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Airbus veut fabriquer des voitures volantes sans chauffeur dans 4 ans - Ubergizmo France. On nous avait promis des voitures volantes en l'an 2000 ! Mais où sont-elles ? Nous sommes en 2016, il faut bien l'admettre, nos voitures absorbent les chocs mais ne décollent pas. Heureusement, des sociétés comme Google ou Uber veulent rendre le transport aérien accessible à ceux qui habitent loin des villes. Aujourd'hui, un nouveau joueur vient d'entrer dans la partie et il s'agit d'Airbus. Vahana, le nom du projet développé par Airbus, est un véhicule autonome capable de décoller et d’atterrir à la verticale (VTOL).

Techniquement, leur projet ressemble plus à un hélicoptère qu’à une voiture volante. Vahana pourrait aussi servir de taxis. Zach Lovering, le directeur du projet Vahana, a donné quelques infos supplémentaire. Le Vahana sera équipé avec les accessoires habituels de voitures qui se pilotent toutes seules : lidar, radar et caméras… Tout ça, rien que pour l’auto-pilote. Airbus envisage un futur où les vols personnels seront très courants dans les grandes-villes d’ici 2030. La voiture volante, ce rêve de science-fiction développé par Airbus. Imaginez un monde, dans lequel vous ne passeriez plus la moindre minute coincé dans la pollution des embouteillages urbains. C’est le pari d’Airbus, qui entend révolutionner le transport de demain, grâce à ses deux derniers projets ambitieux, ‘Vahana’ et ‘CityAirbus’. Cela fait plus de trente ans que Ridley Scott les avaient imaginées dans son film « Blade Runner ». Souvenez-vous : les « Spinners », ces voitures volantes à décollage et à atterrissage vertical, dont l’une d’elle est pilotée par Harrison Ford circulant au-dessus des rues de Los Angeles en 2019.

La réalité n’a pas encore dépassé la fiction du cinéma. Mais dès 2017, Airbus prévoit de tester en conditions réelles son premier prototype de véhicule volant, le Vahana, destiné à un usage de transport individuel ou commercial. Une voiture du futur proche des drones actuels L’idée vous semble futuriste ? Après trois années de tests programmés d’ici-là, le véhicule sera publiquement présenté en 2020.

Airbus va encore plus loin. En ville, oubliez la voiture autonome, préférez-lui le scooter autonome ! Si les voitures autonomes ont certes le mérite de vous transporter sans que vous n'ayez à vous soucier de la conduite, elles restent encombrantes. Avec un scooter autonome, par contre, c'est différent. Dans les grandes villes congestionnées, celui-ci pourrait vous amener à destination plus rapidement qu'une voiture et même vous faire entrer dans un centre commercial...

Et c’est précisément la nouvelle piste qu’a décidé d’explorer Singapour. Très en avance sur les questions de transport, la cité-État a déjà testé bon nombre de moyens de transport autonomes. Aujourd’hui, un autre genre de véhicule s’apprête à faire son apparition dans les rues : non pas un scooter comme on le connait par chez nous mais plutôt un petit fauteuil roulant motorisé – comme ceux utilisés par les personnes à mobilité réduite -.

Ce véhicule a été conçu par l’Université Nationale de Singapour (NUS), il pèse 50 kg et évolue à 6 km/h. Voiture autonome : Actualités, informations, photos et vidéos. Google Car - La voiture autonome de chez Google. La Google Car est une voiture autonome (sans conducteur) en développement par Google. Cette appellation désigne plusieurs prototypes et voitures modifiées que Google a utilisés au cours des dernières années. C'est Sebastian Thrun, inventeur de Google Street View et des laboratoires Google X, qui lance le projet. Il quitte Google en 2013 et laisse le projet Google Car entre les mains de Chris Urmson, qui prend le leadership jusqu'en 2016 où il décide également de quitter l'entreprise. Depuis cette date, c'est John Krafcik, ancien président de Hyundai America, qui gère le projet.

Le projet Google Car se divise en deux types de véhicules autonomes : Des véhicules de série modifiés par GoogleDes véhicules électriques et autonomes entièrement conçus par Google Des voitures de séries modifiées À l'aube du projet Google Car, en 2009, Google commençait à tester son système de conduite autonome sur des Toyota Prius, sur les routes de Californie : La voiture sans chauffeur de Vedecom aperçue à Versailles. La semaine dernière, une voiture autonome et électrique circulait dans les rues de Versailles. Le prototype est conçu par VEDECOM à partir d'une Renault Zoé. À l'instar du C4 Picasso de PSA, la voiture sans chauffeur a bénéficié d'une dérogation pour pouvoir circuler. Le véhicule était également présent le mois dernier lors de l'ITS 2015 à Bordeaux, et avait pu circuler sur 7 km en autonomie autour du lac de Bordeaux. VEDECOM a été créé au début de l'année 2014 pour mutualiser les efforts de recherche des industriels dans le secteur des voitures électriques et autonomes.

L'institut compte parmi ses membres fondateurs le groupe PSA, Renault, Valeo, Safran ou encore l'Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, près de là ou le véhicule a pu circuler la semaine dernière. Également subventionné par l'État, VEDECOM dispose d'un budget de 300 millions d'euros sur 10 ans, et compte des salariés et chercheurs détachés de ces différents grands groupes. Autoactu.com - l'information automobile professionnelle. Equipementiers - 15/11/2016 Bonjour, je dois avouer être très surpris par la dernière phrase de cet article.

Quel est le lien entre cette acquisition d'Harman par Samsung, et le problème des batteries des smartphones Note 7....aucun. Ecrire que cette acquisition offre une opportunité de se positionner sur un marché porteur.....c'est tout à fait vrai.......après le fiasco du note 7....c'est inutile et sans rapport. Romain NOEL, Le mardi 15 novembre 2016 Je vois que les hommes (et femmes) du Marketing chers à Lucos font aussi très fort dans le verbiage : ".... en fournissant des solutions de bout en bout à travers l'écosystème connecté".

J'aimerais tant connaître la définition d'un écosystème connecté, surtout d'en rencontrer un, ça doit être tellement beau. Bruno HAAS, Le mardi 15 novembre 2016 Dicton du jour : Samsung rachète Harman, note à béné ;-) clerion, Le mardi 15 novembre 2016 Le doublement de l’autonomie de la Zoé explique la baisse des ventes de véhicules électriques en octobre. Voiture autonome : EasyMile s'installe au centre-ville de Toulouse. La startup EasyMile, créée en 2014 par Robosoft et Ligier et spécialisée dans la conception de véhicules autonomes, quitte la pépinière de Montaudran qui l'abritait depuis ses débuts. "Nous sommes à l'étroit ! Explique Xavier Salort, le responsable commercial. Nous occupons près de 300 m2 et sommes désormais une équipe de 60 personnes, c'est pourquoi nous avons décidé de déménager. " Des bureaux vitrines au centre-ville Pour installer ses équipes, EasyMile a opté pour l'ensemble de bureaux entièrement rénovés de 10 000 m2 situé rue des 36 Ponts, à la place de l'ancien lycée Montalembert.

EasyMile gardera par ailleurs ses bureaux délocalisés à Francazal afin de tester sa navette autonome EZ10. Lire aussi : Les véhicules autonomes d'EasyMile sillonnent Francazal. Développement international EasyMile, qui réfléchit actuellement au développement de plusieurs projets d'application dans l'agglomération toulousaine, connaît aussi un fort développement à l'international. Après la voiture, le scooter autonome pour aider les personnes à mobilité réduite - LCI. FUTUR – Les chercheurs du MIT sont parvenus à installer le kit de conduite autonome d’une voiture sur un scooter. Objectif : faciliter les déplacements des personnes handicapées entre le véhicule et leur maison. Avoir une voiture autonome quand on a des difficultés à se mouvoir peut être d’une grande aide.

Mais comment faire pour aller de sa voiture à la maison ou même de la voiture à sa destination finale ? Des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachussetts (MIT) et de l'université nationale de Singapour sont parvenus à adapter un kit de voiture autonome sur un scooter pour personne à mobilité réduite, une sorte de véhicule sans portes ni toit équipée d'un écran tactile à la place du guidon. Une idée étrange ? "Nous avons fait des tests dans l’Infinite Corridor du MIT qui est très difficile d’accès car c’est un long couloir sans recoin ni signe distinctif. Un siège intelligent pour la voiture autonome. L’automatisation de certaines phases de conduite va amener une refonte profonde de l’habitacle des véhicules. Il va être possible de voyager sans avoir à regarder la route et les voitures concepts dotées de deux paires de sièges installés face à face sont déjà connues.

Mais qu’arrivera-t-il au siège lui-même ? Depuis plusieurs années, Faurecia mène des travaux prospectifs dans ce domaine. Ainsi, l’équipementier vient de dévoiler la seconde génération de son siège concept Active Wellness. Ce siège 2.0 agit en se basant sur les données recueillies dans l’habitacle, mais également sur les éléments physiologiques enregistrés par le siège lui-même. Le siège Active Wellness, dans sa première génération, était le premier siège de l’industrie automobile à détecter à la fois l’état psychologique et physique d’un conducteur ou passager grâce à des capteurs mesurant le rythme cardiaque et respiratoire avant d’agir pour soulager le stress et prévenir la somnolence. Daily Geek Sho. Image issue d'un article pour la recherche "voiture sans conducteur" (source : Le Monde. Les voitures sans conducteur bientôt autorisées sur nos routes!

Aujourd’hui, il faut un volant et des pédales pour conduire une voiture. Demain, le wifi embarqué, les radars anticollisions et les communications entre véhicules feront l’essentiel. «Les voitures autonomes et connectées représentent l’avenir de la sécurité routière, estime l’IBSR (Institut belge pour la sécurité routière). Selon des études américaines, une diminution de 80% du nombre d’accidents est envisageable d’ici 2035 si les voitures autonomes connaissent un succès mondial. Mais une multitude de questions techniques et éthiques sur ces véhicules autonomes restent en suspens». Afin de donner un coup d’accélérateur à la recherche, le ministre de la Mobilité François bellot (MR) a décidé d’autoriser les tests sur nos routes. Les autoroutes semblent tout indiquées mais «il conviendra quand même de déterminer sur quelles routes et dans quelles conditions ces tests pourront être réalisés».

Le code de la route sera également adapté pour les tests de «platooning».