background preloader

USA

Facebook Twitter

« Occupy » et « Tea Party » redéfinissent le jeu politique américain | Texaspérant. « We are the 99% ! » Ce slogan contestataire, né à New York le 17 septembre, commence à se répandre sérieusement à travers le pays. À Austin, l’occupation a commencé le jeudi 6 octobre et se poursuit fièrement depuis. Qu’est-­ce que ce mouvement radicalement socialiste au pays du capitalisme triomphant ? Lassés des inégalités sociales qui vont croissantes, de l’injustice flagrante, du chacun pour soi au pays de la méritocratie individualiste, des gens, venus de tous les horizons, de tous les coins du pays, de toutes les classes sociales – des plus riches aux moins riches – commencent à se réveiller. Résolument anticapitaliste, le mouvement n’a cependant pas d’autres revendications que celle de changer le système pour changer le monde.

Mais n’est-­ce pas déjà, en soi, tout un programme ? Une conséquence de l’échec d’Obama En 2008, Barack Obama se faisait élire sur la promesse d’un changement. La symétrie Tea Party / OccupyWallStreet Le retour de l’idéologie. Les indignés new-yorkais n'ont pu occuper Wall Street. Les indignés européens et africains donnent des idées aux New-Yorkais. Samedi, quelques centaines de personnes s'étaient rassemblées avec pour objectif d'occuper Wall Street, la rue symbole de la finance mondiale.

Ils avaient prévu des sacs de couchage, mais les indignés new-yorkais ne sont pas parvenus à planter leurs tentes devant Wall Street, bloquée par des barrières de police. "Wall Street est un symbole et comme vous pouvez le voir, la police ne veut pas nous laisser y accéder, mais nous sommes là pour créer une présence", explique un jeune Américain. "Moi, je suis étudiant et je n'ai absolument aucun espoir d'avoir une carrière stable lorsque je sortirai de l'université, à cause des profits massifs des grandes compagnies américaines. " L'idée d'occuper Wall Street, comme les Egyptiens ont occupé la place Tahrir, a été lancée par un magazine canadien anticonsumériste et largement relayé ces dernières semaines sur Facebook et sur Twitter.

À peine un millier de manifestants. Crise: la police de New York arrête les "indignés" de Wall Street. "Quelque 80 arrestations ont eu lieu", a déclaré un porte-parole de la police de New York (NYPD) à l'AFP. Ils ont été accusés d'entrave à la circulation et de résistance. Une personne a été inculpée pour agression contre un officier de police et un agent a été légèrement blessé. Le principal site rassemblant les protestataires, www.occupywallst.org, a indiqué qu'entre 80 et 100 manifestants avaient été arrêtés, la plupart à Union Square à Manhattan.

Se présentant sur leur site comme des représentants "des syndicats, des étudiants, des enseignants, des familles et des sans-emploi", les manifestants avaient entamé leur mouvement le 17 septembre et ont rivalisé d'inventivité pour se faire entendre. Jusqu'ici les forces de police très présentes surveillaient joueurs de tambours et autres harangueurs dans le calme. Belga. Inde, Israël, Etats-Unis : le mouvement des "indignés" gagne tous les pays. Le parc qui borde Wall Street à New York s’est transformé en campement pour quelques centaines de manifestants.

Ces indignés de New York se font appeler "les 99%". "Nous n’avons rien, alors que 1% des Américains à tout. Nous sommes les 99% restants", explique un manifestant. En occupant Wall Street, c'est le système financier et la dictature des marchés qui sont pris pour cibles. Pas de message ciblé Le mouvement "Occupy Wall Street" peine à prendre son envol à New-York, la faute peut-être à l’absence d’un message précis. Mais les protestataires veulent montrer qu’ils existent. La crise financière de trop Aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe une des raisons qui a déclenché cette révolte est une énième crise économique.

Avec un taux de chômage qui atteint des sommets alarmants, les jeunes ont souvent été les premiers à descendre dans la rue. Du pacifisme à la violence Les Grecs, en particulier ont l'impression de payer à la place des vrais responsables. Même son de cloche à Londres. Etats-Unis: les manifestations se poursuivent, les arrestations aussi. Des manifestants "ont bloqué pendant deux heures la circulation sur le pont de Brooklyn, en direction de Brooklyn", a expliqué dans la soirée un porte-parole de la police new-yorkaise. "Il y a eu environ 400 personnes arrêtées. Certaines ont été relâchées après quelques heures, d'autres resteront un jour" en cellule, a-t-il précisé. La manifestation avait débuté dans l'après-midi à Liberty Plaza, dans le quartier de la finance, où campent depuis deux semaines des militants du mouvement "Occupons Wall Street". Des centaines de personnes se sont ensuite dirigées vers le pont de Brooklyn, selon la police qui a précisé que la majorité des manifestants étaient restés sur le trottoir, sans incident.

Des militants d'"Occupons Wall Street", qui s'inspire des mouvements pro-démocratiques du printemps arabe, ont indiqué camper dans un parc du sud de Manhattan pour traduire leur "mécontentement provoqué par l'actuel climat politique et économique". Belga. Le mouvement "Occupons Wall Street" progresse malgré les arrestations. S'inspirant à la fois des "indignés" espagnols et des révoltes du "printemps arabe", le mouvement "Occupons Wall Street" a été lancé le 17 septembre. Depuis, plusieurs centaines de personnes se rassemblent chaque jour devant la Bourse de New York, à l'extrême sud de Manhattan. Dimanche, près de 800 personnes se sont encore réunies aux abords de Wall Street, a constaté un journaliste de l'AFP. "Notre nation, notre espèce et notre monde sont en crise. Les Etats-Unis ont un rôle important à jouer pour trouver une solution mais nous ne pouvons plus nous permettre de laisser la cupidité du capitalisme et des politiques corrompus définir la politique de notre pays", dit le manifeste du mouvement.

Samedi, la mobilisation a pris un nouveau tour. Seule "une minorité" de ces manifestants se trouvait encore derrière les barreaux dimanche, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police de New York. "Beaucoup de manifestants sont de retour. Les "anti-Wall Street" font des émules aux USA depuis 2 semaines. La poignée d'anticapitalistes, qui a déroulé des sacs de couchage il y a deux semaines dans un petit square près de la Bourse de New York et brandi des pancartes en carton, affirmait suivre l'exemple des manifestants égyptiens de la place Tahrir au Caire.

Mais, en réalité, il y a beaucoup plus de différences que de similitudes entre ces deux mouvements. Le nombre de manifestants d'abord: à New York ils sont beaucoup moins nombreux qu'au Caire. Leur but ensuite: aux Etats-Unis personne ne cherche à renverser un gouvernement. Le contexte enfin: aucun risque pour les anticapitalistes de se faire tirer dessus par la police. Et pourtant, maintenant que le mouvement "Occupons Wall Street" entame sa troisième semaine, les "anti-Wall Street" sont de plus en plus pris au sérieux.

Et les manifestants new-yorkais espèrent recevoir cette semaine le soutien des syndicalistes, après avoir reçu lundi celui, plus inattendu, du milliardaire George Soros. ÉTATS-UNIS • Les médias ne comprennent rien à "Occupons Wall Street" Les journalistes portent un regard rempli de mépris sur les "indignés" américains qui manifestent à New York. Preuve qu'ils ne comprennent rien à l'époque, estime un théoricien des médias. Depuis le début [le 17 septembre] du mouvement anticapitaliste d'occupation de Liberty Plaza, à proximité de Wall Street, les journalistes de télévision semblent déterminés à présenter la réalité comme le fait d'une génération de "cinglés paresseux et incapables de tenir un discours cohérent". Le porte-parole d'un dictateur arabe interrogé sur une nouvelle vague de protestation ne dirait pas autre chose. Les reporters américains se trompent sur toute la ligne. Pensez par exemple à la présentatrice de CNN, Erin Burnett, qui a diffusé un reportage sur les militants installés dans Zuccotti Park, à Manhattan, dans une rubrique intitulée Seriously ?

["Sérieusement ? "]. "Contre quoi manifestent-ils ? CHINE • Un drôle de soutien aux "indignés" américains. ÉTATS-UNIS • Les indignés de New York ont leur feuille de chou. ÉTATS-UNIS • Occupons Wall Street pendant des années s'il le faut. Figure de proue de la gauche américaine, Naomi Klein s'est adressée le 6 octobre aux "indignés" américains rassemblés à New York. Ce mouvement est "la chose la plus importante au monde", a-t-elle notamment affirmé. Extraits. Je vous aime. Et je ne dis pas ça pour que vous soyez des centaines à me crier : "Je t'aime".

Je dis plutôt cela car, si je sais une chose, c’est que le 1 % de la population américaine le plus riche aime les crises. Quand les gens sont paniqués, désespérés et que personne ne semble savoir quoi faire, c'est un moment idéal pour imposer des politiques libérales : privatisation de l'enseignement et des retraites, réduction des services publics, suppression de ce qui limite le pouvoir des grandes entreprises. Le slogan est né en Italie en 2008. Il y a cependant des différences importantes. Mais la plus grande différence par rapport à il y a dix ans, c'est qu'en 1999 nous nous en prenions au capitalisme alors qu'on était au plus fort d'un boom économique frénétique. "Occupy Wall Street" : échauffourées et interpellations à Times Square.

Au moins trois manifestants ont été interpellés, selon un témoin, alors que des milliers de personnes, canalisées par des barrières de police, se trouvaient sur la célèbre place new yorkaise. Les incidents ont éclaté à l'angle de la 46eme rue et de la 7eme avenue. La police montée a repoussé des manifestants qui tentaient d'entrer sur la place. Des dizaines de personnes paniquées se sont mises à courir et une femme est tombée. Blessée au visage, elle a peu après été évacuée sur une civière, a constaté une journaliste de l'AFP. Les manifestants anti-Wall Street ont achevé sur Times Square une journée de manifestations qui avait débuté dans la matinée dans le quartier financier. Ils étaient plusieurs milliers massés sur Times Square en fin d'après-midi, scandant "nous sommes les 99%", ou encore "Chaque jour, chaque nuit, occupons Wall Street".

"Nous sommes le peuple", "on nous a vendu", "nous voulons du travail", ajoutaient-ils. Belga. EN IMAGES • Les 99 % en action. 981 villes ont répondu à l’appel international des Indignés à manifester le 15 octobre. Retour en images sur la manifestation qui a eu lieu à New-York. Courrier international 17 octobre 2011 | Partager : La journée mondiale des indignés, samedi 15 octobre, a été marquée par de fortes mobilisations en Italie, en Espagne, au Portugal mais aussi au Canada et en Australie ainsi que dans plusieurs villes américaines, en particulier à New York, où des milliers de manifestants ont rallié plusieurs points névralgiques de la ville. Un premier défilé intitulé March on the Banks [marchons sur les banques] est parti de Zuccotti Park, voisin de Wall Street, à onze heures du matin pour se diriger vers une succursale de la banque Chase dans le sud de Manhattan ; un second défilé a rallié Times Square en fin d’après-midi.

Cette journée de protestation s’est conclue par une assemblée générale à Washington Square Park. "Les banquiers sont des escrocs". "Nous occupons". Pourquoi la France ne s’indigne-t-elle pas ? Les banquiers et traders de Wall Street, potentiels « indignés » ? Provocation, mépris, conciliation : les travailleurs de Wall Street jettent un regard mitigé sur les « indignés » du mouvement « Occupy Wall Street ». Un « indigné » porte une veste avec un écusson « Occupy Wall Street » à Zuccotti Park, près de Wall Street, le 19 octobre 2011 (Lucas Jackson/Reuters) (De New York) Face aux « Indignés » d’« Occupy Wall Street », le monde de la finance a offert plusieurs visages : l’humour : depuis début octobre, deux individus qui se décrivent comme des banquiers d’affaires sont à l’origine de l’initiative « Occupy Occupy Wall Street » pour faire valoir le point de vue du pourcentage le plus riche de la population américaine contre les 99% que les manifestants prétendent incarner ; la conciliation : c’est la posture de Vikram Pandit, PDG de la banque américaine Citigroup.

Il a déclaré le 8 octobre dernier lors d’un entretien avec le magazine Fortune : « Le sentiment [des manifestants] est tout à fait compréhensible. . « Des bébés pleurnichards » Des centaines de New-Yorkais dénoncent la "brutalité policière" La manifestation s'est déroulée dans le cadre de la journée nationale de "protestation pour stopper la brutalité policière". La police "défend les 1%", pouvait-on lire sur une pancarte, en référence au slogan d'OWS "Nous sommes les 99%", dirigé contre les excès du monde de la finance et les inégalités croissantes. "Hey, hey, hey, combien d'enfants avez-vous tué aujourd'hui ?

", ont lancé les manifestants, reprenant un des slogans des manifestations contre la guerre du Vietnam (1964-1975). Un des manifestant a confié à l'AFP sa déception devant le faible nombre de participants. La manifestation était solidement encadrée par les forces de police pour l'empêcher de bloquer la circulation. Vendredi, une trentaine de personnes avaient été interpellées à New York, dont l'intellectuel Cornel West, lors d'une manifestation à Harlem à laquelle participaient des membres d'OWS. Cornel West, professeur à Princeton et défenseur des droits civiques, a été rapidement libéré.

Belga. ÉTATS-UNIS • Les écrivains soutiennent Occupy Wall Street par la plume. Une appli Android « Je me suis fait arrêter » (par la police) Créée plutôt pour les Occupy Wall Street, l’application Android « Je me suis fait arrêter » pourrait séduire aussi certains politiques. Elle permet en cas d’arrestation d’alerter un ami (ou un avocat). Utile. C’est un développeur de Brooklyn, Jason Van Andem, qui l’a imaginé alors qu’un de ses ami avait failli être arrêté pendant les manifestations d’Occupy Wall Street. Capture d’écran de l’application L’appli est simple d’utilisation : Etape 1 : on enregistre un numéro et un message type.Etape 2 : arrêté ? On presse (longtemps) la cible rouge pour envoyer l’alerte. Une confirmation de l’envoi s’affiche à l’écran : « Message sent. Gratuite, l’application a déjà été téléchargée plus de 5000 fois.

Californie: des gaz lacrymogènes contre les manifestants anti-Wall Street. Les manifestants se sont dispersés après l'intervention de la police anti-émeute, qui avait auparavant arrêté des protestataires et sommé les autres de se disperser. Au moins un des manifestants, qui est tombé à terre, saignait de la tête et avait perdu conscience, selon le photographe. Il a ensuite été évacué par des manifestants. Les protestataires, qui se sont ensuite regroupés, ont commencé à jeter des œufs en direction de la police, qui a répondu en tirant des "paint-balls".

Quelques heures plus tôt, la police avait interpellé 85 militants anti-Wall Street à Oakland, alors qu'elle tentait de dégager la place occupée par les manifestants. Selon la chaîne de télévision CBS, la police avait alors déjà eu recours aux gaz lacrymogènes lors de cette opération. Des militants d'"Occupons Wall Street" sont installés depuis le 17 septembre dans le quartier financier de Wall Street à New York pour dénoncer les excès du monde de la finance et les inégalités croissantes.

Belga. ÉTATS-UNIS • Paranoïa sécuritaire chez les milliardaires de Wall Street. MOBILISATION • Indignés de tous les pays…  ÉTATS-UNIS • Les indignés inventent la "bibliotente" Californie: la police évacue et arrête des militants d'Occupy Wall Street. « Occupy » et « Tea Party » redéfinissent le jeu politique américain | Texaspérant. ÉTATS-UNIS • L'indignation conquiert l'Ouest. « Occupy Chapel Hill » : dans ma petite ville américaine, les « Indignés » s'organisent | Campus et coutumes.

ÉTATS-UNIS • Occupy my village ! ETATS-UNIS • Occupy Wall Street : et maintenant, la pub ! ÉTATS-UNIS • Et maintenant, occuper quoi ? 11/11/11 : « Occupy Wall Street » en 99 mots | Le Yéti, voyageur à domicile. ÉTATS-UNIS • Débordements dans le quartier de Wall Street. ETATS-UNIS • Non, Occupy Wall Street n'est pas mort ! Un policier aspergeant des manifestants avec un spray, risée du web. John Pike, le policier américain anti-« Indignés », star du Web. ÉTATS-UNIS • Le gaz poivre, outil de répression nouvelle génération. Etats-Unis: des camps anti-Wall Street démantelés à la faveur de la nuit. ÉTATS-UNIS • Les campements disparaissent, Occupy Wall Street demeure. USA: 31 anti-Wall Street interpellés à Washington, le camp toujours en place.

Etats-Unis: les anti-Wall Street convergent vers Washington. Les musiciens Philip Glass et Lou Reed rejoignent « Occupy Wall Street » | Le Yéti, voyageur à domicile. New York: les membres d'Occupy Wall Street arrêtés. New-York: la police interpelle 68 militants anti Wall Street. « Occupy Wall Street » : un réveillon à Zuccotti Park | Le Yéti, voyageur à domicile. Des militants d'Occupy DC manifestent, torse et seins nus, à Washington.

USA: un jeune militant du mouvement Occupy Washington a été arrêté. ÊTATS-UNIS • Le mouvement Occupy Wall Street continue de faire des vagues. Etats-Unis : l’art d’Occupons Wall Street. ETATS-UNIS • A Oakland, les indignés tiennent bon, merci. Tutoriel Occupons Wall Street : “Comment filmer une révolution” USA: arrestations de militants "Occupy Wall Street" le 1er mai. Etats-Unis : Nouvelle offensive du mouvement Occupy Wall Street. ÉTATS-UNIS • Comment je suis devenu l’un des 99 % à New York. VILLES REBELLES (8/8) • New York, capitale des 99 % USA: 150 interpellations pour le 1er anniversaire d'Occupy Wall Street. États-Unis : Premier anniversaire pour Occupy Wall Street. Manifestations anti-Wall Street: des étudiants aspergés de gaz indemnisés. Occupy lance un préavis de “grève de la dette”

New York: Occupy Wall Street manifeste, une douzaine d'arrestations. "Occupy" soufle sa première bougie en invitant à bloquer Wall Street. Etats-Unis: la police en position sur le square des anticapitalistes de Washington. Washington: six anti-Wall Street arrêtés, la police envahit le site. ÉTATS-UNIS • Etudiants, n'allez pas travailler dans la finance ! A poil les pauvres ! Un strip-poker anticapitaliste à New York | Rue89 Eco. John Pike le policier sprayeur de poivre devient une star du web. Ils travaillent pour les « 1% » qui ont peur d'« Occupy Wall Street » | Rue89 Eco. ÉTATS-UNIS • Le mouvement Occupy Wall Street retrouve son quartier général. Le port d'Oakland fermé suite aux violences des manifestants. La neige viendra-t-elle à bout des Indignés new-yorkais? « Occupy Wall Street », le miracle qu'espérait le (faux) Révérend Billy. Le mouvement des indignés Occupy Wall Street vu depuis la 89e | 89th Street. Diaporama : les indignés new-yorkais font des petits.

#OccupyWallStreet/ Occupy Wall Street.