background preloader

Addiction aux jeux videos

Facebook Twitter

Graphique

Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo” On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog.

Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo”

Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. InternetActu | • Mis à jour le | Propos recueillis par propos recuillis par Hubert Guillaud On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog. Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. InternetActu.net : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéos !” Ces descriptions étaient loin des pratiques que j’observais ou de mes propres pratiques. Yann Leroux : Oui, le “phénomène” ne repose sur aucun chiffre objectif. Le jeu vidéo, médiation culturelle de la société individualiste.

Le jeu vidéo fait l’objet d’un intérêt croissant de la part des institutions culturelles (musées, théâtres, cinémas…) pour accueillir de nouveaux publics et renforcer leur adhésion aux œuvres proposées.

Le jeu vidéo, médiation culturelle de la société individualiste

Tr2008 acblanchon schemla. These le jeu video comme maniere d etre au monde. Quand l’addiction aux jeux vidéo prend des proportions inquiétantes … Bonjour à tous, et bonjour particulier à tous les « gameurs ».

Quand l’addiction aux jeux vidéo prend des proportions inquiétantes …

Je vous propose dans une série d’articles d’aller en profondeur comprendre cette problématique qui, malheureusement, est de plus en plus récurrente: la dépendance aux jeux vidéos. Cela fait pratiquement une année que je projette d’écrire sur cette question. J’ai laissé le temps à ma réflexion de mûrir, pris le temps d’observer, de me renseigner, d’essayer de comprendre… Il est grand temps de sensibiliser, de rompre le silence, de mettre le doigt dans la plaie sociale que constitue la dépendance aux jeux vidéos. L'addiction aux jeux vidéo reste complexe et marginale. AUDIO - Les spécialistes préfèrent parler de «jeu excessif» ou d' «usage abusif» plutôt que de dépendance.

L'addiction aux jeux vidéo reste complexe et marginale

Seuls les jeux en ligne recréant de véritables univers parallèles peuvent mener à des comportements pathologiques, en particulier chez les jeunes. Peut-on devenir accro aux jeux vidéo? Le comportement de personnes qui passent parfois plus de dix heures par jour devant leur écran à triturer manette ou clavier pourrait le laisser croire. Toutefois, à l'occasion d'un séminaire sur l'addiction et la régulation dans le monde des jeux vidéos organisé par le Centre d'analyse stratégique mardi, médecins et chercheurs spécialisés du domaine ont été unanimes: les cas de jeu excessif sont rares et ne relèvent pas, quelle que soit sa définition, de l'addiction. Ni l'American psychatric association, ni l'OMS ne font d'ailleurs référence pour le moment à une quelconque «dépendance au virtuel», contrairement à ce que l'on pourrait penser en parcourant les médias. Dossier - L'addiction aux jeux vidéo sur JeuxVideo.com.

En quelques décennies seulement, les jeux vidéo sont devenus le loisir privilégié de toutes les sociétés modernes. Que l'on soit jeune ou vieux, homme ou femme, riche ou pauvre, on passe tous aujourd'hui une partie de notre temps libre à jouer devant un écran. On peut désormais révéler sans honte son intérêt pour ce loisir et en discuter aussi bien dans une cour de récréation avec ses camarades qu'au bureau avec ses collègues. De nombreux passionnés très bien dans leur peau y consacrent des dizaines d'heures par semaine et certains d'entre eux en ont même fait leur métier. Bien sûr, certains préjugés sont encore tenaces : les jeux vidéo rendraient violent, insociable, ils nuiraient au développement des adolescents, etc.

Mais globalement, il est à présent admis que les jeux vidéo constituent une activité récréative banale ne présentant pas plus de danger que la télévision ou les bandes dessinées. Une premiere difficulte de l’addiction aux jeux video. Onzième édition du CNIPsy à Lille, 13 octobre 2011, Congrès national des internes en psychiatrie. Invitée comme représentante de la revue L’Information psychiatrique, j’ai beaucoup apprécié la vision de cette psychiatrie du futur en train de se construire, élaborée et manifeste au cours d’un tel congrès.

Onzième édition du CNIPsy à Lille, 13 octobre 2011, Congrès national des internes en psychiatrie

Pour être intervenue au CNIPsy de Lyon en 2008, je connaissais déjà l’existence de ce rassemblement très particulier des internes psychiatriques de tout notre pays ; je dois dire mon admiration non seulement pour la poursuite depuis 11 ans de cette organisation – malgré la précarité de la condition d’interne, la multiplicité des sollicitations et obligations et surtout la mouvance des générations –, mais aussi pour la participation studieuse remarquable de quelque 400 internes rassemblés ici pendant deux jours autour de la problématique de l’enfermement psychiatrique, vite reformulée par les participants comme celle de la liberté et des liens entre psychiatrie et société.

Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages. Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines.

Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages

Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes.