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Je Like - Diesel habille la musique. Publié le 28 juin 2011 Dis-moi ce que tu écoutes et je te dirai qui tu es. Un vieil adage qui perdure de nos jours et qui vient d’être repris par la marque Diesel sur des tee-shirts. Fini de parler pour communiquer, maintenant il suffit de tagger! Comme le célèbre chef d’orchestre et compositeur américain Leonard Bernstein l’affirmait: «on ne vend pas la musique, on la partage». Partant de ce postulat, deux créatifs américains avec la collaboration de Diesel (Matei Curtasu et Annamaria Zollet ) ont lancé le mois dernier le projet DSLTAG. L’idée est de transformer ses goûts musicaux en QR code imprimé sur un tee shirt, et donc accessible à tous les badauds croisant son passage. Le système présenté au Canne Young Lions Award 2011 est très simple. Au final une innovation qui permet au digital de se créer une porte d’entrée dans le monde réel via les internautes tout fiers de porter leur identité musicale et de pouvoir la partager.

Alexandre Chomley Rubrique réalisée en partenariat avec ETO. Researchers reveal iPhone passwords in under six minutes. German researchers Fraunhofer SIT have demonstrated processes that enable a would-be attacker to compromise and reveal passwords stored in a locked iPhone in under six minutes, without having to crack the phone’s passcode. The attack, brought to our attention by PC World, will be worrying to those who utilize a passcode lock to protect their iPhone devices, especially if a phone is stolen, as it can reveal passwords for corporate networks and other sensitive data. The attack requires possession of the iPhone and targets the handsets individual keychain, the iPhone’s password storage platform. Researchers, utilising existing exploits, are simply able to jailbreak the device, install an SSH server on the device that allows them to run queries and execute third-party software on the phone.

Once access to the phone has been established, researchers were then able to copy a script to the phone that would access the keychain on the device. A-t-on vraiment envie d'afficher son humeur au boulot ? Pour motiver ses salariés, la Société Générale leur propose d'exprimer leur humeur le matin en collant des smileys sur un tableau.

Une méthode de management qui ne convainc pas tout le monde. C'est une des « innovations » concoctées par le cabinet de conseil McKinsey & Company qui a orchestré le cahier des charges du programme Team-Up concernant les 10 000 salariés des services centraux de la banque. A l'aide de smileys , chacun est invité à signaler son humeur aux autres, en le collant sur le tableau blanc de la réunion matinale. Dans les faits, beaucoup d'équipes font l'impasse sur cet indicateur optionnel et collectif d'humeur. Rond, carré, triangle, c'est au travers de ces figures géométriques que les membres d'une équipe de la Société Générale a finalement décidé de faire partager son humeur à l'occasion du « morning meeting » quotidien.

Peu importe, Team-Up nourrit d'autres ambitions. Photo : des petits personnages souriants ( Aleske /Flickr/CC). En partenariat avec : Retourner au plaisir de jouer. Par Hubert Guillaud le 16/02/11 | 7 commentaires | 5,634 lectures | Impression La gamification (Wikipédia, que certains traduisent par “ludification”), c’est l’idée que les règles et techniques de jeux peuvent être transférées dans d’autres domaines, rappelle Nicolas Nova, l’un des organisateurs de la conférence Lift qui se tenait il y a peu à Genève.

Ce qui n’est pas sans limites… ni critiques. La vérité sur la gamification Si l’enfer avait été gamifié, cela donnerait un jeu de Tetris avec un fond rond pour aligner des pièces rectangulaires, s’amuse Steffen Walz, directeur du Laboratoire du jeu et de la gamification (GEELab) de l’Institut de technologie royale de Melbourne, auteur de Space Time Play et consultant dans le secteur du jeu. Steffen Walz souhaite surtout commencer par lever des à priori sur la gamification. “La gamification est un mauvais terme pour une bonne idée”. La gamification, ce n’est pas créer un jeu avec lequel on gagne des points comme avec une carte de fidélité. Petit Bateau: une crise ex nihilo. J’aime bien la marque Petit Bateau.

Certainement mon côté régressif (j’aime bien Goldorak aussi). Aussi j’ai été très triste de voir que la marque s’est retrouvée dans une sale histoire de #phalocratie #CM #Facebook #badbuzz à laquelle je n’ai strictement rien compris. Heureusement, Maudule (de l’excellent blog StoryPlaying) nous fait ici un résumé de ce qui s’est passé et du rôle joué par des gros méchants marketeux sans scrupules. Vas-y Maudule, mords-y-l’oeil ! Petit Bateau, Grosse Boulette. D’échanges railleurs sur Twitter à un relais plus grand public (ici et ici, par exemple), cette association s’est propagée en une quinzaine d’heures sur la Toile. Non. “Mais que fait donc le CM ?” Il faut croire que cela n’a pas échappé à quelques personnes qui propagent l’info sur Twitter, alors même que la photo des fameux body incriminés n’est nulle part sur la fan page. Tiens, il y a même une boîte qui en profite pour proposer ses services… “Mais où étaient donc les consommateurs/trices ?”