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Loi lutte contre pauvreté

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Les niveaux de vie décile par décile : des différences énormes. Ce déficit humain selon la MPC n’existe pas dans les comptes économiques classiques parce que c’est un manque, une non-quantité.

Les niveaux de vie décile par décile : des différences énormes

C’est de l’argent dont on aurait eu besoin, mais qu’on n’a pas eu. Le PQ à la défense du programme Accès-Logis. De gauche à droite, François Villemure, directeur général de l'Avenue hébergement communautaire, le chef péquiste Pierre Karl Péladeau, la députée péquiste Carole Poirier, et la coordonnatrice adjointe du RAPSIM, Marjolaine Despars.

Le PQ à la défense du programme Accès-Logis

Le Parti québécois accuse le gouvernement Couillard d'avoir torpillé la construction de logements sociaux en effectuant des compressions dans le programme Accès-Logis et en modifiant ses modalités d'application. Prenant le parti des groupes communautaires qui bénéficient de ses fonds, il lui demande de faire volte-face. Pour 2015-2016, le ministère des Affaires municipales ne finance que 1500 logements par sociaux, plutôt que 3000, comme lors des deux dernières années. Il a expliqué que 6000 unités annoncées n'avaient pas encore été construites, et qu'il valait donc mieux augmenter le financement destiné au Programme de suppléments au loyer. « Quand on construit ressources d'hébergement, on ne demande pas au jeune qui arrive de la rue d'amener ses meubles!

Le déficit humain imposé aux plus pauvres. Les Invisibles - Documentaire sur les logements sociaux. Pour en finir avec le mythe de la pauvreté du Québec. Les Bougon Eh, misère!

Pour en finir avec le mythe de la pauvreté du Québec

Encore un autre rapport pour nous dire que les Québécois sont pauvres. Cette fois-ci, c’est l’Institut de la statistique de Québec qui le dit, notant que le revenu disponible moyen est moins élevé au Québec que dans les autres provinces du Canada. À première vue, les données ne font aucun doute: le Québécois moyen a moins d’argent dans ses poches que l’Ontarien moyen, que l’Albertain moyen… bref, que tout le monde. Et c’est exactement ce que les médias ont dûment relayé. Mais attention: bien que les données ne mentent pas, elles ne disent pas toute la vérité non plus. C’est que la moyenne n’est pas toujours le meilleur outil pour évaluer les inégalités. Un projet de loi 70 hors la loi. Cette perspective historique a été plutôt absente jusqu’à maintenant dans la vague de réprobation soulevée à juste titre par le projet de loi.

Un projet de loi 70 hors la loi

Or elle peut équiper utilement le travail de plaidoyer pour contrer ces changements inacceptables. Voici une occasion où il est nécessaire de se rafraîchir la mémoire collective. ATD Quart Monde. Idée fausse no3 : "Lutter contre la pauvreté, ça coûterait trop cher" Les chiffres montrent au contraire que réduire les inégalités, c’est un investissement pour les générations présentes et futures.

ATD Quart Monde

45. Ce que le ministre ne dit pas. Ce que dit le ministre: 5 millions $ sont prévus pour ce programme.

Ce que le ministre ne dit pas

Ce que le ministre ne dit pas: 16 millions $ ont été coupés ces dernières années dans l'aide à l'emploi et dans les services d'Emploi-Québec. Faites-vous partie de la classe moyenne? Photo : AFP/Mario Tama/Getty Images/AFP Près de la moitié des ménages québécois font partie de la classe moyenne, selon une nouvelle étude de la Chaire de recherche en fiscalité et finances publiques de l'Université de Sherbrooke, étude présentée en exclusivité à Radio-Canada cette semaine.

Faites-vous partie de la classe moyenne?

Êtes-vous curieux de voir si vous en faites partie? À vos calculs! Voici comment vous y prendre si vous souhaitez calculer votre revenu après impôts et transferts gouvernementaux (ce qui inclut les allocations familiales, les crédits d'impôt et autres prestations) : Quelles sont les tranches de la classe moyenne? Au Québec, un couple avec deux enfants gagnant entre 47 150 $ et 94 304 $ après transferts et impôts fait partie de la classe moyenne. Québec renouvelle les protocoles d'entente avec les organismes communautaires et lance une consultation publique sur la pauvreté et l'exclusion sociale.

QUÉBEC, le 6 nov. 2015 /CNW Telbec/ - Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M.

Québec renouvelle les protocoles d'entente avec les organismes communautaires et lance une consultation publique sur la pauvreté et l'exclusion sociale

Sam Hamad, annonce le renouvellement des protocoles d'entente avec les organismes communautaires pour une durée de trois ans ainsi que le lancement d'une consultation publique en matière de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale. « Ce renouvellement pluriannuel de 63,9 M$ favorisera la stabilité financière de 383 organismes communautaires et, par le fait même, le maintien des emplois au sein de ces organismes. Idée fausse no3 : « Lutter contre la pauvreté, ça coûterait trop cher » Les chiffres montrent au contraire que réduire les inégalités, c’est un investissement pour les générations présentes et futures.

Idée fausse no3 : « Lutter contre la pauvreté, ça coûterait trop cher »

Une petite capsule vidéo simple et accessible à tous, qui tord le cou à une idée toute faite et qui donne d’autres perspectives pour agir réellement contre la pauvreté ! Voir nos autres vidéos contre les idées fausses… D’où viennent nos chiffres ? Les plus vulnérables sont des victimes directes des compressions. Il apparaît clair maintenant que des objectifs de réduction budgétaire ont pour cible des Québécois parmi les plus démunis.

Les plus vulnérables sont des victimes directes des compressions

On observe particulièrement que le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) rend de plus en plus difficile aux personnes ayant des contraintes de santé sévères l'accès à l'allocation de revenu qui leur est destinée. Le programme de solidarité sociale qui doit venir en aide aux personnes vivant avec des problèmes de santé mentale, d'incapacité physique ou de déficience intellectuelle subit une réduction malgré le nombre élevé de personnes qui y auraient droit. Entre 2012 et 2015, le nombre de personnes admises à l'allocation pour contraintes sévères à l'emploi a chuté de 131 156 à 127 924. Nous nous opposons à la prétention du MTESS voulant que la diminution du nombre de personnes qui ont recours à l'aide sociale est le résultat d'une amélioration du marché du travail. Ces compressions ont de graves impacts sur des personnes vulnérables.

Rapport de la Commission d'examen sur la fiscalité québécoise - Collectif pour un Québec sans pauvreté. Collectif pour un Québec sans pauvreté. Collectif pour un Québec sans pauvreté. Le Canada a ratifié en 1948 la Déclaration universelle des droits humains (DUDH). Cette déclaration représente un idéal vers lequel les sociétés signataires doivent tendre, afin que la reconnaissance et le respect des droits de la personne deviennent une réalité pour toutes et tous.

Le Québec étant lui-même lié par cette ratification, il se doit notamment de garantir à chaque personne le droit à la sécurité sociale, le droit à une rémunération équitable et le droit à un niveau de vie suffisant (articles 22, 23 et 25 de la DUDH). Or, la pauvreté est un déni des droits humains, qui affecte la liberté, la santé et la dignité de centaines de milliers de Québécoises et de Québécois. C’est pourquoi la lutte à la pauvreté doit être une priorité de l’action gouvernementale. Aperçu du budget 2015-16 : Les 10 principales façons dont le gouvernement Harper a favorisé l'inégalité (11, en fait) - Institut Broadbent. 1. Le fractionnement du revenu familial Le gouvernement fédéral entend dépenser environ 2 G$ par année pour le fractionnement du revenu familial, fractionnement qui profitera surtout aux familles traditionnelles à revenu élevé dont un conjoint reste à la maison, et ce, jusqu'à concurrence de 2 000 $ par année.

Ce fractionnement ne profitera aucunement aux familles monoparentales, ni aux familles à deux parents qui travaillent et dont le revenu se situe dans le même créneau d'impôt, y compris les créneaux d'impôt moyen et inférieur. Et si le Québec était un village de 100 personnes? Le luxe de la sécurité financière. Alain Bouchard, pdg du groupe Alimentation Couche-Tard, a affirmé en mai dernier à l’occasion d’une causerie organisée par le Cercle canadien de Montréal, un club sélect réunissant des membres de la communauté des affaires, que « l’acquisition de connaissances économiques stimulerait la création de richesse ».

Venant de quelqu’un dont l’entreprise au Québec paie les personnes qu’elle emploie à peine au-dessus du salaire minimum, cette déclaration a de quoi surprendre. M. Bouchard, lui, a touché un salaire avec compensations de 7,9 millions de dollars en 2014. Mais ce n’est pas tout. Cette année-là, il a aussi décroché la 28e position dans le classement 2015 des plus grandes fortunes canadiennes selon le Canadian Business, et ce, grâce à une richesse évaluée à 2,5 milliards de dollars. De la richesse, il s’en crée au Québec or, tout comme les revenus, elle est très mal répartie. Un virage vert pour la justice sociale. Un regroupement de personnalités publiques canadiennes de différents horizons lance ce mardi un vibrant plaidoyer en faveur d’une véritable transition énergétique axée sur une plus grande justice sociale, a appris Le Devoir. Un geste qui se veut une réponse à l’inaction climatique de la classe politique, favorable à l’expansion de l’industrie des énergies fossiles et prompte à imposer des mesures d’austérité particulièrement nuisibles. « Nous partons du constat que le Canada et le Québec traversent aujourd’hui la crise la plus grave de leur histoire récente, expose d’entrée de jeu le manifeste intitulé Un grand bond vers l’avant, qui sera lancé ce mardi à Toronto et que Le Devoir publie en exclusivité en page Idées.

La Commission de vérité et réconciliation a permis de prendre acte d’épisodes révoltants de notre passé proche. La pauvreté et les inégalités qui s’accentuent creusent une cicatrice qui défigure notre présent. Manque de vision Contre l’austérité. Se loger ou se nourrir. Quatre ménages montréalais sur dix engouffrent plus du tiers de leurs revenus pour payer leur loyer, un problème qui a obligé l’an dernier près de 50 000 ménages locataires à se priver de nourriture en quantité ou en qualité suffisantes. Ce portrait troublant de la situation du logement à Montréal découle du tout dernier rapport dressé par le Directeur de santé publique de Montréal (DSP), qui établit un lien clair entre les graves problèmes d’accès au logement à Montréal, l’insécurité alimentaire observée dans la métropole et l’état de santé de sa population.

Les conclusions de cette vaste enquête, dont Le Devoir a obtenu copie, seront dévoilées lundi lors d’un important forum qui réunira des élus de tous les paliers de gouvernement ainsi que les acteurs sociaux et communautaires préoccupés par les conditions d’abordabilité et d’accès au logement à Montréal. Se loger ou manger ? « L’an dernier, on estime que 50 000 ménages ont manqué de nourriture en raison du coût de leur loyer. Plus du tiers des ménages menacés par l’insalubrité. Marché locatif : de bonnes et de moins bonnes nouvelles. Mais ces données sur les taux de disponibilité et d’inoccupation des logements que publie la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), Mme Moreau les manipule avec prudence. Encore plus à ce moment-ci alors qu’à Montréal, Radio-Canada vient tout juste de sortir une étude sur 10 000 logements en location sur Kijiji dont les résultats créent une distorsion avec celles que publie la SCHL deux fois par année.

«Les méthodes d’enquête sont différentes, la SCHL travaillant avec un échantillon de propriétaires qui, sur une base volontaire, répondent aux questions», souligne-t-elle. À l’Association des locataires, Mme Moreau dit encore qu’on a aussi entrepris une recherche similaire à celle menée à Montréal pour dresser un portrait plus précis du marché locatif. Une politique menée par des idées fausses. Le programme d’aide sociale n’échappe pas aux mesures d’austérité du gouvernement. Encore une fois, des personnes qui vivent de multiples précarités vont voir leur situation s’aggraver. Mais la série de modifications proposées récemment est d’autant plus inacceptable qu’elle se fonde sur des idées fausses et qu’elle répand des préjugés, beaucoup plus qu’elle ne s’attaque aux « vraies affaires ».

Rapport du Conseil national du bien-être social - La pauvreté coûte cher. Flash-info-201402. Sociodemo-vol18-no1. Seuil de pauvreté au Québec et au Canada. L'outil de calcul de l'inflation utilise les données mensuelles de L’indice des prix à la consommation (IPC) depuis 1914 jusqu'à maintenant pour montrer les variations du coût d'un « panier » fixe de produits de consommation. Ces produits incluent les aliments, le logement, les meubles, l'habillement, les transports et les loisirs. Une augmentation de ce coût est désignée par le terme inflation. Comment-mesure-t-on-la-pauvrete-au-canada. Table des groupes de femmes de Montréal: Pour se rappeler d'elles - Les actes du forum public "Mieux voir pour mieux agir: Non à l'itinérance des femmes!"

Les 20 et 21 mars 2012, 200 personnes représentant 88 organismes se réunissaient dans le cadre d'un forum public organisé par la Table des groupes de femmes de Montréal et ses partenaires portant sur la réalité des femmes en situation d'itinérance. Le lancement des actes de cet événement marquant avait lieu le 30 avril 2013. Le contenu des actes nous rappelle qu'un an plus tard, les constats sont les mêmes : l'itinérance des femmes augmente, se complexifie et se diversifie. Elle prend désormais plusieurs visages. Différentes ressources mentionnent le rajeunissement tout comme le vieillissement des femmes qui sont dans la rue, dénombrent de plus en plus de mères avec enfants, observent l'augmentation des femmes immigrantes, autochtones, handicapées et des femmes ayant des problèmes de santé physique et/ou mentale, etc.

Différents visages qui marquent et construisent les spécificités du phénomène de l'itinérance au féminin. L'itinérance des femmes est politique. Nouvelles balises du financement fédéral en itinérance 2015-2019 - Un choix du gouvernement du Québec et non du milieu communautaire ! MONTRÉAL, le 19 mars 2015 /CNW Telbec/ - En décembre dernier, le Réseau SOLIDARITÉ Itinérance du Québec (RSIQ) découvrait avec consternation les nouvelles balises de la Stratégie des Partenariats de Lutte contre l'Itinérance (SPLI), balises négociées entre le gouvernement fédéral et le gouvernement du Québec et imposant aux communautés le modèle du Logement d'abord comme réponse principale à l'itinérance.

Depuis plus d'un an, le RSIQ et ses partenaires avaient pourtant mené campagne pour que la SPLI conserve son approche généraliste et communautaire, indispensable afin d'intervenir de façon globale en prévention et réduction de l'itinérance. La Mauricie, capitale québécoise de l'assistance sociale. Quand les néolibéraux luttent contre la pauvreté ? Pour télécharger le fichier pdf, cliquez ici. Cri d’alarme contre la «rigueur budgétaire» La « rigueur budgétaire » imposée par le gouvernement Couillard met en péril le filet de sécurité qui a fait du Québec la société la plus égalitaire en Amérique du Nord, préviennent huit fondations privées, dont la plus importante au Canada.

Dans une lettre transmise au Devoir, ces huit fondations mettent en garde le gouvernement contre les dangers d’un accroissement des inégalités sociales. ENTENTE-PAGSIS-2-SIGN%C3%89E. Rapport de recherche sur la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale : un exemple de co-construction démocratique de politique publique. Rapport de recherche sur la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale : un exemple de co-construction démocratique de politique publique.