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Guerre d'Espagne

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L'Espagne depuis 1898. La guerre perdue en 1898 par l'Espagne contre les États-Unis n'eut pas seulement pour résultat de lui faire perdre ses dernières colonies (à l'exception de ses possessions africaines) : elle eut encore une répercussion profonde sur la situation intérieure du pays.

L'Espagne depuis 1898.

Le ministère libéral de Sagasta, au pouvoir depuis octobre 1897, estimant sans doute qu'il avait subi une défaite morale, paraissait n'attendre qu'une occasion de se retirer; il tomba, le 1er mars 1899 , à la suite de l'attitude peu favorable du Sénat dans la question de la cession des Philippines aux États-Unis. Il fut remplacé par un ministère conservateur, présidé par Silvela.

Le ministère Sagasta avait, par un traité signé le 12 février 1899, vendu à l'Allemagne les îles Carolines, Mariannes et Palaos. qui, après la perte par l'Espagne du reste de son domaine colonial, ne lui étaient plus d'aucune utilité. Les libéraux revinrent au pouvoir et un ministère Sagasta fut constitué le 6 mars 1901. Au sujet du Maroc . . Histoire de l'Espagne. La guerre civile allait déboucher sur une dictature de près de quarante ans qui commença en octobre 1936 au moment même où Franco fut investi de tous les pouvoirs civiles et militaires dans la zone rebelle.

Histoire de l'Espagne

En effet, depuis octobre 1936 le général Franco réunissait les titres de chef de l’État, chef de gouvernement, Généralissime des armées et, à partir 1937, chef du Parti unique. Mais Franco ne fut pas le seul artisan du franquisme. Il jouit de l’appui des deux institutions les plus importantes dans l’évolution historique de l’Espagne contemporaine, l’Armée et l’Église, ainsi que de celui du Parti unique, le « Mouvement national » assemblé par Franco lui-même à partir de la Phalange, le parti fasciste, et le traditionalisme carliste. Hommage à la Catalogne. Hommage à la Catalogne (titre original : Homage to Catalonia) est un ouvrage de l’écrivain britannique George Orwell, qui traite de la Guerre civile espagnole, paru en 1938.

Hommage à la Catalogne

L’édition française, dans une traduction d'Yvonne Davet, est publiée pour la première fois en 1955 aux éditions Gallimard sous le titre La Catalogne libre. Il s’agit du récit de l’auteur sur son engagement durant la guerre d'Espagne, écrit à la première personne. Orwell se bat en Catalogne et dans la région d’Aragon de décembre 1936 jusqu'en juin 1937, date à laquelle, à la suite des Journées de mai à Barcelone, le parti duquel dépendait la milice dans laquelle il combattait, le POUM (Parti Ouvrier d’Unification Marxiste), est déclaré illégal et ses militants pourchassés, ce qui le force à fuir d'Espagne. Si ce récit n'est pas une autobiographie, il est à la croisée du témoignage historique et de l'essai. La Cour suprême espagnole autorise l’exhumation de Franco : retour sur un an de conflit  A la recherche de la dépouille de Federico Garcia Lorca. Ce 18 août de 1936, à 4h45 du matin, près de ce lieu nommé "barranca de Alfacar", le ravin d’Alfacar, entre le village du même nom et celui de Viznar, à quelque neuf kilomètres de Grenade, Federico Garcia Lorca était assassiné par des franquistes.

A la recherche de la dépouille de Federico Garcia Lorca

Six hommes de la Phalange, parmi lesquels le plus ignoble de tous, Benavides, un parent de la première épouse de son père qui s’était enrôlé spontanément pour avoir la jouissance de l’exécuter. Avec Garcia Lorca étaient tués un malheureux instituteur de village, José Dioscoro Galindo, qui avait eu le malheur de prôner la laïcité, ainsi que deux jeunes banderilleros de Grenade, Francisco Galadi et Joaquin Arcollas, qualifiés d’anarchistes pour avoir espéré plus de justice sociale et adhéré à la Confédération nationale des travailleurs (CNT). Espagne : premier procès dans le scandale des bébés volés du franquisme. Portail:Entre-deux-guerres. Personnalités des années 20–30 Amériques États-Unis : Warren Gamaliel Harding – Calvin Coolidge – Herbert Hoover – Franklin Delano Roosevelt Europe géographique Russie/URSS.

Portail:Entre-deux-guerres

Portail:Politique en Espagne. Cortes (Ancien régime) Cortes Generales. Pour les articles homonymes, voir Cortes.

Cortes Generales

XIIe législature Composition actuelle. Les Cortes Generales constituent le Parlement du royaume d’Espagne. Manuel Azaña. Manuel Azaña Díaz, né le à Alcalá de Henares et mort en exil le à Montauban, est un écrivain, intellectuel, journaliste et homme d'État espagnol.

Manuel Azaña

Président du gouvernement provisoire de la République espagnole (du 14 octobre 1931 au 16 décembre 1931), président du Conseil des ministres de 1931 à 1933 et à nouveau en 1936, et second président de la Seconde République de 1936 à 1939, Manuel Azaña est une des grandes figures du républicanisme en Espagne. Arrivé au pouvoir en 1931, il entreprend de réformer une Espagne agraire en retard, divisée et sclérosée par les inégalités. Il est notamment l'un des grands artisans de l'introduction de la séparation de l'Eglise et de l'Etat en Espagne sous la Seconde République.

Toutefois, malgré un certain nombre de réformes majeures, Azaña s'avère incapable d'empêcher la formation de deux Espagne antagonistes durant l'Entre-deux-guerres. Biographie[modifier | modifier le code] Semaine tragique (Espagne) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Semaine tragique (Espagne)

Manifestation durant la Semaine tragique. Suspects arrêtés par la Garde civile durant la Semaine tragique. On connaît sous le nom de Semaine tragique (Semana Trágica en castillan ; Setmana Tràgica en catalan) les évènements qui se sont déroulés à Barcelone et dans d'autres villes de la province entre le 26 juillet et le 2 août 1909. Le mouvement se transforme en émeutes, la loi martiale est proclamée, des barricades se dressent dans les rues et des affrontements ont lieu avec l'armée : 104 civils, 4 soldats et 4 membres de la Croix Rouge trouvent la mort. Alphonse XIII. Fils posthume du roi Alphonse XII, Alphonse XIII règne sous la régence de sa mère Marie-Christine d'Autriche dès sa naissance et jusqu'à sa majorité, en 1902.

Alphonse XIII

Son règne est marqué par la perte des dernières possessions espagnoles d'outre-mer et une instabilité politique très forte (attentats, coups d'État). Après la proclamation de la République, en 1931, la famille royale est contrainte à l'exil, d'abord à Paris, puis à Rome. Biographie[modifier | modifier le code] Une peseta à l'effigie d'Alphonse XIII, 1896. Le roi Alphonse XIII et sa mère (1897). Fils posthume d’Alphonse XII et de Marie-Christine d’Autriche, il est baptisé Alfonso León Fernando María Jaime Isidro Pascual Antonio de Borbón y Austria. La régence est confiée à sa mère, femme respectée pour son comportement et sa dignité. Les débuts du règne personnel[modifier | modifier le code] Il visite l'ensemble des provinces espagnoles et voyage à l'étranger, notamment dans l'Empire allemand, au Royaume-Uni et en France. . [...] Miguel Primo de Rivera. Miguel Primo de Rivera (Jerez de la Frontera, 8 janvier 1870 – Paris, 16 mars 1930[2]) est un général et homme d'État espagnol.

Miguel Primo de Rivera

Il dirige l’Espagne du 13 septembre 1923 (coup d’État à Barcelone) au 28 janvier 1930, date de sa démission. Il est le père de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole. Jeunesse[modifier | modifier le code] Carrière militaire[modifier | modifier le code] Après ses études à l’académie militaire, il part servir aux colonies. Primo de Rivera est convaincu que l’Espagne ne peut conserver ses colonies d’Afrique du Nord. Seconde République espagnole. République espagnole República Española es 1931-1939 (en exil (es) : 1939 - 1977) Devise : Plus ultra. Révolution asturienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La révolution asturienne désigne une insurrection qui éclata en 1934, préparée par les forces socialistes asturiennes, qui voulaient l'abolition du système républicain imposé par la constitution de 1931 et sa substitution par un gouvernement socialiste. Ce fut un fait important dans le processus révolutionnaire survenu en Espagne en 1934.

Républicains espagnols. On désigne comme les républicains espagnols les membres du « camp républicain » (bando republicano en espagnol), nom que se donnaient eux-mêmes les partisans et défenseurs de la République, qui lui sont restés fidèles après le soulèvement du 18 juillet 1936, durant la guerre civile espagnole (1936-1939). Cette dénomination s'opposait à celle de « camp nationaliste » qui désignait les forces rebelles au gouvernement de la république. Les républicains furent également désignés d'autres noms, en particulier par leurs adversaires. Ceux-ci usèrent des termes de « rouges », « communistes », « anarchistes » : il est intéressant de remarquer que ces surnoms sont erronés puisqu'ils réduisent systématiquement les républicains à une partie de leur composition.

Idéologie politique[modifier | modifier le code] Catégorie:Gouvernement de la République (Espagne) Union générale des travailleurs (Espagne) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Union générale des travailleurs (Unión General de Trabajadores) est une confédération syndicale espagnole majeure, proche du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Parti socialiste ouvrier espagnol. Pour les autres articles nationaux ou selon les autres juridictions, voir Parti socialiste. Le Parti socialiste ouvrier espagnol (en espagnol : Partido Socialista Obrero Español), en abrégé PSOE, est un parti politique espagnol de centre gauche social-démocrate membre du Parti socialiste européen et de l’Internationale socialiste.

Au pouvoir d’ à , soit durant plus de 13 ans, le PSOE gouverne de nouveau l’Espagne d' à . À l’occasion des élections générales de , il a remporté le plus grand nombre de suffrages jamais obtenu à l'occasion de ce scrutin avec 11 288 698 voix. Il a subi sa plus lourde défaite électorale depuis la transition démocratique lors des élections générales de en obtenant seulement 77 députés.

Francisco Largo Caballero. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Les Brigades internationales. Nationalistes espagnols. On désigne comme les nationalistes espagnols les membres du « camp nationaliste » (bando nacional en espagnol), nom que se donnaient eux-mêmes les insurgés et les forces insurgées après le soulèvement du 18 juillet 1936 contre la république espagnole, durant la guerre d'Espagne.

Cette dénomination s'opposait à celle de « camp républicain » qui désignait les forces loyales au gouvernement de la république. Francisco Franco. Cette page est peut-être trop longue, ce qui peut poser des problèmes de chargement et rendre la lecture et la navigation inconfortables. Vous pouvez la raccourcir en résumant le contenu de certaines sections et en déplaçant leur contenu original vers des articles détaillés, ou en discuter. Aviazione Legionaria. Division Bleue (Seconde Guerre mondiale) Légion Condor. Pour les articles homonymes, voir Légion. António de Oliveira Salazar. Guerre d'Espagne. 500 000 morts au total[6].300 000 réfugiés hors d'Espagne[6]. Soulèvement nationaliste des 17 et 18 juillet 1936 en Espagne. Soulèvement des 17 et 18 juillet 1936. Révolution sociale espagnole de 1936.

Un ticket pour une séance dans un cinéma collectivisé par la CNT/AIT. Une affiche de la CNT, 13 mai 1937. Guerre d'Espagne 1936-1939 - Le Monde diplomatique. Journées de mai 1937 à Barcelone. Bombardement de Guernica. Guerre d'Espagne (2/4) : La guerre de Rose. Archéologie de la Guerre d’Espagne : de la bataille de Madrid aux camps de concentration franquistes. Espagne franquiste. Réfugiés et exilés de la guerre d'Espagne. Grèves de 1962–63 en Espagne. Transition démocratique espagnole. L'Espoir. Guy Hermet. La Guerre d'Espagne , Guy Hermet, Sciences humaines. Guernica (Picasso) Les écrivains espagnols face à l’héritage de la Guerre civile. Mirada, ils racontent la guerre civile espagnole. Filmographie Espagne 1936 1939 22sept2011.