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Culture et intelligence

Regards croisés sur la veille. La génération Y existe-t-elle vraiment ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Ils sont l'objet d'études, de colloques, des livres entiers leur sont consacrés. La blogosphère déborde de commentaires sur eux, ils font la "une" des magazines, sont invités à la télévision. La génération Y, c'est ce label donné aux 20-30 ans grandis avec les nouvelles technologies. Y parce qu'elle succède à la génération X des enfants de baby-boomers, Y en référence aux fils des écouteurs sur le torse, Y à prononcer à l'anglaise ("ouaille"), parce qu'elle serait la génération qui s'interroge tout le temps.

Ils sont environ 13 millions, soit plus de 20 % de la population, nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990. Et sont désormais présentés comme un vrai phénomène de société. Génération Y, concept marketing ou réalité sociologique ? Certes, ils sont ultra-connectés, manient les outils technologiques et surfent sur les réseaux sociaux avec une aisance déconcertante.

Mais cette précarité aurait aussi du bon. Comment j'ai pourri le web. Petite expérience amusante sur l'usage du numérique en lettres Pendant ma première année au lycée, j’ai donné à mes élèves de Première une dissertation à faire à la maison. Avec les vacances scolaires les élèves avaient presque un mois pour la rédiger : c’était leur première dissertation de l’année.

Plus tard, en corrigeant chez moi, je me suis aperçu que des expressions syntaxiquement obscures étaient répétées à l’identique dans plusieurs copies. En les recherchant sur Google, j’ai trouvé des corrigés sur un sujet de dissertation voisin vendus à 1,95€. Plus tard, la même année, j’ai donné sur table à une de mes classes un commentaire composé, sur un passage d’une œuvre classique. J’ai donc décidé de mener une petite expérience pédagogique l’année suivante : j'ai pourri le web ! Tendre sa toile... Vers la fin de l’été de cette même année, j’ai exhumé de ma bibliothèque un poème baroque du XVIIème siècle, introuvable ou presque sur le web. 1ère étape 2ème étape 3ème étape 4ème étape 5ème étape.

Recherche personnalisée : une «mauvaise chose»? Les internautes sont méfiants. Les moteurs de recherche peuvent expliquer, en long en large et en travers, qu’une requête personnalisée donne des résultats plus précis, 2/3 des utilisateurs ne veulent rien savoir. Selon une étude de Pew Interest, 65% des internautes considèrent les recherches personnalisées comme étant mauvaises. Concernant la collecte des données, 73% y voient une violation de la vie privée. Plutôt qu’un questionnaire à base de Oui & Non, les sondés ont pu s’exprimer plus globalement. Certes les avis sont partagés. En personnalisant les résultats, les internautes répondent qu’un moteur de recherche peut ainsi limiter l’information obtenue. Comme toujours, la question des données privées fait mouche. Sans soutenir un point de vue en particulier, on remarque ici 2 choses.

Finalement, le respect des données privées est toujours un sujet sensible. La recherche passe à l’ère sémantique (et sociale) (et pas visuelle) La semaine dernière, la frénésie autour de l’IPO de Facebook était a son apogée et qui a fait passé presque inaperçu un changement majeur pour le web : l’évolution du fonctionnement de la recherche de Google (Introducing the Knowledge Graph: things, not strings). Google à l’assaut du web sémantique avec son Knowledge Graph La raison majeure de cette évolution est la prise en compte de données sémantiques dans les résultats de recherche.

Le principe est le suivant : plutôt que se fier à des chaînes de caractères, Google va maintenant travailler à partir de données structurées (“Things, not strings“). Ces données structurées sont la résultante des travaux de sémantisation des contenus initiés par les équipes de Google il y a de nombreuses années qui avaient déjà permis de faire des premières expérimentations (notamment la roue magique qui depuis a été mise hors ligne : Google Knowledge Graph, un pas vers la recherche sémantique).

Présenté de cette façon, ça à l’air très bien. Yahoo! Comment peut-on prédire le comportement des internautes. 68inShare Oui vous avez bien lu, je parle bien de prédiction. Non, je ne suis pas Mme Soleil, encore moins magicien ou mentaliste et je n’ai pas de delorean volante pour voyager dans le temps. Je souhaite simplement m’intéresser de plus près au lien entre un état psychologique et un comportement visible. Beaucoup d’entreprises souhaitent connaitre les techniques secrètes des « Experts » en médias sociaux pour savoir comment ces plateformes peuvent booster la vente de leurs produits.

Inutile de se mentir, derrière chaque action web se cache l’objectif de la vente, la rentabilité et du profit. Comme souvent, on s’attarde sur ce qui brille et pas sur ce qui fait que ça brille. Si pour certains, se plonger dans les parties les moins reluisantes du web 2.0 est une perte de temps, je pense que vous pouvez en soutirer des informations pour mieux comprendre comment, où et quand agir. En route… Des mots usuels pour des concepts complexes Un lien si proche…et si loin… Des facteurs incontrôlables.

Droit

Sites intéressants. Vie privée. High-Tech : Paris, capitale connectée. Des milliers de start-up s'épanouissent dans la capitale où Google inaugure mardi un vaste complexe, tandis que s'ouvre mercredi la rencontre mondiale le Web11. «Il règne à Paris la même ambiance qu'à la Silicon Valley des débuts : c'est l'effervescence», se réjouit Brad Feld, l'un des investisseurs majeurs du numérique aux États-Unis. Mardi, Google inaugure son Googleplex, en présence de Nicolas Sarkozy. Installé rue de Londres dans le IXe, cet immense complexe de 10.000 m², unique en Europe, abrite un centre culturel, un laboratoire de recherche et développement et l'ensemble des services commerciaux. Tout le monde digital sera là. Ostensiblement branchée cette semaine, Paris l'est en réalité toute l'année. Derrière les pionniers, Dailymotion, Free, vente-privee.com, leboncoin.fr… la jeune génération a pris la relève.

Une aventure collective La Cantine, dans le Sentier.Crédits photo : JEAN BAPTISTE FAUQUET/LE FIGARO «L'esprit entrepreneur» Etat des lieux d'Internet en France : 23% des sites sont illégaux. La société de bases de données d’emails Email-Brokers vient de publier un état des lieux, qui se veut exhaustif, des sites Internet français. Une étude de longue haleine, fondée sur une analyse qui a duré deux ans. Pas moins de deux trilliards de Go de données brutes ont été collectées… La France compte ainsi 2,6 millions de sites Internet, dont une large majorité de sites à finalité professionnelle (2,2 millions tout de même).

Une très grande partie de l’Internet français (71%) est constitué de sites vitrines, c’est-à-dire destinés principalement à présenter l’activité d’une entreprise, et plutôt « statiques », sans fonctionnalité avancée. Par opposition, les sites dynamiques représentent logiquement 29% du nombre total de sites. Le nombre important de sites vitrines n’est pas un sujet d’étonnement particulier. Plus grave, ce manque d’intérêt mène à un abandon pur et simple des sites Internet créés. LOL! Le web vous fait-il rire. Le rire est-il le propre du web ? En tout cas, depuis la naissance de la Toile, sites de blagues, images et vidéos détournées, petites phrases citées et reprises en mèmes dans la spirale de l’internet viral se sont multipliées, faisant du numérique, peut-être devant la télévision ou la presse papier, le principal support de l’humour contemporain.

Le Scandale des Chansons pour Enfants par Vinvin LOL ou pas LOL ? Les formes d’humour sont multiples sur le web. Pour Vincent Glad, la forme la plus populaire reste ce qu’on appelle la « culture LOL » (pour Laughing Out Loud, c’est-à-dire « mort de rire »), dont les fameux « Lolcats » sont l’illustration la plus connue : des photos de chats accompagnées d’un commentaire humoristique écrit dans un anglais approximatif (il existe même une bible traduite en langage « lolcat »). Lorsqu’une image connait le succès, elle peut se retrouver déclinée en des milliers de versions. Mais la culture LOL n’est pas la seule forme d’humour sur le net.

Veille - Blogs

Les campagnes virales les plus remarquables de 2011. Le risque de l’idéologie du groupe. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Times transmis par une aimable correspondante. Il s’intitule : « La domination de la nouvelle idéologie du groupe », et on le doit à Susan Cain, auteure d’un ouvrage sur la question intitulé Quiet : The Power of Introverts in a World That Can’t Stop Talking (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler).

La solitude n’est plus à la mode, commence Susan Cain. Nos entreprises, nos écoles, notre culture sont esclaves d’une nouvelle idéologie qui postule que la créativité et l’efficacité naissent dans des lieux étrangement grégaires. La plupart d’entre nous travaillent en équipes, dans des open spaces, pour des chefs qui valorisent au-dessus de tout l’intelligence collective. Mais il y a un problème dans cette manière de voir, considère Susan Cain. Culturellement, explique Susan Cain, nous sommes à ce point fasciné par le charisme que nous ignorons la partie silencieuse du processus créatif. Une étude de KPMG Les réseaux sociaux, un outil de motivation et de productivité. Jeudi 19 janvier 2012 Près de 75% des employés interrogés s’attendent à pouvoir accéder aux réseaux sociaux lorsque leur entreprise les utilise à des fins marketing.

En conséquence, bloquer l’accès à ces applications risque de créer une frustration au sein des employés. Un tiers des collaborateurs passe outre cette interdiction et contourne les protocoles de sécurité de leur propre ordinateur pour satisfaire leur besoin de communication, introduisant un risque accru pour la sécurité informatique. Les entreprises qui restreignent les connexions aux réseaux sociaux s’engagent dans une bataille perdue d’avance. C’est ce que révèle notamment une enquête du cabinet KPMG intitulée Going Social : How businesses are making the most of social media.

Avec une formation adaptée, les employés peuvent devenir des porte-parole efficaces pour l’entreprise et contribuer à son développement commercial ainsi qu’à la valorisation de l’image de marque. Pour télécharger l’enquête de KPMG. Draw a Stickman.