background preloader

Ecosocialisme

Facebook Twitter

Marx, le bonheur de la libération. Au premier abord, il peut sembler que Marx parle peu du bonheur de l’individu ; mais, en fait, il ne parle que de ça.

Marx, le bonheur de la libération

Ce qui l’intéresse, c’est de déterminer les conditions qui permettront à l’homme de se réapproprier son essence, ou, dit en langage moins philosophique, à l’humanité de réaliser ses potentialités d’humanité et donc aux individus concrets de vivre une vie pleinement humaine et libre. Contrairement à la caricature qui en est habituellement faite, Marx est fondamentalement un penseur de la liberté. La liberté pour lui n’est pas l’absence de déterminations ; c’est la capacité de l’être humain générique à maîtriser les déterminations et à les transformer. En fait, le projet de Marx est de libérer les hommes du déterminisme économique et social qui sous le règne du capitalisme prend le visage d’une fatalité naturelle. Pour Marx, l’homme qui dans les religions monothéistes avait le statut d’une créature, devient à lui-même son propre créateur.

L’argent étant le fétiche suprême. "Etre écologiste, c'est faire avec" Catherine Larrere. Accueil - Fondation de l'Écologie Politique. "Critique de l'économie politique" Jean-Marie Harribey » Blog Archive » Le capital naturel ou capital vert : un objet fictif mal identifié. Je reviens sur un point de théorie crucial pour prendre la « mesure » de l’enjeu socio-écologique de la sauvegarde des écosystèmes naturels.

Jean-Marie Harribey » Blog Archive » Le capital naturel ou capital vert : un objet fictif mal identifié

C’est d’autant plus urgent que, semaine après semaine, les interventions très médiatisées de rapporteurs et de théoriciens se multiplient et ressassent lieux communs, apories et autres billevesées. Ainsi, le rapport de l’Assemblée nationale du 14 janvier 2014, présenté par Éva Sas, pour prendre en compte de « nouveaux indicateurs de richesse », ou bien encore l’ouvrage de Christian de Perthuis et Pierre-André Jouvet, Le Capital vert, Une nouvelle perspective de croissance, (Paris, Odile Jacob, 2013), perpétuent des confusions intellectuelles qui font courir le risque d’une impasse stratégique en matière de soutenabilté du développement. La fiction de la valeur économique intrinsèque Les ressources naturelles ne sont pas produites par l’homme. Et, l’activité économique humaine utilise ces ressources. Cette aporie n’est pas la seule.

Rene Dumont

Justice environnementale, ici et là-bas. André Gorz. Écosocialiste - Faire le socialisme du 21ème siècle. Rendez-vous le 1er décembre 2012 ! Écosocialisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Écosocialisme

L'écosocialisme (parfois désigné du nom de « socialisme vert ») est une idéologie qui cherche à fusionner l'écologisme et le socialisme. Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ?

Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe »

La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides.

Ecosocialisme.

Michael Lowy

Assises de l'écosocialisme (01/12/12) Manifeste ecosocialisme. La Belle Verte (Film Complet) Fin de l'occident, naissance du monde par Hervé Kempf. Hervé Kempf – fondateur du site Reporterre et essayiste – publie son nouvel ouvrage Fin de l’Occident, naissance du monde dans lequel il analyse le phénomène de grande convergence auquel il nous faut faire face.

Fin de l'occident, naissance du monde par Hervé Kempf

Si depuis la révolution industrielle il existait entre l’Occident et le reste du monde une grande divergence en terme de consommation de ressources et de niveau de vie, les pays du Sud cherchent aujourd’hui à rattraper cet écart. Or, cette « situation normale » que les pays du Sud recherchent, se confronte à un « mur écologique » du fait notamment de la surconsommation de l’Occident. La volonté, d’une part des pays riches de conserver leur niveau de consommation et, d’autre part des pays du Sud de les rejoindre a pour conséquence un fort accroissement des tensions et génère une grave course aux ressources. Références : Fin de l’Occident, naissance du monde de Hervé Kempf – Editions du Seuil – Date de parution 03/01/2013 – 156 pages – Prix public : 15.00 €

La fabrique des pauvres - Documentaire ARTE.