieux a disparu, alors on pourra toujours vous opposer que votre copie d'écran est un montage et il vous sera difficile de prouver votre bonne foi ! Passer par un constat d'huissier peut être la solution adéquate, mais il faudra y consacrer entre 300 € à 500 €, uniquement pour établir de cette preuve. Libellés : avocat, concurrence déloyale, contrefaçon, diffamation, huissier, justice, netconstat, piratage, plagiat, police, preuve. 01net (télécharger(.)com) impose désormais ses malwares. J'avais déjà expliqué que télécharger des logiciels doit se faire uniquement sur les sites de leurs éditeurs. Il faut donc impérativement ne plus les télécharger via des plates-formes centralisant des milliers de logiciels, même gratuits et libres. Pour rappel, tout comme CNET download.com, 01net ou telecharger.com (c'est pareil), continue ses pratiques douteuses.

Depuis peu, avec un changement d'installeur, telecharger.com impose l'installation de malwares (ici, babylon), et ce malgré le non-consetement de l'utilisateur. Résultats : votre PC sous Windows va accumuler ces petits micro-logiciels sponsorisés changeant sa configuration. Comble de l'inadmissible, lors de l'installation des logiciels téléchargés sur telecharger.com (ou softonic), le logo d'ad-aware est présent pour rassurer l'utilisateur que tout va bien. Je crois que l'on a désormais atteint le summum des pires pratiques dans ce domaine. Une petite vidéo de Malekal pour vous convaincre de ces pratiques malsaines ? RESPIRE : une bouffée d’air pour l’innovation.

« Respire », le réseau social de l’innovation du ministère de l’Éducation nationale, vient d’obtenir une Victoire de l’innovation pour la fonction publique d’État, à l’Assemblée nationale ! Nous avons rencontré Marc Février, son concepteur. On dit que le site RESPIRE réseau d’échange de savoirs professionnels, est le « facebook » de l’innovation ? Vous qui en êtes le concepteur qu’en pensez-vous ? Les gens font ce parallèle. C’est vrai que Respire est un réseau social dans le sens où il met en contact des gens qui ont un ou des intérêts communs. Qui êtes-vous ? Que peut-on trouver sur RESPIRE qui puissent participer à la construction de compétences professionnelles ? Comment s’y prendre pour entrer sur le site et s’y inscrire ? Propos recueillis par Roxane Caty-Leslé.

Jimmy Wales (fondateur de Wikipedia) : "Plutôt que d'interdire Wikipedia aux étudiants, nous devrions leur apprendre à l'utiliser" Le créateur de Wikipedia fait le point sur ses projets après avoir récolté 25 millions de dollars de dons pour continuer à développer l'encyclopédie en ligne. JDN. Wikipedia compte aujourd'hui près de 23 millions d'articles dans 285 langues . Comment expliquez-vous un tel succès ? Jimmy Wales. Wikipedia est très vite entré dans les moeurs, tout simplement parce qu'il a constitué le premier outil vraiment abouti de partage de connaissances avec le monde entier. Qui sont les contributeurs de Wikipedia et quels sont les profils les plus fréquemment rencontrés ? Nos contributeurs ont des profils et des âges assez variés.

Combien de personnes travaillent pour la fondation Wikimedia et combien exercent la fonction de modérateurs sur Wikipedia ? Près d'une centaine d'employés travaillent pour la Fondation. Que répondez-vous aux enseignants qui déconseillent à leurs élèves d'utiliser Wikipedia prétextant que ce n'est pas une source d'information fiable ? Non, nous ne permettons pas cela. Faux, rumeur et désinformation dans le cyberespace. 22 janvier 2013 - Faux, rumeur et désinformation dans le cyberespace Faux, rumeur et désinformation dans le cyberespace. Que cachent nos écrans ? Il ne se passe par de jours où la question du vrai ou du faux sur Internet, du trucage ou de la mystification, de la désinformation et de la rumeur ne se trouve au premier plan de l'actualité.

Le jour où nous écrivons, nous apprenons qu'un article de l'encyclopédie en ligne Wikipedia présentait une guerre purement imaginaire en Inde ou que sur Twitter a été annoncée une fausse mort de l'auteur de la saga Harry Potter. Télécharger ici Faux, rumeur et désinformation dans le cyberespace. Www.iris-france.org/docs/kfm_docs/docs/observatoire-geo-info/2013-01-faux-rumeurs-et-desinformation-dans-le-cyberespace.pdf. Logiciel éducatif | Enseigner avec la BD | Bitstrips pour écoles. Le droit d'auteur à l'épreuve d'Internet. Pour la culture sur internet, l'année 2013 devrait être celle du changement : on attend pour le printemps prochain les conclusions de la mission "Acte II de l'exception culturelle", chargée de plancher sur les nouveaux dispositifs à mettre en place pour "favoriser le développement des œuvres et des pratiques culturelles numériques et assurer l'accès de tous à celle-ci.

Soutenir la création et la diversité, valoriser les retombées économiques et lutter contre la contrefaçon commerciale". C'est en tout cas ce que prévoit la lettre de mission de Pierre Lescure. L'un des gros chantiers de l'ancien président de Canal+ va être la question du Droit d'auteur. Le modèle actuellement en vigueur pour le domaine physique (DVD, CDs, livres) n'est pas du tout adapté au monde numérique. Reste à savoir comment le redéfinir pour qu'il permette aux créateurs d'être correctement rémunérés, et que les usagers d'Internet puissent avoir facilement accès aux contenus. Abdelhak El idrissi.