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On s'indigne ou pas?

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Constitution Européenne: sens et perspectives du Non français. Bravo les Français ! Tout d'abord, bravo aux Français pour leur nouvelle capacité à ne plus se laisser berner par la propagande des médias, ni par les mensonges et les manipulations des politiciens, ni par la campagne d'intimidation et de culpabilisation menée contre les électeurs du Non. Contrairement aux prévisions de ceux qui avaient conçu la Constitution pour la rendre hermétique et incompréhensible, les Français ont manifesté un intérêt intense pour le texte qui a suscité des débats passionnés jusque dans les cafés, les bureaux ou les soirées entre amis.

Perfidement, Valery Giscard d'Estaing conseillait aux Français de ne lire que les parties I et II de la Constitution, la partie III n'étant "pas importante", alors que cette partie III était au contraire l'élément-clé du piège libéral de cette Constitution. Heureusement, les Français ne s'en sont pas tenus aux bons conseils de Giscard. Le rejet massif d'une mauvaise constitution Le Non à la constitution n'était pas un Non à l'Europe. Les indignés des services publics lancent un appel à la désobéissance - Résistance. Une conseillère du Pôle emploi de Toulouse est convoquée devant un conseil de discipline le 13 octobre, pour avoir refusé d’appliquer une procédure qui dégrade, selon elle, le service rendu. Face au démantèlement du service public, les actes de désobéissance de la part de fonctionnaires se multiplient. « L’Appel de Toulouse » propose une riposte concertée, réunissant fonctionnaires et usagers attachés à un service public de qualité.

Nous sommes citoyens, usagers et salariés, agents ou fonctionnaires des services publics ou remplissant des missions de service public. Nous nous élevons ensemble contre leur destruction et la dégradation du service rendu au public. Ce gouvernement fusionne, démantèle, privatise. Il manipule ! Nous avons déjà laissé beaucoup de ces secteurs échapper à la régulation de l’État, certains ont disparu, d’autres sont privatisés ou en voie de l’être... Il est donc temps, pour nous et pour les générations à venir : C’est un appel à Tous. Le cahier de doléances de Wall Street. Je lutte des classes, qu’on disait ici. Ailleurs, quelque chose arrive aussi : aux Etats-Unis, dans le cadre du mouvement des indignés, baptisé là-bas Occupy Wall Street, certains revendiquent maintenant une appartenance à l’intersection de l’intime et du collectif : je suis les 99 %, de ceux qui perdent tout dans la guerre des classes, nous sommes le 99 %, je suis les laissés-pour-compte du système, et nous voulons que ça change !

Tout ce qui se dit quand y a tout qui va pas. Ce qui va de soi, ce qui coule de nous. Regardez voir, que demande le peuple ! « Par la double attestation de la photo et de l’écrit, l’exposition de ces bribes de vie prend une force et une densité étonnantes, relève André Gunthert sur l’Atelier des icônes. Mais il y a plus, peut-être, dans ces mots et ces visages.

Si c'était nous, maintenant? La Jamahiriya Continue. [English version] 1. Seif al-Islam al-Kadhafi n'est pas le chef de la résistance, ni de la révolution libyenne. Il est comme tout autre citoyen libyen qui doit avoir ses droits et libertés garantis par la Grande Charte Verte des droits de l'homme et des libertés, légiférée par les Conférences populaire depuis 1988. Son statut individuel n'affecte pas la résistance verte libyenne qui se bat pour rétablir ces droits et libertés qui ont été détruits par l'invasion mercenaire et l'occupation des territoires libyens, une situation qui est rejetée par les masses et les gens épris de vérité partout. 2. Seif al-Islam avec d'autres personnes porte une responsabilité significative pour le contournement du système jamahiriyen de la démocratie participative directe en ayant apporté assistance aux positions de nombreux agents de l'autorité qui ont ouvert la voie à la conspiration contre la Jamahiriya Al-Fateh. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Action du 15.10: Foutage de gueule made by United Nations. Posté sur le site de Mahamudra. Ca fait un moment que le mouvement des indignés défraye la chronique de par son ampleur. Quand on se rend compte des mensonges des médias et de leurs serviteurs, on ne peut que s’interroger à bon escient sur qui pilote ces indignés. C’est ce qu’a fait Mahamudra, et le résultat n’est pas si surprenant que ça.

Comme on le dit souvent tout est voulu………. Les indignés, foutage de gueule… En passant: le parti pirate: foutage de gueule aussi (infiltré par les franc-macaques. les preuves sont en allemand, je les garde). TOUT ce qui peux émerger, TOUT est récupéré immédiatement! Je ne veux pas me répéter, juste montrer quelque chose que je viens de faire et que chacun peut vérifier. Cette expression dédaigneuse sous sa perruque ridicule… C’est ça l’élite??

Les chrétiens d'Orient s'érigent en remparts face au nouveau colonialisme occidental. Reçu à l’Élysée le 5 septembre 2011, S. B. Bechara Boutros Rai, Patriarche Maronite d’Antioche et de Tout l’Orient (c’est-à-dire chef de la principale Église de rite oriental rattachée à Rome) s’est entendu dire que la France et ses alliés interviendraient prochainement militairement en Syrie pour y porter au pouvoir les Frères musulmans. Les chrétiens d’Orient, qui n’auraient alors plus leur place au Levant, devraient se préparer à l’exode et pourraient trouver refuge en Europe. © Présidence de la République - P. Thierry Meyssan : Le synode spécial pour le Proche-Orient a affirmé le caractère arabe des Chrétiens de cette région, ce qui introduit une rupture par rapport au XXe siècle où le christianisme, bien que né dans cette région, apparaissait comme la religion du colonisateur.

Mère Agnès-Mariam de la Croix : Oui, le synode a affirmé avec force le caractère arabe des chrétiens d’Orient par immersion et symbiose avec leur environnement historique et culturel. Tatamis - L’arme fatale, vous connaissez ? Vous pensez tout de suite à quelque-chose de létal, d’ultra violent. Eh bien non, l’arme fatale, ce n’est pas ça du tout. C’est exactement le contraire. L’arme fatale est un conglomérat d’indignation, de bons sentiments et de morale à quatre sous. L'auteur : Oskar Freysinger, 51 ans, est conseiller national (député) suisse, et une figure importante de son parti, l’UDC (Union démocratique du Centre), principal parti du pays avec presque 30% des voix. 60 pages, 11 x 18 cm, 5€ Pour vous procurer le livre, 5€ : - soit par chèque à l'ordre des éditions Tatamis, 103 rue Albert 1er, 41000 Blois - soit par paiement sécurisé en ligne : Extraits : « Un jour que j’avais mal aux dents, la réalité des choses m’est apparue dans toute sa cruauté.

On a retrouvé le corium de Fukushima. Gouvernance mondiale ou dictature planétaire ? Face aux problèmes que pose la mondialisation, on nous explique que la seule solution serait une gouvernance mondiale. Est-ce vraiment si souhaitable ? Tout d’abord, la mondialisation n’est pas quelque chose qui est apparu spontanément, comme une conséquence inéluctable du progrès des moyens d’échange. C’est quelque chose qui a été réfléchi, théorisé, et progressivement mis en place de manière volontaire. Dans son livre « La marche irrésistible du nouvel ordre mondial », Pierre Hillard fait l’historique des courants de pensée qui ont conduit à la mise en place d’institutions transnationales, de forums et de réseaux, de clubs de réflexion et de fondations, d’associations et de regroupements au service de la vision d’un monde unifié sur le modèle occidental, et où les Etats-Unis tiendraient un rôle prépondérant.

On constate que ces institutions ont des points communs : elles sont issues des travaux de groupes de réflexions (think-tanks) « indépendants » (de qui ?) Ce n’est pas un accident. Message aux indignés… Voici une all terre native… ! On s'indigne ou pas ? Les Conférenciers gesticulants. Les "Indignés" de France... en régions. Le domeon Occupy France. Occupy France. Coupable ! La culpabilité des citoyens ? Voilà le grand alibi des politiques, en ces temps de crise. Tournez-vous en gardant les mains en l’air, posez les mains sur le capot de la voiture, et laissez-vous fouiller. Je n’en peux plus de me réveiller, chaque matin, au son d’une radio qui m’annonce des catastrophes. Si tout va mal, paraît-il, c’est de ma faute. De votre faute, donc. Alors, dans ces conditions, il faudrait être du dernier cynisme pour se laisser aller à des pulsions optimistes.

Nous ne sommes pas seulement malheureux, nous sommes punis. Récapitulons. En plus, j’aurai à jamais le tourment d’avoir précipité mes enfants dans l’abîme, par mes attitudes jouissives de vieux soixante-huitard hédoniste réconcilié cyniquement avec la société de consommation. Je l’avoue, je ne suis pas certain d’avoir correctement fait mes devoirs de mémoire, ces derniers temps. Coupable. Vous en voulez un exemple ? Bakchich. ENORME !! La colère de Francis Lalanne sur ouiFM (weboose.com) A New York, le mouvement des indignés prend de l'ampleur -- Enfant de la Société. Photographie d'une interpellation par les forces de police d'un manifestant du mouvement "Occupy Wall Street", le 19 septembre 2011.Giles Clarke "Ça monte", lit-on sur la pancarte.

Et c'est vrai : "place de la Liberté", comme ils nomment le square qu'ils squattent à deux pas de la Bourse new-yorkaise, les "indignés" américains du mouvement Occupons Wall Street étaient environ 1 500, dimanche 2 octobre, soit trois fois plus que les jours précédents. Beaucoup grâce au maire, Michael Bloomberg, qui avait envoyé ses forces de police, la veille, arrêter les 600 à 700 militants partis traverser le pont de Brooklyn, situé non loin de là. Le soir même, les premières images faisaient le tour du Net. D'un coup, l'intérêt médiatique était monté de plusieurs crans. Fox News, la chaîne de télévision conservatrice, éructait contre cette "bande de fainéants". Kyle Kneitinger, 22 ans, y était.

Les brutalités n'ont pas trop duré. A 11 heures, dimanche, il était de retour place de la Liberté. On ne change pas le monde avec seulement de l’indignation. (Source : Le Grand Soir) « Nous sommes les 99 % » s’écriaient les contestataires américains le 17 septembre 2011. « Nous n’avons rien pendant que l’autre pour cent a tout » s’exclamaient les protestataires. « Occupons Wall Street » répondaient d’autres encore. Ces cris d’indignations ont raisonné comme un tonnerre dans le ciel des États-Unis.

Ailleurs dans le monde, le 15 octobre des hommes et des femmes, par centaines de milliers, marchaient pacifiquement contre les marchés financiers, les banques, les gouvernements qui désormais ne les représentent plus. Ils se présentent eux-même comme les héritiers des révolutionnaires égyptiens. Les révoltes dans le Monde arabe, en Europe, aux États-Unis, au Canada, en Australie etc. sont le produit de la lutte des classes imposée par le capitalisme lui-même à travers le monde. Mais l’indignation, quelles que soient d’ailleurs sa force et sa sincérité, ne permet pas de bouleverser radicalement la société capitaliste.

Mohamed Belaali. Christophe Aleveque à la bourse Crise financière. Message aux « Indignés  Nous sommes d’accord dans les grandes lignes avec cette analyse de Mohamed Belaali, que nous reproduisons ici. Le mouvement des "indignés" a deux mérites à nos yeux: Il parvient à rassembler maintenant internationalement un volume de personnes pour (essayer de) contester l’hégémonie de la classe dominante parasitaire.Il parvient plus ou moins (même si cela est de plus en plus difficile tant les tentatives de récupération sont constantes) à rester apolitique et laisse une grande autonomie de décision aux personnes impliquées. Il éduque sur le principe des Assemblées Générales et donc de la démocratie directe, sans délégation parasitaire. Néanmoins, les problèmes majeurs auxquels fait face le mouvement sont directement liés aux deux point sus-mentionnés.

S’assoir sur une place et discuter est nécessaire, mais cela devrait déboucher sur des décisions claires sur: Réfléchir et parler sans agir est futile, agir sans ligne directrice n’est qu’activisme aveugle. . – Résistance 71 – Mohamed BELAALI. Occupy Wall Street et « l’automne étasunien » : s’agit-il d’une « révolution de couleur »? (Source : Mondialisation.ca) par Michel Chossudovsky Un mouvement de protestation populaire se développe à travers les États-Unis, comprenant des gens de tous les milieux et de tous les groupes d’âge, conscients qu’un changement social est nécessaire et tous engagés à renverser la vapeur. Les racines de ce mouvement constituent une réponse au « programme de Wall Street » favorisant la fraude et la manipulation financières et ayant servi à entraîner chômage et pauvreté à travers le pays.

Dans sa forme actuelle, ce mouvement est-il un instrument de réforme significative et de changement social aux États-Unis? Quelle est la structure organisationnelle de ce mouvement? Le mouvement a-t-il été coopté, en partie ou en entier? Il s’agit de questions importantes qui doivent être abordées par ceux qui font partie du mouvement Occupons Wall Street et ceux qui, partout aux États-Unis, appuient la véritable démocratie. Introduction « Fabriquer la dissidence » Les « révolutions de couleur » Égypte. Kmara ! Wall Street occupée et préoccupée (Pagina 12) par Juan GELMAN. Il est notoire que ces indignés se déclarent représentants des 99% infortunés de la population étasunienne et que ses réclamations sont destinées à l’opulent 1% du pays. Forbes invita divers multimillionnaires de ses listes à visiter incognito ceux réunis dans le Parc Zuccotti, rebaptisé de La Liberté, pour connaître de première main les demandes des occupants.

Seul Jeff Greene accepta, magnat de l’immobilier dont la revue estime la fortune à 2,1 milliards de dollars, et son commentaire a été : "Pour le moment c’est comme une manifestation d’étudiants, une démonstration de la frustration de la classe moyenne, mais cela pourrait éventuellement déboucher sur la violence, la prochaine étape à craindre" (www.forbes.com, 19/10/11). Il y a le cas de ce cadre supérieur qui contacta une agence privée de sécurité "sollicitant de l’aide pour planifier sa fuite des Etats-Unis au cas où le gouvernement fédéral serait renversé" , informe le New York Times.

Juan Gelman. Naomi Klein : « Le mouvement Occupons Wall Street est actuellement la chose la plus importante au monde » - Mobilisations. J’ai été honorée d’être invitée à parler [le 29 septembre] devant les manifestants d’Occupons Wall Street. La sonorisation ayant été (honteusement) interdite, tout ce que je disais devait être répété par des centaines de personnes, pour que tous entendent (un système de « microphone humain »). Ce que j’ai dit sur la place de la Liberté a donc été très court. Voici la version longue de ce discours [publiée initialement en anglais dans Occupy Wall Street Journal]. Je vous aime. Et je ne dis pas cela pour que des centaines d’entre vous me répondent en criant « je vous aime ». Hier, un des orateurs du rassemblement syndical a déclaré : « Nous nous sommes trouvés. » Ce sentiment saisit bien la beauté de ce qui se crée ici.

S’il y a une chose que je sais, c’est que les 1 % [les plus riches] aiment les crises. Et une seule chose peut bloquer cette stratégie. Ce slogan est né en Italie en 2008. . « Pourquoi protestent-ils ? Mais il y a aussi de grandes différences. Quelques réflexions finales. Protesters Clash with Police During Wall Street March, Violence & Arrests @ #occupywallstreet. Cops visciously attack students at UC Berkeley. Démondialisation - Hémisphère Gauche. MONDE : La marche des indignés européens fait halte à Paris. Message des anciens Hopis. Pourquoi un "Occupy Wall Street"? - À FAIRE CIRCULER 1de2.

Mouvement social International 2011. E&R Bretagne : tractages tous azimuts !