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Hyperactivité Adulte TDAH TDA Déficit d'Attention Probleme concentration Procrastination Cyclothymie Impulsivité Ritaline Coaching. Mieux vivre avec le TDA/H à la maison (programme Multi-propulsions) PSYCHOSOMA – Guérir des maladies mentales en soignant l’intestin, ce « deuxième cerveau » Des enfants jouent dans une maquette géante d'intestin installée sur une place du centre-ville de Lyon, en 2010. (AFP PHOTO / JEAN-PHILIPPE KSIAZEK) Nul hôpital psychiatrique ni médicament ne parvenaient à guérir Mary de ses troubles obsessionnels compulsifs et de ses troubles du déficit de l'attention avec hyperactivité – qui se manifestaient par des pensées effrayantes et des comportements répétitifs. Jusqu'au jour où, raconte The Verge, un psychiatre de Boston aborda sa maladie sous un angle différent.

Il lui demanda comment allait son intestin, si elle avait des problèmes de digestion, de constipation, de reflux acide... La réponse était oui. Le médecin lui prescrivit des probiotiques, ces "bactéries bénéfiques qui habitent notre intestin". L'effet fut probant, tous les symptômes ayant disparu au bout d'un an. Lire La flore intestinale joue avec notre mental D'après l'article de The Verge, ce type d'approche, inhabituelle en psychiatrie, est de plus en plus explorée par la science.

Nutrition et cerveau. La vie s’exprime par son code génétique. Elle existe depuis les débuts de notre planète, et se développe grâce à l’environnement, notamment l’environnement nutritionnel : le génome a besoin de micronutriments, d’oligo-éléments, de masses d’ADN, de facteurs organiques ou de zinc pour se restaurer et se développer. Ce qui est vrai pour la vie unicellulaire l’est aussi pour les plantes, les animaux et pour l’homme. L’histoire de l’alimentation a été pendant 300 000 à 400 000 ans marquée par la bonne entente et d’harmonie : L’homme du paléolithique mange en fonction de la saison et de la nature, sans se poser de questions, conformément à ses besoins.

Nous sommes devenus paysans il y a 6000 ans : le néolithique s’est caractérisé par une variation de l’offre alimentaire avec l’introduction des céréales, des produits laitiers et de l’élevage. Une étude pionnière a montré que l’impact des différents modèles alimentaires sur la mortalité coronarienne. De la salle Olivier COUDRON. TDAH.pdf.