background preloader

EuropeanUnion

Facebook Twitter

Archéologie: les images de l'incroyable tombe princière de Lavau. LobbyCloud. Sciences du 10/05/2014. Vous n'avez rien compris à l'accord sur le FESF? Si vous avez tout saisi à la lecture des textes résumant les résultats du sommet des chefs d’Etat ou de gouvernement de la zone euro à Bruxelles, c’est que vous avez déjà une solide culture financière.

Car le moins que l’on puisse dire, c’est que tout n’est pas simple, particulièrement en ce qui concerne la façon dont on va doper la capacité d’intervention du FESF, le fameux Fonds européen de stabilité financière. Le but du jeu: faire avec 440 milliards comme si on en avait plus de 1.000. publicité Première technique utilisée: celle du rehaussement de crédit. Il s’agit là d’une sorte d’assurance contre le risque que l’on propose aux investisseurs privés qui envisagent de souscrire aux émissions d’emprunts de pays de la zone euro dont la capacité de remboursement est mise en doute. Un petit goût de subprimes C’est un système astucieux. L’exception européenne Tous les autres pays le font en ce qui concerne leur dette publique: les Etats-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne. Gérard Horny.

CarlaBruni

BernardKouchner. Industrie anglaise. Addendum du 18/12/2010 : L’ancien chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a déclaré que la mission de l’ONU au Kosovo n’avait pas connaissance du trafic présumé d’organes en Albanie prélevés sur des prisonniers des maquisards kosovars, dénoncé récemment par Dick Marty. « Nous ne savions rien. Si nous l’avions su, nous aurions envoyé des gens pour établir les faits et enquêter ou non », a déclaré M.

Kouchner dans une interview à la rédaction des émissions en serbe de la BBC. (…) « Il y a un malentendu tout au long du rapport. Le crime organisé? Certainement, nous en avions entendu parler. Le Figaro Addendum du 16/12/2010 : Le Procureur serbe pour les crimes de guerre, qui mène depuis trois ans sa propre enquête sur un trafic d’organes sur des prisonniers serbes des maquisards kosovars albanais dans les années 1990, a assuré que cette affaire concernait 500 victimes. Le Figaro Bernard Kouchner en compagnie du Premier ministre kosovar, Hashim Thaçi. Le Parisien.