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Richard III // blogs

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Théâtre en Normandie : Au Rive Gauche Shakespeare revu et sublimé par Thomas Jolly. Théatoile : Thomas Jolly : « Le théâtre est un art, mais il est aussi, et a toujours été, un outil » – ThéâToile. Alors que le festival d’Avignon 2016 vivait ses dernières heures, nous avons rencontré le jeune metteur en scène Thomas Jolly qui a présenté son Radeau de la méduse en parallèle des chroniques quotidiennes données chaque midi au Jardin Ceccano par la Piccola Familia.

Théatoile : Thomas Jolly : « Le théâtre est un art, mais il est aussi, et a toujours été, un outil » – ThéâToile

L’occasion rêvée, dans un entretien en toute sincérité, d’en savoir plus sur celui qui tente de faire bouger le théâtre et les consciences. Quel parcours as-tu suivi pour arriver au théâtre ? Je suis né à Rouen, mais j’ai vécu dans un petit village de 200 habitants aux abords de Rouen. ThéâtreActu : Entretien avec Thomas Jolly : « Le théâtre est l'art et l'outil qui rappelle à l'être humain qu'il est vivant et qu'il n'est pas seul ».

Entretien réalisé par Ondine Bérenger Merci à Juliette L. pour l’aide à la retranscription.

ThéâtreActu : Entretien avec Thomas Jolly : « Le théâtre est l'art et l'outil qui rappelle à l'être humain qu'il est vivant et qu'il n'est pas seul ».

L'Artichaut : Rock, Shakespeare & hedgehog : le Richard III spectaculaire de Thomas Jolly - l'Artichaut. Si vous faites partie des spectateurs courageux du phénoménal Henri VI, c’est sans doute avec un soupçon de nostalgie que vous vous rendrez à la suite de la saga shakespearienne menée par le jeune Thomas Jolly.

L'Artichaut : Rock, Shakespeare & hedgehog : le Richard III spectaculaire de Thomas Jolly - l'Artichaut

Les dix-huit heures d’Henri VI sont pour beaucoup demeurées un souvenir doré, un exploit théâtral auquel vous êtes fier d’avoir participé, d’autant plus que la jeune compagnie Piccola Familia déborde d’une énergie communicative et euphorisante. Les pluies de paillettes et les impressionnants jeux de lumières d’Henri VI avaient une saveur épique, et c’est avec eux que renoue la suite de la saga, Richard III. Même si les effets spectaculaires prennent parfois un peu trop d’importance… En effet, à la fin des quatre heures vingt (une promenade de santé par rapport aux dix-huit heures, mais tout de même!) A la fin de la première partie, Richard, à force de manigances et de sang royal versé, prend le pouvoir. La seconde partie du drame se veut bien plus sombre. Marianne Martin. Fnac.com : Richard III : du Shakespeare remis au goût du jour - Conseils d'experts Fnac.

Blog MédiaPart : Un spectacle rock’n’roll ! Parlons d'abord du thème de la pièce : Richard 3 est la dernière pièce historique de l'ensemble des trois parties d'Henri VI.

Blog MédiaPart : Un spectacle rock’n’roll !

Dans cette représentation, Richard 3 s'empare du trône en assassinant frère, neveux et femme. Lors de la bataille finale, il tombe sous les coups de Richmond. Zone Critique : Richard III. L'enfance lue : On est allé voir Richard III... L'oeil d'Olivier : Richard III, mise en scène par Thomas Jolly… Un opéra pop rock sombre, vénéneux et outrancier. Au théâtre de l’Odéon, Thomas Jolly présente sa version pop-rock du Richard III de Shakespeare Tragique, sanguinolent est le destin de Richard III.

L'oeil d'Olivier : Richard III, mise en scène par Thomas Jolly… Un opéra pop rock sombre, vénéneux et outrancier

Pour nourrir la bête machiavélique et démoniaque, qui lui sert de corps, l’homme contrefait, honni de sa mère, n’hésite pas à sacrifier amis ou ennemis, parents ou étrangers, innocents ou nuisibles, sur l’autel de sa funeste ascension pour ceindre sur son front la couronne du royaume d’Angleterre. Afin de souligner la noirceur, la dramaturgie et le granguignolesque de ce destin hors norme conter par William Shakespeare, le jeune metteur en scène rouannais emprunte codes et références aux univers musicaux punk et pop-rock, au cinéma de genre, ainsi qu’à l’underground et au mouvement gothique.

Il en résulte une débauche de lumières aveuglantes, de bruits assourdissants, de tonitruance exacerbée et de fureur sanglante. L’argument. Musique, Cinema, Theatre, Livres, Expos, sessions et bien plus. Spectacle conçu et mis en scène par Thomas Jolly d'après l'oeuvre éponyme de William Shakespeare, interprété par Damien Avice, Mohand Azzoug, Etienne Baret, Bruno Bayeux, Nathan Bernat, Alexandre Dain, Flora Diguet, Anne Dupuis, Émeline Frémont, Damien Gabriac, Thomas Germaine, Thomas Jolly, François-Xavier Phan, Charline Porrone et Fabienne Rivier.

Musique, Cinema, Theatre, Livres, Expos, sessions et bien plus.

Le comédien et metteur en scène trentenaire Thomas Jolly, encensé, notamment comme "dynamite théâtre qui bouscule les codes", clôt son périple shakespearien avec un "Richard III" qui ne rencontre pas le plébiscite avignonnais qui avait accueilli un marathonien "Henri VI", dont la durée battait le record claudélien du "Soulier de satin", "rafraichissement" qui n'est pas sans évoquer celui qui a affecté son aîné "l'enfant terrible du théâtre français" Vincent Macaigne. En conséquence, il est raisonnable de considérer ce spectacle comme un divertissement un brin potache destiné aux amateurs du genre d'autant qu'il dure plus de quatre d'heures.

Publikart : Richard III, la version gothique de Thomas Jolly. Après le succès public et critique d’Henry VI, saga de dix-huit heures, Thomas Jolly revient avec Richard III dont il prend les traits et conclut la trilogie pour l’inscrire dans un dernier sursaut de noire politique où l’esthétique gothique accompagne la marche du mal.

Publikart : Richard III, la version gothique de Thomas Jolly

Richard III consacre la figure emblématique d’un homme honni, meurtri par l’absence d’amour et un handicap physique qui nourrissent chez lui un ressentiment face à sa naissance maudite. Mais la pièce déploie aussi la tragédie d’un homme rusé et diabolique qui utilise sa rancœur comme une arme et instrumentalise les divisions au sein du royaume pour s’emparer du trône. Shakespeare à travers cette fresque démoniaque traite donc de la question du pouvoir et de son ascension aux prises avec des stratégies de séduction et de manipulation. Et dans cette fuite en avant se lit aussi l’imaginaire déjà grotesque de Shakespeare et son goût pour une théâtralité exacerbée. […] Des scènes fortes égrènent le spectacle […] Un fauteuil pour un orchestre : Richard III, de William Shakespeare. À l'affiche, Critiques // Richard III, de William Shakespeare, mise en scène de Thomas Jolly, théâtre de l’Odéon. ƒƒƒ article de Denis Sanglard Crépusculaire !

Un fauteuil pour un orchestre : Richard III, de William Shakespeare

Gentleman Moderne : Richard III débarque au Théâtre de l'Odéon. Le Théâtre de l’Odéon lance son année 2016 avec un Richard III énergisant.

Gentleman Moderne : Richard III débarque au Théâtre de l'Odéon

Montée, jouée et dirigée par un Thomas Jolly au mour et au foulin, la pièce séduit par sa folie débridée. Le célébrissime texte du grand Shakespeare est respecté à la lettre, mis en valeur par une mise en scène digne des standards des lieux. La salve d’applaudissement finale témoigne de l’excitation d’un public plus que conquis. La première fut un immense triomphe.

Explications. Hier au Théâtre : Thomas Jolly, roi de la pop shakespearien. Après la conviviale odyssée shakespearienne de Henry VI, inutile de dire que Thomas Jolly était attendu au tournant.

Hier au Théâtre : Thomas Jolly, roi de la pop shakespearien

Adoubé par le public et la critique (et très prochainement aux manettes de deux opéras à Garnier et à l’Opéra Comique), le trentenaire poursuit logiquement son compagnonnage avec le grand Will en s’attaquant au gros morceau de Richard III. Ambitieux, le jeune Jolly l’est assurément en se distribuant dans le rôle-titre alors qu’on le voyait à peine (à la toute fin) dans sa saga de dix-huit heures. Avec sa double casquette d’acteur vedette et de metteur en scène, il prend des risques. S’il captive l’auditoire en crapaud bossu métamorphosé en diva capricieuse et sournoise, son travail scénique se révèle plus fragile et reste à la surface malgré une indéniable fougue rock’n’roll communicative.

Le Café des Pucerons: Richard III. L'étoffe des Songes : Shakespeare sous le feu des projecteurs. Allez-y si vous aimez :- Les mises en scène modernes et inventives- Shakespeare N’y allez pas si vous n’aimez pas : - Les longues pièces- Le … rock Son Henry VI de 18 heures avait créé l’événement à Avignon puis dans tous les lieux où il s’est produit. Avec sa Piccola Familia, troupe qui l’accompagne depuis ses débuts, Thomas Jolly s’est jeté dans Shakespeare à corps perdu avec un style rock et pop qui a tenu en haleine des spectateurs de tous âges. Inferno : LA CHRONIQUE DESSINEE : RICHARD III, THOMAS JOLLY.

Théâtre du Blog : Richard III par Thomas Jolly. Richard III de William Shakespeare, texte français de Jean-Michel Déprats, adaptation de Thomas Jolly et Julie Lerat-Guersant, mise en scène de Thomas Jolly Richard III conclut le travail que Thomas Jolly a initiée avec les tragédies d’Henri VI, une trilogie suivie du quatrième volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henri VI permet d’accéder à une lecture shakespearienne de l’Histoire, avec le resserrement d’un conflit à l’échelle de deux royaumes à travers la Guerre de Cent ans, qui se réduit ensuite à l’opposition des familles rivales de la guerre des Deux Roses, pour se refermer sur la seule fratrie d’ York, et finir tragiquement sur Richard III. Véronique Hotte Philippe du Vignal.

Du théâtre par gros temps : Thomas Jolly trébuche au pied du trône de Richard III. « Richard III » / Crédit photo : Nicolas Joubard. A voir ce public qui, debout, à la toute fin de l’épopée Henry VI, scandait le nom de Richard III, il est peu de dire que le spectacle de Thomas Jolly était attendu. Par ses inconditionnels, bien sûr, qui brûlaient d’impatience de voir la suite, mais aussi par ceux qui, lors du premier opus, avaient émis certaines réserves face aux quelques défauts qui pointaient ça et là. Allait-il être gommés ? A voir cette création sous les ors du Théâtre de l’Odéon, il est désormais possible d’affirmer le contraire. Atlantico : Un grand acteur pour un Shakespeare qui décoiffe. L'auteur La pièce fait partie des oeuvres de jeunesse de William Shakespeare (1564-1616).

Elle est la dernière d’une tétralogie, écrite entre 1588 et 1593, rapportant l’histoire des Plantagenêts, de la mort d’Henri V, en 1422, à celle de Richard III, en 1485. Elle fait suite à Henri VI, première, seconde et troisième partie, trois pièces consacrées au règne d’Henri VI d’Angleterre et à la guerre des Deux-Roses, et conclut ainsi le récit d’un conflit poursuivi au travers de plusieurs générations. La traduction est de Jean Michel Déprats. Thème. Arkult : Thomas Jolly trône sur l’Odéon. © Brigitte Enguerand Après avoir triomphé à Avignon et aux Ateliers Berthier avec la présentation dans son intégralité du cycle shakespearien d’Henry VI, Thomas Jolly, directeur de la compagnie la Piccola Familia se sentait suspendu à cette histoire qui n’était pas finie.

Pour conclure ce long cycle, il vient alors occuper l’Odéon et conquérir le public parisien par la mise en scène de Richard III, dans laquelle il s’accorde le rôle éponyme de ce sombre roi. Créée à Rennes en octobre, cette mise en scène de Richard III par Thomas Jolly se base sur une sublime traduction du texte que l’on doit à Jean-Michel Déprats, et qui éblouit la sombre création du jeune metteur en scène. Dans le rôle du roi sanguinaire, du roi des ombres, Thomas Jolly l’enfant terrible propose une esthétique glaciale et sombre pour cette grande pièce de Shakespeare. À cet effet, le décor est réduit au minimum : une structure en fer modulable, et la lumière pour sculpter l’espace cerclé de rideaux noirs.

ThéâToile : Richard III : le règne de Thomas Jolly. Artistik Rezo : Richard III en rock star gore à l'Odéon. Théâtre Actu : « Richard III » au Théâtre de l’Odéon. Article de Pierre-Alexandre Culo « Au cœur de la tyrannie : le sacre de Thomas Jolly. » Fin sombre et éclatante de l’aventure shakespearienne de Thomas Jolly, le cycle final de Richard III se dessine dans un dégradé de noir rude et délicat, où les ombres d’une époque maudite font jaillir l’éclair fascinant de ce monstre politique. Un tyran rock aux courbes pop, aussi révulsant que délicieux. Spectateur ne fut-il « jamais courtisé de cette façon ? Au Balcon : Richard III. Henri VI, lors du festival d’Avignon 2014 et de son passage à Paris aux ateliers Berthier, fut sans aucun doute une aventure théâtrale hors-norme, démesurée, conviviale et fédératrice pour un public très large qui jouait un rôle primordial dans cette incroyable épopée à laquelle nous avions eu un peu de mal à adhérer et à apprécier l’ampleur du phénomène.