background preloader

Veilles juridiques

Facebook Twitter

Les 4 révolutions du web — Documentation (CDI) L’intrusion dans un système informatique et ses conséquences juridiques. Il existe différents types de pirates informatiques : du hacker classique, qui s’introduit dans les systèmes par des moyens illégaux sans détruire les données ni utiliser les informations données, mais dans le seul but de faire savoir qu’il existe des failles de sécurité au cracher (casseur), appellation qui désigne le pirate le plus dangereux qui détruit dans un but précis ou pour le plaisir.

Or, aux yeux de la loi, chacun d’entre eux peut être poursuivi au regard des dispositions du Code pénal en matière de fraude informatique. L’intrusion peut s’effectuer par le biais d’un programme qui se cache lui-même dans un programme « net » (par exemple reçu dans la boite aux lettres ou téléchargé). L’un des plus connus est le Back Office qui permet d’administrer l’ordinateur à distance.

En outre, le piratage peut avoir comme cible les mots de passe du système. I. Les actions sur le plan juridique a) La responsabilité pénale i. Accès frauduleux Quid, pourtant, si le système n’est pas protégé ? B. L’intrusion dans un système informatique et ses conséquences juridiques. Les 10 technologies que les responsables de sécurité IT doivent connaître - La Revue du Digital.

La sécurité informatique de nouvelle génération passe par le Big Data, l’internet des objets, la virtualisation, le confinement, les passerelles Cloud, … Au total dix technologies qui ont de quoi donner des maux de tête à tout responsable de la sécurité IT. Mais ils n’auront pas le choix selon le cabinet Gartner. La sécurité informatique a toujours été complexe et c’est une nouvelle étape qui est en train d’être franchie avec le Cloud, les réseaux sociaux, les mobiles et l’internet des objets. Dix technologies à maîtriser Le cabinet Gartner liste les dix technologies que les responsables sécurité vont devoir maîtriser cette année. En tête de liste, dans ces dix techniques on trouve la mise en place de « courtiers d’accès au Cloud ».

Prendre en compte le contexte d’un accès Deuxième technique, le contrôle adaptatif des accès. Troisième technique, le bac à sable pervasif (« Pervasive sandboxing« ). Corréler les informations entre elles Le Big Data appelé au secours Les systèmes de réputation. Cadre juridique des administrateurs réseaux.

Les administrateurs réseaux assurent le fonctionnement normal et la sécurité du système informatique de leur employeur. Ils sont susceptibles d’avoir accès, dans l’exercice de cette mission, à des informations personnelles relatives aux utilisateurs (messageries, logs de connexion, etc.). L’accès par les administrateurs aux données enregistrées par les salariés dans le système d’information est justifié par le bon fonctionnement dudit système, dès lors qu’aucun autre moyen moins intrusif ne peut être mis en place. Ils doivent dès lors s’abstenir de toute divulgation d’informations qu’ils auraient été amenés à connaître dans le cadre de l’exercice de leur mission, et en particulier les informations relevant de la vie privée des employés ou couvertes par le secret des correspondances, dès lors qu’elles ne remettent pas en cause le fonctionnement technique ou la sécurité des applications, ou encore l’intérêt de l’employeur.

Cadre juridique des administrateurs réseaux. L'obligation de l'employeur d'assurer la sécurité des données. Bien souvent, les entreprises associent – et à tort limitent – leurs obligations résultant de la Loi du janvier 1978 à des obligations déclaratives. Le fait est que la protection des données à caractère personnel, notamment dans le cadre des entreprises, ne se résume pas à une succession de déclarations de traitements de données.

Il appartient également – et de manière tout aussi importante – au responsable d’un traitement de données à caractère personnel de prendre les mesures nécessaires pour sécuriser ses données. L’article 34 de la Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, dans sa rédaction actuelle, dispose en effet : « Le responsable du traitement est tenu de prendre toutes précautions utiles, au regard de la nature des données et des risques présentés par le traitement, pour préserver la sécurité des données et, notamment, empêcher qu’elles soient déformées, endommagées, ou que des tiers non autorisés y aient accès. »

L'obligation de l'employeur d'assurer la sécurité des données. La société ORANGE sanctionnée pour défaut de sécurité des données dans le cadre de campagnes marketing. En avril 2014, la société ORANGE a notifié à la CNIL une violation de données personnelles, liée à une défaillance technique de l'un de ses prestataires, ayant concerné les données de près de 1,3 million de clients dont leurs nom, prénom, date de naissance, adresse électronique et numéro de téléphone fixe ou mobile. La CNIL a alors procédé à des contrôles auprès de la société et des sous-traitants intervenant dans le cadre de ses campagnes d'emailing promotionnel. La délégation de contrôle a constaté que les dysfonctionnements ayant engendré la faille de sécurité avaient été corrigés. Toutefois, plusieurs lacunes en termes de sécurité des données ont été identifiées et ont justifié l'engagement d'une procédure de sanction. Devant la formation restreinte, la société soutenait avoir pris toutes mesures utiles afin de respecter son obligation de sécurité des données.

Orange sanctionné pour défaut de sécurité sur les données de plus d'un million de clients. "Avertissement public" à l'encontre d'Orange. Dans une délibération du 7 août, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a sanctionné le groupe télécoms français suite à une faille de sécurité concernant les données de plus d'un million de clients. C'est le premier grade des sanctions prononcées par l'autorité, avant la sanction pécuniaire.

Dans son communiqué, la Cnil explique qu'Orange lui a signifié, en avril dernier, une violation de données personnelles de près d'1,3 million de clients (nom, prénom, date de naissance, adresse électronique et numéro de téléphone fixe ou mobile) suite à une défaillance technique de l'un de ses prestataires. Orange sanctionné pour défaut de sécurité sur les données de plus d'un million de clients. Swisslife renforce la gestion des comptes à privilège. Pour renforcer sa politique de sécurité, Swisslife s'est équipé d'une solution de gestion des comptes à privilège. PublicitéAvec plus de 110 ans d'existence en France, Swiss Life, 3,8 Md€ de chiffre d'affaires en 2013, est un des acteurs majeurs sur les marchés de l'assurance patrimoniale en vie et retraite et de l'assurance santé et prévoyance. Pour faire tourner son système d'information, le groupe s'appuie une DSI composée de 300 personnes dont 200 en interne.

Entièrement virtualisée, son infrastructure repose sur un millier de serveurs. Dans le cadre d'une refonte de ses systèmes de sécurité, la DSI a notamment lancé en 2012 une audit sur la gestion des comptes à privilège. « Nous avons interviewé la plupart de nos administrateurs et fait état d'une situation et de comportements préoccupants », se rappelle Julien Soleil, responsable de la sécurité opérationnelle de Swisslife qui intervenait le 3 octobre 2014 dans le cadre des Assises de la Sécurité. Article rédigé par. NOUVEAU THEME DE VEILLE pour 2015 et 2016. Commet un délit l'auteur de la mise à disposition sur internet d'informations relatives à des failles de sécurité | Net-iris 2009.

Selon un Arrêt de rejet de la Chambre criminelle de la Cour de cassation rendu le 27/10/2009, la seule constatation de la violation, sans motif légitime et en connaissance de cause, de l'une des interdictions prévues par l'article 323-3-1 du Code pénal, implique de la part de son auteur l'intention coupable exigée par l'article 121-3 du même code. En sachant qu'il diffusait sur internet des informations présentant un risque d'utilisation à des fins de piratage par un public particulier en recherche de ce type de déviance, l'auteur des écrits visibles sur le site internet et accessibles à tous, s'est rendu coupable du délit de mise à disposition, sans motif légitime, de moyens conçus ou spécialement adaptés pour commettre une atteinte à un système de traitement automatisé de données.

Lire l'analyse de la décision Analyse de 418 Mots. D'où il suit que le moyen doit être écarté ; Et attendu que l'arrêt est régulier en la forme ; Rejette le pourvoi ; © 2009 Net-iris. Faille de sécurité et responsabilité de l'entreprise. On voit mal comment une entreprise peut aujourd’hui travailler sans faire appel à l’informatique. Or dans l’univers informatique les données peuvent être endommagées, détruites, perdues. C’est pourquoi tout professionnel doit procéder a minima à des mesures de sauvegarde et de sécurité de ses données. Il s’agit de mesures de gestion saine et d’anticipation des risques auxquelles tout dirigeant se doit de se conformer. C’est pourquoi la sauvegarde et la sécurité des données est un acte de gestion essentiel dans la vie d’une entreprise.

Cette obligation est d’autant plus vraie que c’est l’entreprise qui met à la disposition de ses employés des moyens d’accès à des données à caractère personnel qui sont ensuite, via des outils informatiques, partagés en réseaux internes ou parfois via internet. C’est les cas par exemple des données sur les téléphones mobiles, les plateformes intranet, les bases de données clients partagées en réseaux entre les services / filiales. Faille de sécurité et responsabilité de l'entreprise.

Affaire Snowden : comment contrôler les droits d'administration. Edward Snowden, auteur des révélations faites sur les programmes d'espionnage de la NSA, avait pu accéder simplement aux informations critiques de l'agence grâce à ses droits administrateurs. Si les administrateurs des systèmes d'informations se doivent de posséder un accès étendu aux machines, leurs droits d'entrée doivent être impérativement contrôlés et régulés.

Une leçon mise en évidence par l'affaire Snowden. L'affaire Snowden est pleine de leçons pour les responsables de la sécurité des systèmes d'information. 20% des organisations ne connaissent pas le nombre de compte administrateurs ouverts La firme a ainsi approché 340 participants de la conférence FOCUS 13 de McAfee pour en apprendre un peu plus sur la question. Bonne nouvelle, on apprend que les déboires de la NSA ont fait réfléchir plus de la moitié des chargés de sécurité. La solution réside donc peut-être dans une approche repensée de l'attribution des droits étendus.

Affaire Snowden : comment contrôler les droits d'administration. Guide de bonnes pratiques pour les Administrateurs Systèmes et Réseaux. Résumé : Le Guide des Bonnes Pratiques tente de recenser les spécificités majeures du métier Administrateurs Systèmes et Réseaux (ASR). Il formalise un ensemble de comportements qui font consensus dans la communauté des ASR pour élaborer un corpus de bonnes pratiques d'organisation. Ce guide peut contribuer à rendre les missions du métier plus lisibles, améliorer l'organisation et la technicité mises en œuvre au sein de nos services vis à vis de nos utilisateurs, de nos directions et de nos tutelles.

Ce projet de guide est né à l'initiative de RESINFO à partir d'une réflexion générale liée aux différents contextes de travail de notre métier dans lesquels on assiste à une intensification des tâches d'exploitation des systèmes informatiques et des réseaux, et des responsabilités attenantes, la plupart du temps à moyens humains constants.

Guide de bonnes pratiques pour les Administrateurs Systèmes et Réseaux. L'administrateur, bête noire pour la sécurité des IBM System i. Si les System i d'IBM (ex-AS/400) ont longtemps joui d'une réputation de fiabilité à toute épreuve, ils sont de plus en plus vulnérables à des attaques du fait des pratiques de sécurité contestables de leurs administrateurs. Selon une étude portant sur 188 System i réalisée par le PowerTech Group, une société de sécurité de l'Etat de Washington, nombre d'entreprises n'ont pas assez de mécanismes de contrôle interne en place pour protéger les données sur leurs serveurs. Par exemple, 90% des systèmes audités n'avaient aucun contrôle en place pour prévenir ou auditer des modifications de données depuis un PC externe. 95% des systèmes disposaient au moins de 10 utilisateurs avec des droits d'accès administrateur et 43 % avait plus de 30 utilisateurs avec des droits "root". 77% des systèmes avaient aussi au moins 20 utilisateurs dont les mots de passe étaient les mêmes que leur login.

L'affaire Bluetouff ou : NON, on ne peut pas être condamné pour utiliser Gogleu. Le titre de ce billet peut paraître surprenant, mais il répond en fait à un titre d’article qu’un journal en ligne de la presse spécialisée, au demeurant excellent sur son secteur, a employé pour relater la présente affaire. Comme quoi la communauté geek sait avoir les mêmes réflexes corporatistes que n’importe quel autre groupe social ayant des intérêts communs assez forts.

Heureusement, outre son goût pour les pizzas froides et la Guinness, ce qui la caractérise avant tout est le goût de comprendre, et je l’entends qui piaffe aux portes de ce blog. Faites entrer les fauves, on va faire du droit. Au-delà des aspects techniques de cette affaire, que nous allons aborder, on se retrouve dans une problématique récurrente lorsqu’on doit juger des délits commis dans un contexte technique complexe : que ce soit la finance, la médecine, la pharmacologie, ou la technologie : les prévenus regardent les juges comme des ignares car ils n’ont pas leurs connaissances, ni même parfois les bases. L'affaire Bluetouff ou : NON, on ne peut pas être condamné pour utiliser Gogleu. Présentation du serious game "Keep an eye" - CIGREF - Daesign. Keylogger : des dispositifs de cybersurveillance particulièrement intrusifs.

Les " keyloggers " sont des dispositifs de surveillance, parfois téléchargeables gratuitement depuis le web, qui se lancent automatiquement à chaque démarrage de la session de l'utilisateur, à son insu. Une fois lancés, ils permettent, selon les versions, d'enregistrer toutes les actions effectuées par les salariés sur leur poste informatique sans que ceux-ci s'en aperçoivent. Toute frappe saisie sur le clavier ou tout écran consulté est enregistré avec un horodatage. Des alertes peuvent être automatiquement envoyées à la personne ayant installé le dispositif lorsque le salarié ainsi surveillé saisit sur son clavier un mot prédéterminé. Selon son paramétrage, le dispositif permet également de générer des rapports, récapitulant l'ensemble des actions faites à partir d'un poste informatique, qui sont directement envoyés sur le poste informatique de celui qui aura installé le logiciel espion.

Keylogger : des dispositifs de cybersurveillance particulièrement intrusifs. 4 conseils pour éviter une affaire Snowden dans votre entreprise - Les Echos. Social Pénibilité : Manuel Valls prêt à tout changer Mardi un rapport sur la mise en œuvre du compte pénibilité est remis à Manuel Valls. La plupart des critères de pénibilité seront forfaitisés en fonction... Tourisme - Transport Un vol d'Air France Paris-New York escorté après une menace L’appareil a été escorté par des avions de chasse environ « une heure avant son arrivée, après des menaces venant d’un appel téléphonique passé...

Collectivités locales Paris : vers une vitesse limitée à 30 km/h dans le centre et l’est Christophe Najdovski, adjoint EELV à la Maire de Paris chargé des transports, des déplacements et de l’espace public, soumettra mardi au Conseil de Paris... Information sur l'ASR. Outils de veille. Outils de veille. Cour de cassation. L’administrateur réseau a le pouvoir de lire les messages personnels.

Messagerie électronique au bureau : ne pas confondre « perso » et « personnel » Informatique et libertés : l'accès aux messages personnels des salariés très encadré.