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John Fitzgerald Kennedy (1917-1963) De tous les présidents américains du 20e siècle, le 35e, John Fitzgerald Kennedy se démarque par le statut quasi mythique que lui conféra une mort tout aussi précoce que brutale. L'assassinat de Dallas, choquera profondément les Etats-Unis, conférant à sa principale victime le statut d'un symbole, celui d'une ère de prospérité et d'optimisme, manière d'âge d'or précédant les années noires de la guerre du Vietnam. Cependant, 50 ans après les faits, le portrait que l'on peut dresser de JFK est nuancé. L'homme, tout comme le président, ne départirent jamais d'une part d'ombre et le bilan de ses actions ne peut-être considéré comme triomphant. Au-delà du mythe, qui fut donc John Fitzgerald Kennedy ? Le produit d'une Dynastie Dès sa naissance, le 29 mai 1917, JFK semble destiné à devenir un homme d'influence, voire bien plus. JFK est formé avec soin, dans une atmosphère d'émulation permanente, tous comme ses huit autres frères et sœurs.

Un héros américain JFK au Congrès JFK et la guerre froide. Biographie John Fitzgerald Kennedy. L'Internaute > Dictionnaire > Noms Propres > Biographie > John Fitzgerald Kennedy > Biographie Trente-cinquième président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy est resté à la tête du pays à peine trois ans. Prônant une coexistence pacifique au cœur de la Guerre froide, il a su faire face à la crise avec agilité. À l’intérieur, il s’est efforcé de relancer l’économie, s’est battu contre la ségrégation raciale et a favorisé la conquête spatiale. Malgré sa courte présidence, il laisse derrière lui l’image d’un homme gai, compréhensif, énergique et charismatique, un personnage sans doute transfiguré par une mort tragique, mais qui a sans conteste donné un nouveau souffle à son pays.

Des débuts prometteurs Né à Brookline (Massachusetts) le 29 mai 1917, John Fitzgerald Kennedy grandit au sein d’une riche famille catholique. Au sortir des études, le jeune homme énergique désire s’enrôler pour servir son pays. Un jeune Kennedy ambitieux Très vite, Kennedy sait se faire un nom. L’assassinat. John Fitzgerald Kennedy (1917-1963) Les Etats-Unis de 1945 nos jours. Grands bénéficiaires de la seconde guerre mondiale, les Etats Unis adoptent une nouvelle politique extérieure qui consiste à ne pas retourner dans l'isolationnisme. Ils assurent leur rôle de grande puissance et de "gendarme du monde" Ils se sont liés à de nombreux traité et accords : OTAN (1949 ) Ils appartiennent à toute une série de Pactes ( Japon, Irak, Iran... ) Ils sont présents dans le monde entier grâce à des bases militaires ( Guam dans le Pacifique; Diego Garcia dans l'Océan Indien... et grâce au Dollar qui devient la monnaie de référence internationale.

De 1945 à aujourd'hui, la vie interne du pays ne présente pas d'événements spectaculaires. La vie politique des Etats Unis est dominée par la personnalité des Présidents et par une alternance des deux grands partis politiques à la tête du Pays. Les Républicains et les Démocrates. 1945 / 1952 : TRUMAN (Démocrate ) 1952 / 1960 : EISENHOWER (Républicain ) 1960 / 1963 : J.F. 1963 / 1968 : JOHNSON ( Démocrate ) 1992 / ? John Fitzgerald KENNEDY (1917-1963) Premières années John Fitzgerald Kennedy est né le 29 mai 1917 à Brookline, une banlieue de Boston dans le Massachusetts.

Ses parents, Joseph Patrick Kennedy et Rose Elizabeth Fitzgerald sont les descendants d'une famille catholique originaire d'Irlande. Son père était l'ambassadeur des États-Unis au Royaume-Uni avant la Seconde Guerre mondiale, et est considéré comme l'un des hommes les plus riches des États-Unis. Le jeune John Fitzgerald est le deuxième des neuf enfants du couple, il reçoit une éducation dans l'une des meilleures écoles privées à Wallingford, Connecticut. Pendant son adolescence, il a été élevé dans la culture de la famille Kennedy : entre rivalité et cohésion, la fratrie fut vouée à l'ambition, avec un esprit de compétition et de loyauté.

À 18 ans, il commence à étudier à London School of Economics, puis il intègre l'université de Princeton mais il doit interrompre ses études pour raison de santé. Ses relations avec la famille Kennedy n’ont pas toujours été faciles. John Fitzgerald Kennedy (1917 - 1963) - Un président de rêve. De tous les présidents américains, John Fitzgerald Kennedy, le 35e, demeure l'un des plus populaires, malgré la brièveté de son mandat, interrompu après mille jours par le drame de Dallas, le 22 novembre 1963.

Une famille encombrante Kennedy appartient à une riche famille de Boston, de souche irlandaise et catholique. Son père Joseph a fait fortune dans les alcools pendant la Prohibition, peut-être avec le concours de la Mafia. Il engage ses quatre garçons Joe (Joseph), Jack (John), Ted (Edward) et Bob (Robert) à conquérir les sommets. Après la mort de l'aîné au cours de la Seconde Guerre mondiale, il reporte ses espoirs sur John, en dépit de la mauvaise santé de celui-ci, victime d'une maladie dégénérative des os.

La conquête du pouvoir Après la Seconde Guerre mondiale, auréolé de ses faits d'armes, John se fait élire à la Chambre des représentants puis devient sénateur du Massachusetts. La campagne est des plus incertaines. La ségrégation raciale en ligne de mire Au bord du gouffre John F. John Fitzgerald Kennedy. Homme d'État américain (Brookline, près de Boston, Massachusetts, 1917-Dallas 1963). 1. Un jeune patricien de Nouvelle-Angleterre 1.1. Le clan Kennedy Pur produit de l'establishment catholique aux États-Unis, John Fitzgerald Kennedy va accomplir le parcours type d'un fils de famille. Sous l'influence de Joe, les enfants apprennent à rester unis, à former un clan qui se retrouve dans le malheur comme dans le bonheur. 1.2.

John suit des études dans les meilleurs établissements d'enseignement : Choate Academy à Wallingford (Connecticut), la London School of Economics, Princeton, enfin Harvard. 1.3. De retour aux États-Unis, John s'inscrit à Stanford, où il ne reste que quelques mois, et part pour l'Amérique du Sud. 2. 2.1. En 1945, la politique l'attire, à moins que son père l'ait convaincu qu'après la mort de l'aîné il se devait de briguer un mandat. Réélu en 1948 et en 1950, il fait partie des libéraux et s'oppose, par exemple, à la loi Taft-Hartley. 2.2.

Vers la présidence des États-Unis… WELFARE STATE, États-Unis. L'assistance sociale est aux États-Unis une notion relativement récente. Elle est née dans les années 1930, lorsque le président Roosevelt entreprit de pallier dans la mesure du possible les effets de la grande crise économique. Elle s'est considérablement étendue après l'élection de John F. Kennedy, qui a voulu réduire les poches de pauvreté que la puissante et riche Amérique des années 1950-1960 découvrit avec horreur sur son propre territoire.

Elle n'a jamais cessé d'avoir ses ennemis qui reprochent au gouvernement fédéral de se transformer en Welfare State, en État-providence, qui prive les citoyens de leur liberté d'initiative et qui incite les pauvres à la paresse en leur procurant des secours trop importants. Les crédits destinés au Welfare proviennent en partie de Washington (il existe un département chargé de l'aide sociale, de la santé publique et de l'éducation : Health, Education and Welfare), en partie des États et des collectivités locales. John Fitzgerald Kennedy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En raison de son énergie, de son charisme et de son style, mais aussi par son assassinat en 1963, John F.

Kennedy reste l'un des personnages les plus populaires du XXe siècle et, à l'instar d'Abraham Lincoln, un Président modèle pour les États-Unis. Comme pour le Président Lincoln, la disparition brutale de JFK participa, en grande partie, à cette image. Biographie[modifier | modifier le code] Le jeune Kennedy reçoit une éducation dans la Choate School (en), une des meilleures écoles privées à Wallingford, Connecticut où son frère aîné Joseph Patrick Kennedy Jr. l'a précédé. Quand son père s'installe à Londres, il visite l'Europe, en particulier l'Allemagne nazie, et profite d'un « nègre »[4] pour rédiger son mémoire de fin d'études sur Neville Chamberlain et la participation britannique aux accords de Munich. Service militaire et période après-guerre[modifier | modifier le code] Carrière politique[modifier | modifier le code]

Edito : La nouvelle frontière. Qu? Il y ait eu, partout, tant d? Émotion, se comprend. L? Événement fut exceptionnellement dramatique de bout en bout. Que représentait donc John Kennedy qui fût essentiel? A première vue, rien ne distingue vraiment ce Président de ses deux. Kennedy le savait, et le jour même de l? Comme Roosevelt, il y trente ans, avait intitulé son programme le "New Deal", on crut d? La nouvelle frontière est celle qui sépare, pour les pays industriels modernes (ceux des rives de l? La nation, c? La bombe atomique a pulvérisé ces notions-là. Il entreprit de montrer à ses compatriotes, et à nous tous, ce qu? Il ne l? D? Kennedy n? La Nouvelle Frontière, c? L? L? Aujourd? Or, par nature, elles sont anarchiques.

Kennedy fut, là encore, l? Kennedy, le premier chef politique de notre âge, est maintenant parti. Il nous laisse l? Au fond, il est naturel qu? Mais ceux qui l? L’élection, les projets de Kennedy (Kennedy, un héros pacifique ?) AP - Tpe2. Parti démocrate (États-Unis) Élection de John F. Kennedy à la présidence des États-Unis. S.A., «Un scrutin ambigu» «...Et pourtant un certain nombre d'États qui ont élu des sénateurs et des représentants démocrates ont accordé leur confiance à M.

Nixon. Celui-ci représentait à leurs yeux une promesse de continuité, et sans aucun doute un certain nombre d'électeurs ont-ils été effarouchés par la volonté de renouvellement bien souvent affirmée par M. Kennedy. La promesse d'immobilisme constitue après tout un bon argument électoral (...) Paradoxalement, les électeurs pouvaient légitimement attendre de l'un et de l'autre candidat un style nouveau dans la direction de l'État.

M. Le Monde (France), 10 novembre 1960, p. 1. Austin Ranney, «Les élections américaines de 1960» «...Le rôle que jouera dans l'avenir la question religieuse dans les compétitions pour la Présidence des États-Unis dépend largement du comportement du président Kennedy à ce poste. Revue française de science politique (France), décembre 1961, p. 859. Roger Champoux, «Un nouveau leadership à l'horizon» Un Kennedy à la Maison Blanche : John Fitzgerald Kennedy : un destin brisé le 22 novembre 1963.