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Banksters : Quand ?

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Faire payer les banques criminelles, c'est possible. Comment ne pas reprendre, comme l'auteur, pour donner le ton ou la couleur de l'ouvrage, cette citation de Bertold Brecht, tirée de L'opéra de quat'sous : « Qui est le plus grand criminel : celui qui vole une banque ou celui qui en fonde une ? » Le travail d'Eric Toussaint est considérable et remarquable. Je souligne à la fois l'économie générale du livre, la clarté des analyses, la qualité de l'exposition, la somme de données. Les présentations sont précises, illustrées de graphes, tableaux et d'encarts explicatifs, dans un langage habituel, les mots spécifiques étant expliqués dans un glossaire. De cet ensemble indispensable, je ne mets en avant que certains points. A noter, que cette hypertrophie du système financier participe du nouveau modèle de fonctionnement du capitalisme, (voir par exemple, Michel Husson : Un pur capitalisme, Éditions Page2 2008, La crise est certaine, mais la catastrophe ne l'est pas).

Cour des comptes : quand Sarkozy liquidait un cinquième du stock d'or de la France. La Banque de France (BDF) a décidément des progrès à faire. Après avoir essuyé un « constat sévère » de la Cour des comptes en 2005, l’institution a une nouvelle fois été passée au scanner par les Sages de la rue de Cambon. Dans leur rapport annuel 2012, ceux-ci reconnaissent des progrès, mais s’inquiètent toujours d’un réseau territorial trop étendu et recommandent une rationalisation accrue des activités.

La Cour dénonce notamment une baisse des effectifs - rendue incontournable après l’entrée de la banque dans l’Eurosystème - en trompe-l’oeil : selon les Sages, le mouvement s’est accompagné d’un recours accru à des prestataires externes, soit l’équivalent de 699 postes équivalents temps plein. Au-delà de ses griefs, la Cour des comptes s’intéresse à un épisode méconnu qui a coûté cher à la puissance publique.

Nous sommes en 2004, Nicolas Sarkozy dirige le ministère de l’Économie. Moins lucide que ses partenaires Sauf que l’opération est tout sauf une bonne affaire. L’or au FMI. Institutions de Bretton-Woods. La démocratie & les financiers. Unefoisn’estpascoutume,c’estdansl’universdescontesquejevousinviterai,cettefois-ci,àapprofondirlesmystèresdel’Initiation.Cefutautrefois,commevouslesavez,undesmoyensqu’utilisèrentlesanciensinitiéspourtransmettreetinfuserleursconnaissancesdanslesdifférentestraditionspopulairesauxquatrecoinsdumonde,enparticulierpourlessoustraireàlamalveillancedel’Inquisitionlorsqu’elleentrepritdemuselerlesporteursdel’anciensavoirocculte.Envoiciunexemple,parmibiend’autres,extraitdescontesdeGrimm (KHM 133) : Ilestévidentquenousavonsàfaire ici d’entréeàunappelauxforcesdeclairvoyance.

Imaginer qu'il puisse s'agir là de pure fantaisie en s'efforçant laborieusement d'en faire une psychanalyse à la mode actuelle c'est tout simplement ne rien connaître à ce qui se trouve ici transmis. Le Droit européen a permis la mondialisation néolibérale. L'or. FMI : Fonds monétaire international. Les "accords" "économiques" de l'empire. Radio Ici et Maintenant - Pierre Hillard - La Pillule Rouge Part 01. Cecil Rhodes. De Gaulle, l’or et le Dollar. John Connally, secrétaire au Trésor US de Richard Nixon au début des années 70, avait un jour déclaré que le dollar était la devise des Etats-Unis, mais, parlant des autres pays, « votre problème ».

Cette légèreté des Etats Unis pour appréhender la monnaie de réserve du monde avait entrainé de virulentes remarques de Charles de Gaulle. « Ce que [les Etats-Unis] doivent [à l’étranger], ils le lui paient, tout au moins en partie, avec des dollars qu’il ne tient qu’à eux d’émettre... », a grondé De Gaulle durant une conférence de presse qui ferait date, en février 1965. « Cette facilité unilatérale qui est attribuée à l’Amérique contribue à faire s’estomper l’idée que le dollar est signe impartial et international des échanges, alors qu’il est un moyen de crédit approprié à un Etat ». Mais De Gaulle a fait bien plus que grommeler et se plaindre. Contrairement aux présidents français actuels, il a eu la possibilité d’échanger ses dollars contre un actif bien réel et tangible — l’or physique.

La "révolution Française" JFK. POUR QUE L'ARGENT NOUS SERVE, AU LIEU DE NOUS ASSERVIR! - Page 7. Ce sont des chiffres incroyables. On savait déjà que, fin 2008, George Bush et Henry Paulson avaient mis sur la table 700 milliards de dollars (540 milliards d'euros) pour sauver les banques américaines. Une somme colossale. Mais un juge américain a récemment donné raison aux journalistes de Bloomberg qui demandaient à leur banque centrale d'être transparente sur l'aide qu'elle avait apportée elle-même au système bancaire. Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %. Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % !

Allons-nous attendre qu'il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Tout cela est indispensable. La crise de la dette. Ce n'est pas un fait nouveau des crises financières ont eu lieu de nombreuse fois au fil du temps. Nous sommes en 594 av JC, Athènes traverse une crise importante. Les grands propriétaires, issu de l'aristocratie foncière, étendirent leur influence en infligeant une dette sur les propriétaires terriens les plus pauvres, créant ainsi un déséquilibre dans l'organisation sociale. Les affrontements sociaux furent exacerbés par ces inégalités et opposèrent l'aristocratie au frange populaire de la cité. Dans ce contexte de tension sociale, les solutions politiques se définissaient par deux phénomènes étroitement liés l'un à l'autre. Soit par une activité législative intense associée à des législateurs célèbres ou soit par la tyrannie, régime sans légitimité, reposant sur la force. La situation était difficile, les plus pauvres endettés avaient pour la plus part quittés leur terre.

La démocratie ne dura que deux siècles, remplacé peu à peu par la puissance monarchique du régime macédonien. Choc des civilisations et usure financière « Cercle des Volontaires. Pourquoi, dans une période de délabrement économique, fait-on l’objet de tensions entre pays ? Ne serait-il pas plus judicieux de joindre nos efforts pour résoudre les problèmes des uns et des autres ? Aujourd’hui, le monde des dirigeants est fortement influencé par la doctrine dite du "Choc des Civilisations" qui est venue se substituer à la doctrine de la "Guerre Froide".

Inspirée par le défunt Samuel Huntington, la doctrine du choc des civilisations divise le monde en zone géographique et culturelles (Sino-Russe, Inde, monde musulman, Amériques, Europe) qui, d’après lui, sont et seront amenées à entrer en conflit pour assurer leur survie. Cette doctrine à été sous George Bush, George Bush fils, et maintenant sous Obama, la ligne directrice qui détermine la politique extérieure des USA, et donc de l’Occident.

Au travers de l’Histoire nous essayerons de comprendre à quelles fins une telle politique peut-elle servir, et quels sont les risques qu’elle fait peser sur la société. Sources: Thomas Gresham. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gresham. Sir Thomas Gresham, 1544 (anonyme) Sir Thomas Gresham (env. 1519 - ) était un marchand anglais et surtout un financier qui travailla pour le roi Édouard VI, puis sa demi-sœur, la reine Élisabeth Ire. Biographie[modifier | modifier le code] Il fit ensuite son apprentissage pendant huit ans auprès de son oncle sir John Gresham, lui aussi un négociant, qui créa la Gresham's School à Holt, Norfolk en 1555. En 1543, la Mercers Company admit en son sein Gresham à l'âge de 24 ans. La même année, il s'en alla aux Pays-Bas, où, en son nom propre, celui de son père ou de son oncle, il mena ses affaires tout en poursuivant de multiples activités en tant qu'agent d'Henry VIII.

Gresham mourut subitement en novembre 1579. Thomas Gresham au service de l’État[modifier | modifier le code] La loi de Gresham[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Loi de Gresham. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi de Gresham, du nom du commerçant et financier anglais Thomas Gresham (vers 1519 - 1579), constate que « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». En effet lorsque deux monnaies se trouvent simultanément en circulation avec un taux de change légal fixe, les agents économiques préfèrent conserver, thésauriser la « bonne » monnaie, et par contre utilisent pour payer leurs échanges la « mauvaise » dans le but de s'en défaire au plus vite.

Cette loi vaut en particulier dans les systèmes monétaires bimétalliques, quoique Thomas Gresham lui-même l'ait formulée à propos de la seule monnaie en argent de son époque, le shilling, dénaturée par un seigneuriage trop important, ce qui avait entraîné la disparition des shillings fondus avant ce seigneuriage. Attribuée à Thomas Gresham, cette loi est en fait ancienne : – Aristophane l'évoque déjà dans sa comédie les Grenouilles[1] ; – Nicole Oresme en démontre le mécanisme en 1371[2] ; 1800 - L'histoire méconnue de la BANQUE DE FRANCE par l'historien Henri Guillemin (droit à l'essentiel)

LES DIVERS SYSTÈMES MONÉTAIRES DEPUIS CENT ANS. Liste des crises monétaires et financières. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Voici, ci-dessous, un ensemble de tableaux récapitulant les crises ayant durablement atteint le monde économique ou financier. Leur nombre a explosé depuis 1971, année considérée comme le point de départ d'un ensemble d'évènements qui engendre une période d'instabilité financière mondiale.

Cette instabilité est due à un nombre réduit de facteurs qui a contribué à bouleverser l'économie mondiale entre 1971 et les années 1990 : Abandon du système de référence du Gold Exchange Standard et de la suprématie du dollar : 1971 : abandon du système du Gold Exchange Standard (qui avait remplacé l'étalon-or en 1933). Le Gold Exchange Standard continuait d'assurer une stabilité du cours des monnaies en les référençant toutes par rapport au dollar US, mais avait rendu précaire la convertibilité métallique du dollar. Ensuite, d'autres facteurs vinrent se greffer à la fin de la reconnaissance des États-Unis comme économie-monde financière : Chronologie de l'histoire des banques en Europe. Napoléon et la création de la Banque de France / Henri Guillemin.

1873

Uriage, l'école des cadres de la Collaboration. En abrogeant la République et en proclamant l’État français [1], Philippe Pétain n’ouvre pas « une parenthèse dans l’histoire » [2], mais place au pouvoir des factions actives de la droite française avides de prendre leur revanche aussi bien sur la gauche du Front populaire que sur 1789. Les anciens combattants de la Première Guerre mondiale, les traditionalistes, les insurgés du 6 février 1934 et les « techniciens » [3], en rupture avec le parlementarisme, se disputent les postes politiques. Mais l’État français n’est pas seulement le théâtre d’une confiscation du pouvoir, il est aussi porteur d’un projet idéologique, la Révolution nationale. Cette formule doit en fait être comprise comme désignant une forme de nationalisme contre-révolutionnaire qui entend balayer les acquis de la Révolution universaliste de 1789.

Le blason de l’école d’Uriage Philippe Pétain cherche également à créer une structure élitiste capable de former les cadres de la Révolution nationale. Hubert Beuve-Méry. 1933-1999 Glass-Steagall Act. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le « Banking Act de 1933 » aux États-Unis par lequel sont instaurés : l'incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement ;le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires ;le plafonnement des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires (Règlementation Q). Il tient son nom d'un sénateur démocrate de Virginie, Carter Glass, ancien secrétaire au Trésor, et du représentant démocrate de l'Alabama, Henry B.

Steagall, président de la commission Banque et Monnaie de la chambre des représentants. Battu en brèche depuis le milieu des années 1970 et largement contourné par l'ensemble de la profession bancaire, il est finalement abrogé - sous l'administration Clinton, le par le Financial Services Modernization Act, dit Gramm-Leach-Bliley Act, juste à temps pour permettre la fusion constitutive de Citigroup. Contexte historique[modifier | modifier le code] ↑ J. Solidarité & Progrès. Par William F. Wertz, Jr. La guerre économique et financière menée aujourd’hui par l’oligarchie peut se réclamer essentiellement de trois antécédents historiques : 1) l’empire vénitien au cours de la période précédant la guerre de Cent ans et l’âge des ténèbres du XIVème siècle ; 2) l’empire établi, sur le modèle vénitien, par la Compagnie des Indes orientales suite au traité de Paris qui mit fin à la guerre de Sept ans en 1763 ; et 3) les cartels anglo-américano-allemands mis en place dans les années 20.

C’est ce dernier aspect que nous allons examiner ici, car il est l’incarnation la plus récente du danger que représente actuellement une oligarchie financière déterminée à dominer le monde sous couvert de « globalisation ». Dans une lettre au secrétaire d’Etat Cordell Hull, datée du 8 septembre 1944, le Président américain disait : « L’histoire de l’utilisation par les nazis du trust IG Farben se lit comme un roman policier. Le président américain Dwight D. La formation des cartels. Histoiremoderne. Histoires d'entreprises. Le Juif errant banquier des Bolcheviks. MONDIALISME : 1789 et 1917 = 25 + 18 = 43 ou 7 ; 25 et 18 donnent 7 et 9 soit encore 7 (1+6). Grande importance du chiffre 7 dans l’Ancien et le Nouveaux Testament : festin de noces de Salomon durant 7 jours ; sept psaumes de pénitence ; Lévitique et sept ans de pénitence ; immolation de sept animaux ; lumière de sept jours ; sept lampes et sept becs (visions de Zacharie) ; chandelier à sept branches des Yahvistes : sept demandes dans la prière du Notre-Père, etc.

C’est un symbole d’une extrême importance et les Yahvistes sont experts en manipulations de nombres (banques notamment !). Depuis bientôt plus de 10.000 ans de cette voie de l’Agriculture, nous sommes entré dans LA CHUTE (péché originel) : péché contre la Nature, c’est-à-dire contre nous-mêmes. Le drame de toutes les révolutions découlent de la Chute où chacun « veut avoir raison » : « C’est mon opinion », « C’est la loi de ceci ou de cela... ».

Le Yahviste errant Olof Aschberg banquier des Bolcheviks. Haute-finance & sociétés secrètes. Pour atteindre leur objectif, ceux qui prétendent dominer le Monde disposent de deux moyens d’action principaux : les Sociétés Secrètes et l’Argent, c’est-à-dire la Haute Finance, dont l’intervention a été souvent décisive dans le déclenchement des guerres et des révolutions. « Biographe du grand Condé et historien de la Fronde, Henri Malo écrit que « l’histoire des révolutions est inscrite dans les livres de comptes des banquiers ». La Fronde n’était alors qu’une mauvaise copie des révolutions d’Angleterre de 1640-1668. Or, le chef des Puritains, Olivier Cromwell, si dévot que, selon lui « Dieu parlait par sa bouche », n’hésitait pas à écrire à l’un de ses commanditaires, Mr Storie, à l’enseigne du Chien, en la Cité de Londres, que « sans argent, il n’y a point de prêche » ( lettre du janvier 1636).

Ainsi rentrèrent-ils en Angleterre à Londres, comme ils l’avaient déjà fait à Amsterdam. Il fallut donc tout recommencer à zéro, selon le schéma habituel. Conférence de Jean Lombard. L'histoire du cartel pharmaceutique. Cartel pétro-médico-pharmaceutique. Les financiers au coin du bois. Dynastie Rockefeller. Why the world’s most useful plant is illegal. Histoires du pétrole. Histoire des bourses de valeurs. Pactes avec le diable (banking with Hitler) 1944 Accords de Bretton Woods. 1884 - 1972 Harry S. Truman. Sutton - Wall Street and the Bolshevik Revolution. François Asselineau, Président de l'UPR Présidentielle 2012 : le programme (1/10) François Asselineau, Président de l'UPR Présidentielle 2012 : le programme de (2/10) Ces 30 ans de guerres dont celle nommée "la dernière" ! Procès accusant le Vatican d’avoir financé ses réseaux d’exfiltration par l’or des nazis. Du Titanic au Nouvel Ordre Mondial.

La révoltante histoire de la "Réserve fédérale" américaine, hold-up planétaire sur la création monétaire. Italian police seize 1.5 billion USD securities from unidentified man.

1914-1945 trente ans de guerre emplissent la FED

* Pourquoi une fin du monde le 21 décembre 2012 ? 6 trillions de faux bons empaquetés dans le Traité de Versailles. FED : Réserve fédérale des États-Unis. Bretton-Woods. Russie, effondrement des USA et un certain anniversaire… 1946 - Accord Blum-Byrnes. 1947 - Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce. 6 juin 1947 Plan Marshall. La guerre dite "froide" Les accords Blum-Byrnes. La modernisation de la France et la guerre froide. 22 janvier 1963-traité franco-allemand de l'Elysée. 6. 1964 – 1968 : le Plan B ou l’apogée gaullienne : la prise de distance avec l’Europe - Élections présidentielles 2012, F. ASSELINEAU. Quand "les marchés" font ou défont les gouvernements.

1973 loi Pompidou-Giscard banque de france

13 décembre 2007 Traité de Lisbonne. Depuis l’Antiquité, les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser. 0tan-Gladio. “l’Union Européenne" de Bruxelles ou de Washington ? ou de ? 1993 libéralisation des produits bancaires. Divina Insidia - Le Piège Divin. La reine d'angleterre et le pape sont propriétaires d'esclaves?..Eh bien oui..par contrat frauduleux.. - zabeau sur LePost.fr (19:29) La "secte du dollar"