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Eloge de la Paresse

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Eloge de l'oisiveté: le travail, une vertu? Dominique Rongvaux dans Eloge de l'oisiveté - Espace Culturel André Malraux. Eloge de l'oisiveté - Bertrand Russell - 1932 - - Accueil. Éloge de l'oisiveté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Éloge de l'oisiveté

Éloge de l'oisiveté (titre original : In Praise of Idleness) est un essai de Bertrand Russell, publié pour la première fois en 1932[1] dans Review of Reviews. Sa longueur est à la mesure du sujet traité ; en effet le texte ne compte que 5 026 mots dans sa version originale. Thèse de l'auteur[modifier | modifier le code] L'idée principale est que l'homme observe un culte non raisonnable du travail qui l'amène à travailler toujours plus, ce à quoi il faudrait mettre un terme.

Russell défend cette thèse par deux arguments principaux : Le premier est que la valeur du travail est un préjugé moral des classes privilégiées qui estiment que l'absence d'activité conduirait la plupart des hommes, surtout ceux des classes les plus pauvres, au désœuvrement et à la dépravation. Notons que Russell reprend l'exemple de la fabrique d'épingles d'Adam Smith avec un brin de moquerie.

Source[modifier | modifier le code] Éloge de l'oisiveté. Eloge de la paresse. Eloge de la paresse. Eloge de la paresse. Paresse.

Eloge de la paresse

Procrastination. Oisiveté. Acédie. La paresse (du latin pigritia) est une propension à ne rien faire, une répugnance au travail ou à l’effort. Considérée comme un péché dans la religion catholique, elle est élevée au rang de valeur par certains courants contestataires. On considère souvent mal la paresse. Paresser, ce n’est pas ne rien faire. Paresser, c’est se laisser aller à la contemplation, à la rêverie. Paresser, c’est résister. Paresser c’est se laisser aller à la vraie vie. (Avec ce texte je commence une série sur les péchés capitaux, qui durera a priori, et de manière fort logique, sept semaines…) Je partage donc je suis : J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème Éloge de la luxure La luxure désigne un penchant immodéré pour la pratique des plaisirs sexuels. Dans "Elle écrit" Instantané #21 (vivent les jours fériés) Hier, nous étions le onzième jour du onzième mois, et c'était un jour férié.

Dans "instantanés" Dans "Humeurs" Eloge de la paresse affinée. Dans l’opinion qui s’est forgée à son propos, la paresse a beaucoup gagné au discrédit croissant dont s’est grevé le travail.

Eloge de la paresse affinée

Longtemps érigé en vertu par la bourgeoisie, qui en tirait profit, et par les bureaucraties syndicales, auxquelles il assurait leur plus-value de pouvoir, l’abrutissement du labeur quotidien a fini par se faire reconnaître pour ce qu’il est : une alchimie involutive transformant en un savoir de plomb l’or de la richesse existentielle. Cependant, l’estime dont se prévaut la paresse n’en continue pas moins à souffrir de la relation de couple qui, dans la sotte assimilation des bêtes à ce que les humains ont de plus méprisable, persiste à accoler la cigale et la fourmi. Qu’on le veuille ou non, la paresse demeure prise au piège du travail qu’elle rejette en chantant. Quand il s’agit de ne rien faire, la première idée n’est-elle pas que la chose va de soi ? Le travail a dénaturé la paresse.

Dira-t-on du despote qu’il s’arroge au moins le plaisir d’être obéi ? E. Marsan : Éloge de la paresse (1926) IMAGINEZ un château.

E. Marsan : Éloge de la paresse (1926)

Un château vous plaira. Et non pas une vaste fabrique rétablie à grand frais, comme un musée, mais une demeure. La grosse tour de l’ouest est du XIIIe. La légende veut, comme toujours, que ses fondations remontent jusqu’aux Romains. La tour du levant est du XVe, avec une porte si basse qu’il faut se baisser, curieux vestige d’un âge antérieur. Il est certain qu’une telle bigarrure serait laide dans un objet récent. Ce qui attriste certains châteaux est un air d’aridité. Nous étions une bonne demi-douzaine qui causions en buvant. Eloge de la paresse affinée. Eloge de la paresse. ATA THEATRE. ATA THEATRE.