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REGIMES POLITIQUES AFFAIBLIS

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Fin du régime tsariste en Russie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avant 1917, la Russie était dirigée par l'empereur Nicolas II, « l’empereur de toutes les Russies ». C’était un régime monarchique autocratique. L'Empire russe était un immense empire qui rivalisait de grandeur avec l’Empire britannique mais il était économiquement et militairement faible. La Russie avant 1917[modifier | modifier le code] Le développement économique[modifier | modifier le code] L’industrialisation de la Russie connut son apogée au début des années 1900, bien après les autres pays européens. Les dix premières années du règne de Nicolas II furent favorables à l’évolution économique. L’empire constitutionnalisé[modifier | modifier le code] La Révolution russe[modifier | modifier le code] Les déclencheurs de la Révolution[modifier | modifier le code] Les grèves et l’abdication de Nicolas II[modifier | modifier le code] La Douma demanda à Nicolas II de former un nouveau conseil pour sortir le pays de cette crise, mais le tsar refusa.

Les Romanov. Russie tsariste. Les premiers tsars russes Le mot tsar est un dérivé du mot césar, titre qui était traditionnellement réservé à l’empereur de Byzance. Le titre de tsar confère au dirigeant un statut similaire à celui d’empereur.Plusieurs souverains ont joué le rôle de tsar entre 1547 et 1917, dont Ivan IV et Alexis 1er. Ivan IV Le premier souverain russe à être couronné tsar est Ivan IV, en 1547. Le règne d’Ivan IV est marqué par une expansion du territoire vers l’est.

Ivan IV Ivan le Terrible a divisé le pays en deux et a même forcé le déplacement des populations, ce qui a engendré de nombreux problèmes dans le pays. La dynastie Romanov prendra le pouvoir en 1550 et le gardera jusqu’à la fin de l’époque tsarine. Alexis 1er Au 17e siècle, Alexis 1er est au pouvoir. La Russie au 18e siècle Le 18e siècle en Russie est marqué par de nombreuses transformations (transformations du territoire et transformations sociales).

Pierre le Grand (1672-1725), tsar de 1682 à 1725 Pierre le Grand Alexandre II Alexandre III. RÉVOLUTION RUSSE, La révolution de février 1917 et la chute du tsarisme. Spontanéité et improvisation caractérisent les journées de février 1917. Certes, au début de 1917, la crise politique que connaît le régime tsariste est profonde. Néanmoins, ni l'opposition modérée, ni l'opposition révolutionnaire, ni les « masses » de Petrograd, dont le rôle sera capital durant les événements de février ne semblent prêtes à une révolution, qui, en quelques jours, emporte une dynastie tricentenaire. Les premiers incidents graves de l'année 1917 éclatent le 20 février, après que les autorités de Petrograd eurent annoncé la mise en place d'un système de rationnement, la ville ne disposant de réserves de farine que pour quelques jours. Le même jour, la plus grande entreprise de Petrograd, l'usine d'armement Poutilov, en rupture d'approvisionnement, annonce le licenciement de milliers d'ouvriers. « Du pain, du travail !

» – ces exigences économiques sont le déclencheur d'un mouvement revendicatif spontané qui, au départ, n'a rien de révolutionnaire. Nicolas II. (Tsarskoïe Selo 1868-Iekaterinbourg 1918), empereur de Russie (1894-1917). Introduction Fils aîné d'Alexandre III, il lui succède en 1894 et condamne dès 1895 les « rêves insensés » des délégués des zemstvos, qui demandaient la poursuite des réformes entreprises par Alexandre II. Il se déclare alors décidé à « maintenir le principe de l'autocratie de façon aussi énergique et immuable que son inoubliable père ».

Ainsi, Nicolas II, que l'on a accusé d'irrésolution ou de faiblesse, défendra avec obstination ses prérogatives de tsar autocrate. Très attaché à son épouse, Alexandra Fiodorovna, avec qui il aura quatre filles et un fils, le tsarévitch Alexis (né en 1904), il vit le plus souvent à Tsarskoïe Selo, se soustrayant le plus possible à la vie publique. Un pays en crise Or, Nicolas II est confronté aux problèmes complexes d'un pays en pleine expansion démographique et engagé dans un processus d'industrialisation rapide.

Un autocrate La chute du tsarisme et la fin des Romanov. Histoire de l'Italie fasciste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Par extension, on associe à cette définition toute la période de l'histoire de l'Italie qui va de la fin de la Première Guerre mondiale jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale (1918 - 1945) ou la période allant de 1925, lorsque le Parti national fasciste est déclaré parti unique, à 1945, avec la dissolution de la République sociale italienne (RSI). Chronologie (1918-1922)[modifier | modifier le code] Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Dans une telle situation, aucune classe sociale n'est satisfaite et une profonde peur d'une possible révolution communiste s'insinue dans la classe bourgeoise.

Crise de Fiume (1919)[modifier | modifier le code] Gabriele D'Annunzio Lors des négociations du Traité de Versailles, les irrédentistes nationalistes font de l'agitation pour mettre la pression sur le gouvernement. Naissance du fascisme (1919-1920)[modifier | modifier le code] Années du squadrismo[modifier | modifier le code] L'installation du régime fasciste. En juin 1924, le député socialiste Matteotti, principal adversaire de Mussolini qui avait dénoncé vigoureusement les irrégularités durant les élections est enlevé. La découverte de son cadavre deux mois plus tard, provoque une véritable crise dans le pays : certains fascistes quittent le parti, les députés non-fascistes boycottent les séances de la Chambre. Le 3 janvier 1925, Mussolini assume la responsabilité du meurtre devant les députés et annonce la dictature.

L’opposition est dès lors violemment combattue. Entre 1925 et 1928, les lois fascistes sont imposées : syndicats et partis politiques interdits, droit de grève supprimé, élections locales abolies… Le PNF devient parti unique. La population est embrigadée : des organismes spécifiques encadrent les jeunes dès leur plus jeune age, tandis que les adultes sont contenus dans des systèmes corporatistes*, tandis que la police politique et la création de tribunaux spéciaux musèlent toutes oppositions.

Fascisme italien fascismo de fascio faisceau. Régime établi en Italie de 1922 à 1945, instauré par Mussolini et fondé sur la dictature du parti unique, l'exaltation nationaliste et le corporatisme. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien. 1. Les origines du fascisme italien On ne saurait comprendre l'émergence du fascisme sans un rappel des déséquilibres et dysfonctionnements de l'Italie issue du Risorgimento. 1.1.

L'Unité inachevée de l'Italie L'État national italien s'est établi tardivement. Qui plus est, jusqu'à l'introduction du suffrage universel masculin en 1912, le système politique (régi par la Constitution de 1848 [lo Statuto]), est dominé par les élites traditionnelles grâce à l'instauration d'un régime censitaire. Le refus des catholiques de participer aux élections, l'absence de véritables partis politiques, le recours permanent à la combinazione pour dégager des majorités, les méfaits du clientélisme concourent à ruiner la légitimité de l'édifice politique. 1.2. 1.3. 2.

Portail:République de Weimar. Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. État européen de grande taille (468 787 km²), la République de Weimar était divisée en 16 Länder et 3 villes-État. Sa population est estimée à 62 millions de personnes en 1925. Lumière sur... [ modifier ] L'histoire du cinéma allemand de 1910 à 1930 est la chronologie qui couvre la période la plus prolifique du cinéma allemand. Lire la suite Histoire [ modifier ] Histoire de l'Allemagne • Chronologie de la République de Weimar Chronologie de la République de Weimar Élections Chanceliers Portails connexes [ modifier ] 1919–1933 : la République de Weimar > 1919-1933.

La continuité entre l’Empire et la République de Weimar, telle qu’elle émergea de la chute de la monarchie en novembre 1918 et des élections à l’Assemblée constituante en janvier 1919, était remarquable. D’une certaine manière, l’institution du monarque persistait sous une autre forme : le président du Reich élu par le peuple était doté de telles compétences que des contemporains parlaient déjà d’un « ersatz impérial » ou d’un « empereur de rechange ».

On n’assista pas non plus à une rupture morale avec l’Empire. Il n’y eut pas de réflexion sérieuse sur la responsabilité de la guerre bien que les documents allemands aient été explicites : le gouvernement impérial avait intentionnellement aggravé la crise internationale surgie après l’assassinat de l’héritier du trône d’Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914, portant ainsi une responsabilité majeure dans le déclenchement de la Première Guerre mondiale. Weimar : la République impuissante. Depuis l’entrée en guerre des Américains en 1917, la victoire ne fait plus de doute pour les Alliés. Au commandement allemand, Ludendorff lui-même envisage la défaite. À qui donc confier les honteuses négociations de paix ? Max de Bade est un prince libéral, il s’est opposé en 1917 à la guerre sous-marine à outrance. Le président américain Woodrow Wilson est disposé à l’écouter, même s’il fait de l’abdication du Kaiser Guillaume un préalable à tout accord.

Le 28 octobre 1918, la monarchie allemande devient parlementaire. Nommé chancelier du Reich, Max de Bade compose un gouvernement de coalition comprenant pour la première fois des sociaux-démocrates. Parmi eux se trouve Friedrich Ebert, aubergiste et militant de son état. Celui-ci refuse mais commet l’erreur d’abandonner le terrain en se réfugiant dans son quartier général de Spa. En 1922, celui-ci signe avec l’URSS de Lénine le traité de Rapallo annonçant la reprise des relations entre les deux États, au grand dam de la droite. La police allemande : de la République de Weimar à la dictature nazie. Dans toutes les sociétés, le maintien de l’ordre public et l’application de la loi comptent parmi les tâches les plus importantes de la police.

Or, leur mise en œuvre peut s’avérer particulièrement problématique si l’organisation politique de la société change. Les Nazis accédèrent au pouvoir en Allemagne, le 30 janvier 1933 et établirent une dictature mettant fin à l’expérience démocratique allemande, celle de la République de Weimer, qui n'avait duré que 12 ans. La police, qui avait été chargée de défendre la République de Weimar, s'adapta relativement facilement au régime nazi.

Il n’y eut jamais de purge ou de démission massive de la police. En 1933, la majorité des policiers, bien que conservateurs pour la plupart, n’étaient pas nazis. La plus grande faiblesse de la République de Weimar tenait à ses origines. Les crimes de droit commun se multipliaient et les crimes politiques atteignirent des sommets encore inégalés en cette période de constante instabilité politique. Allemagne, Constitution de Weimar, 1919. Constitution de Weimar (11 août 1919). Titre premier. Construction et fonctions du Reich. Chapitre premier. Du Reich et des Laender. Titre II. Chapitre premier. Dispositions transitoires et finales. Automne 1918 : le Reich des Hohenzollern s'effondre. Le peuple allemand, uni dans ses diverses souches et animé de la volonté de rénover et de consolider son Reich en liberté et dans la justice, de servir la paix intérieure et extérieure et de promouvoir le progrès social, s'est donné la Constitution suivante.

Chapitre II. Article 20. Chapitre III. Article 41. Chapitre IV. Article 60. Chapitre V. Chapitre VI. Chapitre VII. Titre II. Chapitre II. Chapitre III. Chapitre IV. Chapitre V. Dispositions transitoires et finales. Article 166. Allemand: Architecture et Politique / la République de Weimar 1919-1933. Le caractère utopique de la culture architecturale d'Europe centrale, et notamment durant la République de Weimar [1919-1933] réside dans le rapport de confiance établi entre : les intellectuels de gauche, les secteurs du «capitalisme avancé» [notamment l'industriel Rathenau], les administrations démocratiques,les syndicats et coopératives ouvrières Le mouvement moderne s'est toujours fixé comme objectif principal la réforme radicale de l'organisation de l'industrie du bâtiment et de la gestion des villes.

Ainsi, dans les grandes villes sociales-démocrates, les Siedlungen -quartiers d'habitat social – seront les oasis d'ordre, la preuve que les organisations de la classe ouvrière peuvent proposer un modèle de développement urbain alternatif, soit une utopie réalisée. Il est utile de rappeler au lecteur, les conditions de la naissance du mouvement moderne en architecture. Linkscommunismus : avant la République de Weimar La République de Weimar Les architectes W.

Climat intellectuel Francfort. Hyperinflation de la République de Weimar. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hyperinflation de la République de Weimar: variation de la valeur d'un mark-or de un à mille milliards de mark-papier; sur une échelle logarithmique. L'hyperinflation de la République de Weimar dans les années 1923 et 1924 est une des conséquences de la défaite de l'Allemagne en 1918. D'un côté, les exigences de réparations des dommages de guerre ont fait peser un poids très lourd sur l'économie allemande, au point que certains commentateurs ont parlé de « dépeçage de l'économie allemande par les Alliés » [1]. D'autre part les gouvernements et les forces économiques allemandes ont développé des méthodes de financement et des spéculations qui ont aggravé la situation. En 1924, l'argent perdait son pouvoir d'achat d'heure en heure. . « L’Allemagne paiera… »[modifier | modifier le code] Livraisons allemandes à la France (1920).

L’inflation allemande, un phénomène de longue date[modifier | modifier le code] Le Ruhrkampf[modifier | modifier le code] Crises30.pdf. L'arrivée au pouvoir des Nazis. Avant le début de la grande crise en Allemagne en 1929-1930, le Parti national socialiste des travailleurs allemands (en abrégé, le parti nazi) n'était qu'une petite formation située à l’extrême-droite de l’éventail politique allemand.

Aux élections du Reichstag (Parlement) du 2 mai 1928, les Nazis ne remportèrent que 2,6% des voix, soit un déclin relatif par rapport au score de 1924 (3% des votes). Ces élections portèrent au pouvoir une "grande coalition" qui réunit le partis social-démocrate, le Zentrum (centre catholique), le parti démocratique allemand et le parti du peuple allemand. Cette coalition dirigea l’Allemagne de Weimar durant les six premiers mois de la grande dépression. De 1930 à 1933, l’atmosphère en Allemagne ne prêtait guère à l’optimisme.

La crise économique mondiale frappa particulièrement durement le pays et il y eut jusqu'à 30% de chômeurs. Orateur puissant et envoûtant, Hitler, exploita la colère et l’impuissance ressenties par un grand nombre d’électeurs. Seconde Guerre mondiale. Putsch de Munich. Nazisme en Allemagne. Hitler.