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Cas Jacqueline Sauvage

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Affaire Jacqueline Sauvage. L'affaire Jacqueline Sauvage est une affaire judiciaire française survenue en 2012, à la suite du meurtre de Norbert Marot, abattu de trois coups de fusil dans le dos par son épouse Jacqueline Sauvage le 10 septembre 2012.

Affaire Jacqueline Sauvage

Durant le procès, la défense repose sur l'affirmation de violences et abus sexuels subis par l'accusée et ses filles durant plusieurs décennies. La condamnation de Jacqueline Sauvage, en première instance puis en appel, à une peine de dix ans d'emprisonnement, suscite des réactions d'incompréhension, dont la médiatisation provoque des débats sur la notion de légitime défense préméditée dans le cas de violences conjugales. Description générale[modifier | modifier le code] Les trois filles du couple témoignent dans le sens de violences que leur père aurait commises sur leur mère et avancent que leur père a jadis abusé d'elles[7],[3]. Le mari est connu par ses voisins et par les habitants du village comme « un homme manifestement colérique[8] ». Affaire Sauvage : le culte des coupables innocents. - Vu du Droit. En France, de Pierre Goldman à Jérôme Kerviel en passant par Omar Raddad, Cesare Battisti et Luc Tangorre, on adore les coupables innocents.

Affaire Sauvage : le culte des coupables innocents. - Vu du Droit

Le scénario est toujours le même : une décision de justice ayant l’autorité de la chose jugée après une procédure régulière, une cause politique à défendre, la mise en marche de réseaux disposant de connexions dans le monde politique, des médias et de la culture. La campagne de presse ainsi lancée provoque un emballement aboutissant à un singulier renversement. De grâce… L’affaire de la condamnation de Jacqueline Sauvage en décembre dernier, et de la grâce partielle dont elle vient de faire l’objet provoque beaucoup de commentaires, laudatifs ou non, et surtout beaucoup d’interrogations sur cette affaire, qui est présentée hélas avec beaucoup de complaisance sur certains médias.

De grâce…

Quand une affaire devient le symbole d’une cause, ce n’est jamais bon signe pour la personne jugée, qui passe trop souvent au second plan. Faisons donc un point sur cette affaire et sur la situation de cette dame, qui n’est pas simple.

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