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Economie

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La TVA sociale en 8 questions - Présidentielle 2012. 1.

La TVA sociale en 8 questions - Présidentielle 2012

Qu'est-ce que la TVA sociale ? Cet impôt n'a de social que le nom. Son principe est simple : il consiste à baisser les cotisations sociales, payées par les entreprises et les salariés pour financer la Sécurité sociale. Et à augmenter la TVA, la taxe sur la valeur ajoutée, dont s'acquittent les consommateurs lors d'un achat. 2. L'objectif du gouvernement : alléger le coût du travail pour les entreprises produisant en France, tout en maintenant le même niveau de financement pour la Sécurité sociale. Les entreprises sont censées répercuter cet allégement en baissant leurs prix.

Conséquence : les prix ne devraient augmenter que pour les produits importés, les fabricants étrangers ne bénéficiant pas de cet allègement de charges. 3. Aux entreprises. "Les baisses de TVA à 5,5% dans les travaux immobiliers en 1999 et dans la restauration en 2009 n'ont été répercutées qu'à 57% et 60%", affirme Christiane Marty, de la fondation Copernic, dans une tribune à "Libération". 4. Pas évident. TVA sociale. "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de TVA sociale La TVA sociale est une mesure fiscale qui consiste à augmenter le taux de TVA pour financer les dépenses sociales (famille, maladie, retraite...) en allégeant en parallèle le coût du travail par la baisse des charges sociales supportées par les entreprises.

TVA sociale

C'est une évolution de fond qui transfère le financement des dépenses sociales des actifs vers les consommateurs qui bénéficient des dépenses sociales qu'ils soient actifs ou inactifs. Contrairement à ce que son nom indique, la TVA sociale n'a pas une vocation sociale au sens de l'amélioration des conditions de travail, des conditions de vie des salariés ou des classes les plus pauvres de la société. Sa finalité est de rendre les entreprises plus compétitives. Arguments des partisans de la TVA sociale : >>> Article : La fiscalité, levier pour la justice sociale. Accueil Dictionnaire Haut de page Contact Copyright © Le Figaro Bourse. Comme prévu, l’année a mal commencé pour le marché automobile français.

Les ventes de voitures particulières neuves ont plongé de 20,7% en janvier, à 147.143 exemplaires, tombant à leur plus bas niveau depuis 14 ans. Certes, ces chiffres « se comparent au mois de janvier 2011, qui avait été le plus élevé depuis près de 10 ans », grâce aux commandes prises avant la fin de la prime à la casse, souligne François Roudier , le porte-parole du Comité des constructeurs français d’automobiles ( CCFA ).

Mais cette mauvaise performance s’explique aussi par la « faiblesse du niveau des commandes en décembre, qui s’est traduite dans les immatriculations le mois suivant », poursuit-il. Contrecoup pour les tricolores En janvier, les constructeurs français ont particulièrement souffert. De manière générale, les grands bénéficiaires de la prime à la casse -qui avait stimulé la demande de petites voitures- sont ceux qui subissent aujourd’hui le plus fort contrecoup. » PSA compte sur la 208 pour se relancer. Amazon : +35% de chiffre d'affaires, mais bénéfices en baisse.

Le Figaro Bourse. Au mois de janvier 2012 et sur un, le marché automobile français des voitures particulières (VP) s'est contracté en termes bruts de 20,7% à 147.143 immatriculations, indique ce matin le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). En données corrigées du nombre de jours ouvrables, janvier 2012 en comptant un de plus que janvier 2011, la chute atteint même 24,3%. Par constructeurs, et toujours en se limitant aux VP, les ventes du groupe Renault (hors Nissan) chutent de 32,7% à 32.887 unités, soit une part de marché en baisse de 22,35% sur la période contre 26,33% un an plus tôt.

La marque Dacia (-10,5%) recule nettement moins que Renault (- 36,9%). Chez Peugeot SA, une baisse de 27,4% à 45.554 unités ramène la part du marché hexagonal des marques Peugeot et Citroën de 33,84% à 30,96%.