background preloader

Open Data

Facebook Twitter

Vous avez dit « propriété intellectuelle » ? Un séduisant mirage - Projet GNU - Free Software Foundation (FSF) L'original de cette page est en anglais. par Richard M.

Vous avez dit « propriété intellectuelle » ? Un séduisant mirage - Projet GNU - Free Software Foundation (FSF)

Stallman C'est devenu à la mode de jeter le copyright, les brevets et les marques déposées (trois entités séparées et très différentes, impliquant trois types de lois séparées et différentes), plus une douzaine d'autres lois, dans un même sac étiqueté « propriété intellectuelle ». Ce terme n'est pas apparu par accident ; il déforme ces sujets et les noie dans une confusion dont l'industrie profite et qu'elle entretient. Le moyen le plus simple de sortir de cette confusion est de rejeter ce terme entièrement. Ce terme véhicule un parti pris qu'il est facile de détecter : il suggère de penser au copyright, aux brevets et aux marques déposées par analogie avec les droits de propriété sur les objets physiques (cette analogie est à l'opposé des doctrines du droit du copyright, des brevets, et des marques déposées, mais seuls les spécialistes le savent).

Rien n'est moins vrai. Ce terme n'embrouille pas seulement les non-spécialistes. [datajournalisme] 7 idées de projets pour la presse locale. Je suis toujours frappé du potentiel inexploité du datajournalisme par la presse locale en France.

[datajournalisme] 7 idées de projets pour la presse locale

Mises à part quelques rares expériences (au Dauphiné Libéré par exemple ou à Marsactu pour les pure players locaux), l’utilisation et la mise en scène des données sont quasi absentes des sites d’informations régionaux. On en reste malheureusement encore au stade de la Google Map comme sommet d’innovation data-journalistique ! Justice, fiscalité, fait divers, sport, économie, culture, citoyenneté… A l’échelle d’une région, d’un département, d’une ville, d’un quartier, d’un village, ce ne sont pourtant pas les statistiques et les sources pertinentes qui manquent. Or, si la mission de la Presse Quotidienne Régionale est bien de raconter la vie d’un territoire, pourquoi ne pas le faire également avec des données ? L’argent, mon bon monsieur ? L’argent est à mon avis un (presque) faux problème. Mais quand même : il y aurait des choses à faire. CARTE 1. CARTE 2. Le mode d’emploi. Interview de Gaël Musquet, président d’OpenStreetMap France.

Huit ans après la création du projet OpenStreetMap en Angleterre, Gaël Musquet, président d’OpenStreetMap France, revient sur la création, le développement et l’avenir du pionnier de la cartographie collaborative et libre sur le web.

Interview de Gaël Musquet, président d’OpenStreetMap France

Data Publica : Il y a un lien étroit entre l’open data et OpenStreetMap, est-ce que tu peux nous rappeler le déclencheur du projet ? Gaël Musquet : Le déclencheur d’OpenStreetMap c’est justement qu’il n’y avait pas d’open data sur la donnée cartographique, en Angleterre. En 2004, Steve Coast, embarassé par cette impossibilité de disposer librement de données cartographiques qui ont été produites par ses impôts, a décidé de créer le projet Open Street Map avec des étudiants et des amis. DP : L’idée au fond, c’est que ces données, si elles ne sont pas libérées par ceux qui les ont, le seront de toute façon par les citoyens eux-mêmes ?

GM : Tout à fait. DP : Quelles ont été les grandes étapes du perfectionnement de la collecte des données pour les cartes OSM ? Etalab, mission chargée de l'ouverture des données publiques et du développement de la plateforme française Open Data.